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Budget logement des menages

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Conditions de vie-Société - Dans les grandes agglomérati. Jean-Paul Hubert, Université de Paris-Est, Inrets-DEST et division conditions de vie des ménages, Insee Résumé Entre 1994 et 2008, la mobilité locale en France métropolitaine a peu changé, en moyenne. Mais cette stabilité d’ensemble est trompeuse car grandes agglomérations et zones rurales ou faiblement urbanisées évoluent en sens opposé.

Dans les grandes agglomérations, les actifs et les étudiants se déplacent en 2008 moins souvent et moins longtemps au cours d’une journée qu’en 1994. Ils sont plus nombreux à n’aller qu’une fois dans la journée à leur lieu de travail ou d’études, sans pour autant réaliser d’autres activités à l’extérieur. Sommaire Publication En 2008, 175 millions de déplacements locaux quotidiens Il s’écoule en moyenne 7h45 entre le premier départ du domicile et l’ultime retour quotidien des Français mobiles les jours de semaine, exactement comme il y a 14 ans.

Les Français consacrent quotidiennement 56 minutes à ces déplacements, contre 55 en 1994. Retour au sommaire. Loeinsee publiera des travaux sur le mal logement | Le logement, une bulle de bien-être pour les Français. Selon le dernier sondage de Loiselet et Daigremont réalisé pour Ipsos, les Français sont heureux dans leur logement. Et ce constat est là depuis 2005. Ainsi, ils étaient 82% à se déclarer bien dans leur logement en 2005, 85% en 2006, 84% en 2008 et, enfin, 86,5% en 2009. Le secrétaire d’Etat au logement, Benoist Apparu, a d’ailleurs déclaré à la lecture des résultats : « ». Mais sur quoi repose le bien-être des Français ? Ils sont 57,9% à citer la tranquillité, la sécurité et le voisinage. La conception de l’appartement et de l’immeuble fait également partie des priorités à 30%.

Concernant les sources de mal-être, l’étude note que le bruit (6,6%), les mauvaises relations de voisinage (3,8%) et l’entretien des parties communes (3,2%) sont autant de raisons qui font que les Français peuvent se sentir mal dans leur immeuble. En cette période de crise, Loiselet et Daigremont n’hésite pas à souligner que le logement est et précise que les « Lomme : elle refuse de quitter son logement, la démolition de l' À Lomme, le quartier de la Mitterie est au coeur d'un vaste projet de rénovation urbaine. Une barre d'immeuble de l'allée des Érables est notamment promise à une proche destruction. Seul problème, le chantier, prévu de longue date, n'a toujours pas débuté. Et pour cause, une habitante refuse obstinément de quitter son logement. « Il faut qu'elle soit raisonnable. » Pour Laure Delepray, représentante du bailleur foncier Vilogia (anciennement CMH), les choses sont claires : la femme, qui refuse de quitter son appartement du dernier étage d'une tour vouée à la démolition, doit s'en aller au plus vite. « Tous les permis de démolition ont été déposés, explique-t-elle.

. « Pas aussi simples » Toujours selon Vilogia, la récalcitrante aurait même accepté un logement dans une commune voisine, et posséderait déjà les clefs de son nouvel appartement. Ce qui est certain, c'est que la dame occupe toujours son logement du quartier de la Mitterie. « On existe si on accède à un logement » - Nord Éclair, l'actual. En pleine crise du logement, les ateliers populaires d'urbanisme viennent en aide aux plus démunis. À Wazemmes, quartier entre mixité et précarité, l'APU ne chôme pas.

MARIE TRANCHANT > lille@nordeclair.fr Il y a le Wazemmes de la Fête de la soupe et de la maison Folie. Celui des terrasses les dimanches ensoleillés, celui de la convivialité. Et puis il y a celui qui souffre, celui des mal-logés. Celui où les gens ne sortent pas de chez eux, ne participent pas aux activités du quartier. Le laboratoire Wazemmes Ces familles qui, de plus en plus, demandent de l'aide à l'association pour démêler un conflit, pour rester vivre dans le quartier alors qu'on réhabilite, pour trouver un logement décent et ne plus être en situation de surpeuplement (lire ci-contre). « Il y a dix ans, il n'y avait pas ce type de situations, poursuit Saad Nouioua. Nord Éclair. TheseFack2007.pdf (Objet application/pdf)

L'indice de "souffrance immobili. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Isabelle Rey-Lefebvre Deux économistes, Alain Bechade, professeur au Conservatoire national des arts et métiers, et Richard Malle, de l'université Paris-Dauphine, ont mis au point un nouvel indicateur, l'indice de "souffrance" des ménages en investissement résidentiel : "Il mesure la difficulté qu'ils éprouvent à acheter leur logement, et il est un signal annonciateur des corrections et des reprises du marché immobilier", écrivent les auteurs de l'article, paru dans le numéro d'août de la revue Réflexions immobilières, éditée par l'Institut de l'épargne immobilière et foncière (IEIF).

Plusieurs organismes publient régulièrement des indices de solvabilité des acheteurs immobiliers, comme ceux concoctés par Crédit logement ou la Fédération nationale de l'immobilier, qui intègrent des données classiques, comme l'évolution des prix des logements, des revenus, du coût du crédit. Le logement est devenu le premier poste de dépenses des ménages. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Claire Guélaud Depuis cinquante ans, les Français ont consommé un peu plus chaque année, sauf pendant la récession de 1993. Aujourd'hui ils consomment par personne trois fois plus qu'en 1960, indique l'Insee dans Cinquante ans de consommation en France, un ouvrage présenté jeudi 24 septembre.

Cette progression de la consommation, qui représente plus des deux tiers du produit intérieur brut, s'est accompagnée d'importants changements dans la répartition de leur budget. Les services y occupent désormais une place prépondérante (50 % contre 30 % en 1960). Pendant la deuxième moitié des Trente Glorieuses, marquée par le développement d'une consommation de masse, les Français ont vu leur pouvoir d'achat augmenter de manière soutenue : + 5,8 % par an par ménage et + 4,6 % par personne entre 1960 et 1974. Communication et loisirs.