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Web Squared. Qu'apportent les digital humanities ? Quelques exemples (1/2) Accueil > Rubriques > Qu’apportent les digital humanities ? Quelques exemples (1/2) Lorsqu’Hubert Guillaud, rédacteur en chef d’Internet Actu pose la question de l’utilité des humanités numériques dans un billet du blog qu’il anime sur l’édition numérique, La Feuille, il fait mouche. Après avoir montré à quel point ce secteur était en plein développement, il remarque cependant qu’il est parfois peu aisé d’en appréhender les retombées positives : « En tant que non-spécialiste, on a du mal à voir, à saisir l’apport de cette nouvelle forme de science, au-delà de ce qu’elle apporte pour le chercheur.

On constate bien dans le Manifeste des Digital Humanities, qu’il y a d’abord cette volonté de faire communauté autour de l’intégration de la culture numérique dans les pratiques de recherche d’aujourd’hui. (...) On est beaucoup dans la structuration d’une discipline, alors qu’on souhaiterait surtout comprendre ce que ces outils apportent concrètement » [1]. Emeutes et réseaux sociaux. L’information, nouvelle forme d’impérialisme?

Les campagnes d'alphabétisation numérique menées par les Etats-Unis dans de nombreux pays auraient joué un rôle dans le Printemps arabe. Entre financement des réseaux parallèles et promotion des voix dissidentes, l'impérialisme s'exprime dans l'information. Article initialement publié sur SavageMinds et repéré par OWNI.eu ; tous les liens de l’article sont en anglais. Selon un récent article du New York Times, le département d’Etat américain dépensera 70 millions de dollars avant la fin de l’année en technologies de communication furtive pour permettre aux activistes de communiquer loin des dictateurs. Ces outils sont déployés pour promouvoir les priorités d’une nation sur une autre. Dès lors, comment aborder l’impérialisme de l’information ?

Alphabétisation numérique et révolution Je ne souhaite pas contribuer à ce débat ici sans les données empiriques qui sont collectées en ce moment même par Srinivasan au Caire. Cyber-Célébrités Leurs histoires étaient captivantes et bien rodées. La veille comme art de vivre du futur. Ce qui est aujourd'hui un comportement d'ultra-connectés sera demain la norme si l'on souhaite avoir une vie sociale normale. Voici un article qui a été publié dans l’excellent ebook : Regards croisés sur la veille (sur le blog du modérateur), qui fait intervenir plein de spécialistes pros du digital (et moi-même).

Un article prospectif qui m’a donné l’occasion de poser toutes les idées concernant l’évolution de la veille digitale. Vous excuserez la longueur, cet article est fait pour être lu sur papier ou tablette.« Touff de la tribu des Görzg grimpa sur une colline. Trois jours que sa tribu et lui n’avaient rien mangé. Tous les matins, les chasseurs partaient explorer la région avec de grands cris mais revenaient bredouilles chaque soir sous les lamentations des femmes et les pleurs des enfants.

Mais Touff avait décidé de changer de stratégie. Assis en haut de son promontoire, il observait l’horizon. Information = survie L’homme veille sans le savoir, une question d’adaptation sntgmdm ; Est-ce que les médias sociaux sont une discipline ? Olivier Blanchard, dans son livre Social Media ROI, pose la question, tout comme Jean Dubarnes, sur Interaction. Olivier Blanchard estime que le premier écueil à l’intégration des médias sociaux dans les organisations s’explique par la primauté de la fonction marketing sur ces nouveaux territoires d’expression.

Cette conception du « tout marketing » appliquée aux médias sociaux est totalement erronée. Nous le voyons aujourd’hui, avec l’émergence de nouveaux espaces et blogs orientés « RH/Marque employeur » et « médias sociaux », à l’instar de celui de Franck La Pinta. Les médias sociaux bouleversent certes le marketing et la communication, mais pas seulement, nous dit Olivier Blanchard. Il faut aller plus loin dans la mesure où ils impactent profondément les ressources humaines, le service client, les relations publiques et la business intelligence (cf. schéma ci-dessous). Every company is trying to do ‘something’ in social media to surf on the trend. Et si la génération Y n'était qu'un mythe ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jean Pierre Bouchez, professeur associé, université de Versailles-Saint-Quentin, directeur scientifique du Groupe Merlane Deux "mondes" qui observent, analysent cette fameuse génération Y, approximativement âgée de 20 à 30 ans, aboutissent à des visions pour le moins contrastées… D'une part, un "monde" regroupant une majorité d'auteurs-consultants d'ouvrages managériaux, et d'autre part quelques rares chercheurs issus du "monde académique".

Le premier "monde" alimente quantitativement très largement ce nouvel engouement pour les jeunes Y, décrivant de manière convergente et consensuelle les caractéristiques majeures de cette génération, notamment à travers les fameux "4 I" : Interconnectés, Inventifs, Individualistes et Impatients (qui peuvent naturellement correspondre à une certaine réalité), au regard d'autres générations. Que penser de ce décalage ? Jean Pierre Bouchez est le créateur de Planète Savoir. L’internet, c’est fini ! - Blogs InternetActu.net. La lecture de la semaine, il s’agit d’un article paru cette semaine dans le quotidien britannique , article qui donne une interprétation tout à fait personnelle d’un événement qui a eu lieu aussi cette semaine à Austin, au Texas, la South By SouthWest Interactive Conference . On doit ce papier à Oliver Burkeman et il s’intitule : “The internet is over ” – “L’Internet, c’est fini”.

“Si mes petits enfants me demandent un jour où j’ai compris que l’Internet, c’était terminé, écrit Oliver Burkeman, je serai en mesure de leur apporter une réponse assez précise : c’était dans un restaurant mexicain, en face du cimetière d’Austin, au Texas, alors que j’avais déjà avalé la moitié d’un Tacos. Cela faisait deux jours que j’assistais à la South By Southwest Interactive , avec comme ligne de conduite de demander à chaque personne que je rencontrais, de manière peut-être un peu trop agressive, ce qu’elle faisait exactement.

Qu’est-ce que “l’expérience utilisateur”, vraiment ? Sxsw2011 Le Web 3.0. Génération Y, entre alibi et manipulation. La génération Y continue à alimenter quelques sujets, réflexions et débats malgré une perte de puissance par rapport à l’année dernière et son déferlement d’avis de spécialistes consultants, psychologues ou experts. Alors DRH attention la fameuse génération Y est particulière, elle ne respecte pas la hiérarchie, veut du sens, une gestion de carrière en mode accélérée, moins de distinction entre vie privée et professionnelle… Ce que je trouve incroyable c’est que l’on puisse sur une simple appartenance à une tranche d’âge attribuer autant de qualités ou défauts comportementaux à toute une catégorie de la population sans soucis de sexe, origines, diplômes, histoire personnelles, pays d’appartenance et de résidence… Cette génération ainsi étiquetée cela devient presque rassurant pour nos dirigeants à gérer, ils sont différents mais on a compris en quoi et on va y répondre avec les conseils d’un consultant spécialisé.

La stabilité de la structure d'un réseau social tient aussi à sa taille. Dans un réseau, certains membres sont parfois tentés d'avoir un comportement individualiste qui remet en cause la viabilité de la structure. Sauf si cette dernière comprend suffisamment d'individus, et qui interagissent. Les plates-formes de collaboration ont besoin d'atteindre une "masse critique" pour rester stables en cas d'attaque ou de manœuvre par un collaborateur malveillant. Sachant que selon une équipe de chercheurs issus de plusieurs universités italiennes*, à l'origine de cette conclusion, la masse critique est ici le moment où le réseau est considéré comme rentable et mûr.

Pour les scientifiques, qui se sont intéressés aux réseaux de collaboration en général, quand un salarié est tenté de ne pas jouer le jeu, si cela se passe pour un événement mineur, cela est pallié par le travail de ses pairs avec qui il est en relation directement. Théorie des jeux optimisée Contagion sociale ? * L’Ecole polytechnique de Turin, le Centre international d’Abdus Salam et l’université de Sienne. "Les réseaux sociaux de proximité" : Texte de l'intervention d'Antonio Casilli à la journée débat Réseau Habitat Social pour la Ville.

J'aime que tu plussoies : la base de donnée, le biotope et l'écosystème. Le rôle des amateurs (1/2) : Qu’est-ce qu’un amateur. La prolifération des plateformes participatives sur Internet suscite une implication toujours plus grande des amateurs dans la production ou le « remixage » de contenus médiatiques qui circulent et s’échangent sur le Web, qu’il s’agisse de textes, de photos, de vidéos, de fichiers musicaux, de logiciels, etc.

L’objet du colloque organisé par le Digital Life Lab de l’Institut Télécom le 18 mars 2011 (voir toutes les interventions vidéos de la journée) était justement de réfléchir aux enjeux sociaux, organisationnels et culturels suscités par la profusion des pratiques amateurs dans l’univers numérique. Qu’est-ce qu’un amateur ? Le sociologue Antoine Hennion (Wikipédia), directeur de recherches au Centre de sociologie de l’innovation de l’école des Mines de Paris, a consacré une grande partie de ces travaux au sujet des amateurs, notamment en décortiquant les pratiques amateurs dans le domaine de la musique et la façon dont se forme le goût musical. . « L’amateur est un expert par en bas ». Réseaux sociaux : la prolétarisation de la relation? Le bonheur des rencontres est de réveiller des idées enfouies, une de ces rencontres m'amène à découvrir les thèses d'Ars Industrialis et de son animateur Bernard Stiegler.

L'une d'elle est celle de la prolétarisation de la relation. Reprenons à notre compte cette idée que la digitalisation du monde déplace les savoirs contenus dans l'esprit et le corps vers les algorithmes et les espaces de mémoire, au risque de sa dépossession. Le phénomène n'a pas attendu les techniques numérique, il est déjà dans le livre : on sait que sa reproduction a écarté la nécessité de l'apprendre par coeur, libérant sans doute l'esprit de cet effort pour qu'il se consacre à d'autres tâches plus critique,s mais en en limitant aussi l'exégèse : difficile d'avoir l'ensemble des parties en mémoire quand on a confié sa mémoire à l'imprimé.

Revenons à cette prolétarisation de la relation. Mais nombre de ces gestes d’amitiés sont désormais engrammés. Entreprise 2.0 > Destination web sémantique. Travaillant actuellement sur un projet de gestion sémantique de l’information, je me suis rendu compte que peu de personnes savent exactement de quoi il s’agit et que même les experts ne sont pas forcement d’accords sur la définition de cette discipline.

Web sémantique & enrichissement sémantique Il faut d’abord bien faire la différence entre la notion de web sémantique et celle d’enrichissement sémantique de l’information. Le web sémantique est une évolution coordonnée du web (lancée entre autre par le W3C), une initiative collective dans laquelle chacun à son niveau travaille pour rendre les contenus web plus intelligibles, plus accessibles par les programmes et les machines.L’enrichissement sémantique de l’information est une méthode de travail consistant à donner du sens aux fichiers/informations afin qu’elles soient traitées plus intelligemment par les machines et les applications. L’enrichissement sémantique est une étape vers le web sémantique. L’enrichissement sémantique de l’info. Impact du social media : une étude Harvard Business Review Services Analytics. Anne rédactrice chez Mind Jumper à publié une étude d’Harvard Business Review Services Analytics autour de l’impact du social media.

Cette étude concerne les sociétés et le marché américain, mais il me semble qu’il en est de même pour la France. Je vous laisse découvrir les principales idées qu’il en émane. Trois quarts (75%) des entreprises interrogées ont déclaré qu’elles ne savaient pas où la plupart de leurs clients parlaient de leur marques, de leur produit.Près d’un tiers (31%) ne mesurent pas l’efficacité des médias sociaux.Moins d’un quart (23%) utilisent les médias sociaux des outils d’analyse.• Une fraction (7%) des entreprises participantes sont en mesure d’intégrer les médias sociaux dans leurs activités de marketing. Ce qui suit est la conclusion de l’enquête. HBR de Conclusion: « Les médias sociaux sont en train de devenir une nouvelle force dans les organisations du monde entier, ils leur permettent d’ atteindre et de comprendre les consommateurs comme jamais auparavant.

L’intelligence collective globale ou l’avènement de l’holoptisme étendu. On entend par intelligence collective les capacités cognitives d’une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres afin d’atteindre un objectif dans un environnement complexe. Cette définition a le mérite de la simplicité mais cette intelligence collective revêt bien des nuances qu’il est bon d’appréhender afin d’en cerner tous les enjeux et les évolutions pour la manager au mieux. Je m’appuierai sur les travaux de Jean-François Noubel, fondateur de The Transitioner, une organisation de recherche et de développement en intelligence, conscience et sagesse collective dont je vous recommande le suivi.

Dans la nature et depuis toujours, lorsque les organismes vivants s’organisent en groupes, ils créent une entité qui développe des propriétés propres qu’individuellement, chacun des organismes n’auraient pas pu développer. C’est ainsi que selon la formule consacrée : le tout devient supérieur à la somme des parties. – L’intelligence collective globale. WordPress: Sociologie des réseaux sociaux. Aujourd’hui paraît la troisième édition du livre que j’avais consacré à la Sociologie des réseaux sociaux, et dont la première édition était parue en 2004 aux Editions de la Découverte, dans la collection « Repères ».

Le livre avait alors été écrit dans un contexte particulier, celui de la montée, en France comme ailleurs, de l’analyse des réseaux à la fois comme nouveau corpus de méthodes pour les sciences sociales, et aussi comme nouveau paradigme, ambitionnant d’ouvrir une troisième voie « méso-sociologique » entre le holisme et l’individualisme méthodologique, et qui a pu aussi consister à opposer les réseaux sociaux aux classes sociales. L’ambition de la sociologie des réseaux sociaux est donc de restituer aux comportements individuels la complexité des systèmes de relations sociales dans lesquels ils prennent sens, et auxquels ils donnent sens en retour.

Que s’est-il donc passé au cours des dix dernières années, pour qu’on assiste à un tel retournement ? The Myth Of Serendipity. Editor’s note: Henry “Hank” Nothhaft, Jr. is the co-founder and CMO of Trapit, a virtual personal assistant for Web content still in private beta that was incubated out of SRI and the CALO project (as was Siri, the conversational search engine bought by Apple). One of the most interesting concepts to emerge in media and tech lately is that of “serendipity”—showing people what they want even if they didn’t ask for it. Despite its seemingly ubiquitous invocation, however, the concept of serendipity remains ill-defined and put forth as some vague panacea for a slew of emerging innovations hoping to attract new users in droves. What is needed is a closer look at what we actually mean when we talk about serendipity. From Search to Discovery Eric Schmidt’s recent remarks about Google as a “Serendipity Engine” (and Facebook’s quick reply), emphasize an important shift in our daily interaction with the Web and how we use it.

Serendipity and personalization are in fact two sides to the same coin. Cours culture numérique Iut info-com] Identité numérique.