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Pdf interessant. Le coût énergétique d’Internet équivaut à 30 centrales nucléaires. Le coût écologique d'Internet. Laurent Lefèvre est chercheur dans l'équipe-projet reso, au Laboratoire lip (umr cnrs, École normale supérieure de Lyon, inria, Université Claude Bernard).

Le coût écologique d'Internet

Que représente Internet en termes d’équipements « physiques » ? « Informatique verte », le nouveau bébé-bulle. Des initiatives "vertes" disparates. Les pays émergents, poubelles de l'Occident. Technologie verte. Ma conscience écolo, chiffonnée de devoir utiliser un ordinateur à longueur de journée, avait besoin d'être rassurée.

Technologie verte

Au travail, je passe ma journée entière (ou presque) devant l’ordinateur : consultation de mes mails et de l’agenda électronique collectif, rédaction de compte-rendus, partage de documents sur la base de données commune, ... Il est nécessaire à mon activité. Mais ma conscience écolo en prend un coup ! J’ai déjà réussi à diminuer considérablement le temps passé devant l’écran. Lors des réunions, je préfère utiliser un cahier et un crayon. Mais ma conscience n’en est pas apaisée pour autant. Twitter et Amazon, champions de la pollution. Twitter, Amazon, Dropbox ou encore Vimeo.

Twitter et Amazon, champions de la pollution

Tous ces sites ou applications sur Internet ont un point commun: ils polluent beaucoup. Dans un rapport publié début avril, Greenpeace pointe du doigt les sources d’énergie électrique utilisées par de nombreux sites Internet, souvent néfastes à notre planète. Et encourage les mauvais élèves à prendre exemple sur les groupes qui respectent le mieux l’environnement: Google, Facebook et Apple. Mails et recherches Internet ont un impact sur l’environnement. Spammer, googler, c’est aussi du CO2 émis et des ressources consommées: l’Ademe publie une étude sur l’impact des TIC, loin d’être anecdotique, et égrène plusieurs recommandations.

Mails et recherches Internet ont un impact sur l’environnement

L’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) publie ce jeudi une étude sur l’impact environnemental des TIC, mesuré pour le courrier électronique, les requêtes Web et les clés USB. Elle a été réalisée par Bio Intelligence Service (BIOIS). BIOIS avait réalisé en 2008 un rapport pour la Commission européenne (« Impacts of Information and Communication Technologies on Energy Efficiency »), qui estimait que les TIC contribuaient, en 2005, à 2% des émissions européennes de gaz à effet de serre, et pourraient atteindre d’ici 2020 près de 4% des émissions en poursuivant sur les mêmes tendances. L’étude menée pour l’Ademe amène l’agence à faire plusieurs recommandations – souvent de bon sens – pour limiter cet impact environnemental des technologies de l’information. Clés USB. Google, consommation géante d’énergie.

© D.Dq On en sait un peu plus sur le poids d’internet dans la consommation mondiale d’énergie.

Google, consommation géante d’énergie

Le géant Google a pour la première fois donné des indications sur la puissance électrique consommé par ses infrastructures: 260 MW, le quart de la puissance moyenne consommée par une ville comme Marseille, soit une consommation de 2,27 TWh (0,5% de ce qu’on utilise en France). 85% de la puissance tirée par Google sert à faire fonctionner ses milliers de fermes de calcul. Google affirme que 25% de sa consommation a été fournie par des énergies renouvelables, un chiffre qui pourrait monter à 30% cette année. Pour la petite histoire, j’avais publié mes propres calculs dans un papier de Terra Eco paru en avril 2009. Internet, la pollution cachée. Résumé de la vidéo "internet la pollution caché"

Portail documentaire du CDI du Lycée agricole de Sées. Revues.org : portail de revues en sciences humaines et sociales. Plus de 80 outils spécialisés pour différentes recherches sur le web. Aller au contenu principal Menu secondaire Formulaire de recherche Ressources Mobile menu.

Plus de 80 outils spécialisés pour différentes recherches sur le web

FINDLOO. Internet et les ordinateurs, une réelle source de pollution - Ma planète bleue. Parler par messagerie instantanée, jouer à des jeux en réseau ou simplement surfer sur Internet sont désormais des activités courantes pour les usagers du Web.

Internet et les ordinateurs, une réelle source de pollution - Ma planète bleue

Qu’on le veule ou non, Internet fait désormais partie intégrante de nos vies, mais malgré que cette vaste toile informatique soit une invention des plus fantastiques, elle pollue et on ne parle pas ici que de SPAM ou de virus informatique, mais bien d’émissions de CO2! Aussi surprenant que cela puisse paraître, l’industrie des technologies de l’information et de la communication est responsable de 2 % des émissions de CO2 mondiales. Ce chiffre correspond à la production de CO2 de l’ensemble de la flotte aérienne mondiale ! Par exemple, le monde virtuel Second Life doit faire tourner 4000 serveurs pour exister. La consommation électrique de l’ensemble des serveurs d’Internet dans le monde en 2005 équivalait à la production d’une quinzaine de centrales nucléaires!

La pollution des réseaux sociaux et des sites Internet Le virage vert. Data-centers : les ogres énergivores d'Internet. Les data centers sont en quelque sorte les usines de l'ère numérique.

Data-centers : les ogres énergivores d'Internet

A l'intérieur, des milliers de serveurs sollicités à chaque courriel envoyé, à chaque vidéo visionnée, à chaque requête sur un moteur de recherche. Les data centers font la preuve que numérique ne signifie pas dématérialisé, loin s'en faut. Aux Etats-Unis, certains data-centers de Google et Facebook ont une consommation électrique comparable à des villes comme Strasbourg ou Bordeaux. Les centres de données informatiques, gros consommateurs d'énergie. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Amsterdam, envoyée spéciale.

Les centres de données informatiques, gros consommateurs d'énergie

Aucun panneau, aucune enseigne. Difficile de croire que ce bâtiment anonyme au design épuré, perdu dans la zone universitaire d'Amsterdam, abrite une fraction de l'effervescence et de la profusion d'Internet. "Les gens qui ont besoin de nous connaître nous trouvent, les autres n'ont pas à le savoir", glisse malicieusement Michiel Eielts, directeur d'Equinix Pays-Bas. [Infographie] Internet consomme chaque jour plus d’énergie que l’ensemble de la Russie. Comment stocker et alimenter la gigantesque galaxie en ligne, dont la taille double tous les deux ans?

[Infographie] Internet consomme chaque jour plus d’énergie que l’ensemble de la Russie

Cette infographie proposée par misdegree.info nous remet les pieds sur terre en détaillant l’impact matériel inhérent à l’existence des quelques 7,38 milliards de pages que compte le Web. Parmi les géants du Web, on apprend ainsi que Facebook, Amazon et Google utilisent respectivement 189 000, 258 000 et entre 900 000 et 1,8M de serveurs pour stocker leurs données. Pour alimenter ses parcs de serveurs, Google consomme chaque année 228 Mégawatts, pour un coût de 6,6M de $, soit la consommation électrique annuelle de près de 76 000 foyers. Google produit ainsi 1,68M de tonnes de CO2 par an, contre 258 000t pour Facebook qui consomme pour sa part 28 Mégawatts. Site d'accompagnement de l'ENT. Les data-centers et la consommation électrique mondiale. Pollution par Internet. Internet est-il bon pour l'environnement et la planète?

Ecologie : Internet est-il respectueux de l’environnement ? Nombreux sont les internautes à ne pas avoir conscience de l’impact d’internet sur l’environnement, ou plus exactement ceux des serveurs web et de l’infrastructure en place pour faire fonctionner ces derniers. Cet état des choses étant selon toute vraisemblance et de façon compréhensible lié à la méconnaissance du fonctionnement du web. Dans un souhait de sensibiliser les non-professionnels à l’architecture du web et à l’important rejet de CO2 engendré par cette activité, la vidéo How Green Is Your Internet?

Energie, pollution et internet. La lecture de la semaine provient du New York Times, il s’agit du premier article d’une série consacrée au coût écologique du Cloud computing (informatique dans les nuages, le fait que nos données soient stockées, non pas dans les nuages, mais dans des infrastructures très matérielles). Le titre “Energie, pollution et Internet”, ce début d’article fait un résumé de la longue enquête du quotidien américain.

“Des dizaines de milliers de data center (gigantesques bâtiments abritant des serveurs) sont aujourd’hui nécessaire pour supporter l’explosion de l’information numérique. Derrière Internet, la pollution cachée. Par David Bourguignon - 27/09/2013. Internet : une nouvelle écologie du savoir. Emission de CO2 par les iPhones. 390 ppm C'est la concentration de C02 dans l'atmosphère en 2012 contre 385, 99 ppm en novembre 09On considère que la limite qu'il ne faudrait pas dépasser devrait être 350 ppm ; mais ce niveau a constamment été dépassé depuis 1988. Prévisions. Selon un Rapport spécial du GIEC (SRES, 2000), les émissions mondiales de GES (en équivalent-CO2) augmenteront de 25 à 90 % entre 2000 et 2030 !

Internet consommera autant d’énergie que l’humanité. Par Frédéric Bordage - 18/07/2008. Menace sur le Net, grand dévoreur d'énergie. Un lourd bilan énergétique pour les high-tech. 01net le 20/08/13 à 13h09 Longtemps, les industries analogiques ont été perçues comme dévastatrices pour l’écologie. Citons seulement l’édition papier naïvement accusée de détruire les forêts pour développer son activité. Le numérique étant décrit comme l’ami de la nature. Un rapport de Digital Power Group vient apporter quelques détails sur ces idées reçues. Comme le signale ce rapport, « la réalité est que l'univers numérique et Cloud commence avec du charbon » et consomme « 50% d’énergie de plus que le secteur mondial de l’aviation ». 1 500 térawatts/heure d’énergie consommée par an.