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Presse Mars 2014

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Intermittents du spectacle. Ils s'invitent chez Johanna Rolland. Ils l'avaient annoncé hier.

Intermittents du spectacle. Ils s'invitent chez Johanna Rolland

Les intermittents du spectacle nantais poursuivent la lutte pour la défense d'un statut spécifique. Ce mardi, ils viennent de s'inviter au local de campagne de Johanna Rolland, rue Beaurepaire, près de la Tour Bretagne. Cadres, seniors et intermittents, victimes des nouvelles règles de l'assurance-chômage. Les intermittents sur la corde raide. La conclusion d’un accord entre partenaires sociaux de l’Unédic, dans la nuit de vendredi à samedi, était censée apaiser les esprits.

Les intermittents sur la corde raide

Après avoir annoncé son souhait de supprimer les annexes 8 et 10 qui régissent le régime d’assurance chômage des intermittents du spectacle, le Medef a finalement accepté le principe de leur maintien. Mais la fièvre n’est pas retombée. Après avoir occupé l’Opéra Garnier à Paris dans la nuit de jeudi à vendredi, une centaine d’intermittents s’étaient installés vendredi au Carreau du Temple dans le IIIe arrondissement, d’où ils ont été délogés par la police entre dimanche et lundi. Le bâtiment récemment inauguré devait accueillir à partir d’aujourd’hui la manifestation Drawing Now, salon du dessin contemporain qui expose des travaux de plasticiens. «Massacre». Deux décisions qui pourraient, selon la CFDT, générer des économies de l’ordre de 165 millions d’euros par an. Concertation.

René SOLIS. Assurance chômage : ce qui va changer pour les demandeurs d'emploi - 23/03/2014. À l'issue d'une négociation marathon achevée dans la nuit de vendredi à hier, patronat et syndicats sont laborieusement parvenus à un accord sur de nouvelles règles d'indemnisation pour 2,2 millions de chômeurs, qui bénéficieront notamment dès le 1er juillet d'un système de «droits rechargeables».

Assurance chômage : ce qui va changer pour les demandeurs d'emploi - 23/03/2014

Le texte présenté par le patronat a recueilli un premier avis positif de trois syndicats (CFDT, FO, CFTC). La CGT et de la CFE-CGC s'y sont opposés. «Je suis très pessimiste», a expliqué Eric Aubin (CGT), qui s'est plaint que le «patronat ne discute qu'avec les organisations susceptibles de signer», sous-entendu la CFDT, la CFTC et FO. Morale et chômage ne font décidément pas bon ménage... Il est vanté dans les médias de masse aujourd'hui la soi-disant réussite d'un accord qui aurait été trouvé, pour réformer l’assurance chômage...

Morale et chômage ne font décidément pas bon ménage...

Du moins, c'est ce que certains-es veulent présenter comme problématique..., l'indemnisation des chômeurs-euses..., qui serait alors en partie résolue. La méthode coué fait des émules, réjouit ceux-celles au verre plus qu'à moitié plein..., surtout s'il s'agit de se et nous cacher certaines vérités de fait, dans le traitement du chômage et du déficit de l'UNEDIC... Et parmi ces vérités..., les soiffards voudraient vider les verres de ceux et celles les ayant plus qu'à moitié vide... Serait-ce l'ivresse de l'amnésie collective, du repli sur soi "ménagé", qui les enivre et désinhibe à ce point...? Voir ce lien Revenons-en au sujet du jour. Faut-il chercher plus loin d’où viennent les déficits cumulés de l'UNEDIC, et autres...? Assurance-chômage : ce qui va changer. Assurance chômage : intermittents et précaires promettent d'autres actions.

C'est un accord obtenu laborieusement dans la nuit entre le patronat et trois syndicats sur l'assurance chômage.

Assurance chômage : intermittents et précaires promettent d'autres actions

Mais il «permettra d'assurer, pour les deux prochaines années, la pérennité d'un régime qui joue un rôle majeur pour notre cohésion sociale», s'est réjoui ce samedi matin le ministre du Travail. Michel Sapin salue en ce sens la «responsabilité» dont ont fait preuve les différentes parties en dégageant tant bien que mal cet accord. Unedic : syndicats et patronat s’entendent pour créer des droits rechargeables pour les chômeurs. L'accord entre patronat et syndicats prévoit notamment un nouveau système de « droits rechargeables » pour l'indemnisation des chômeurs.

Unedic : syndicats et patronat s’entendent pour créer des droits rechargeables pour les chômeurs

(AFP/PHILIPPE HUGUEN) Le patronat et trois syndicats majoritaires sont parvenus à s'entendre, dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 mars, sur une réforme de l'assurance-chômage. La CFDT, FO et la CFTC ont clairement laissé entendre qu'ils signeraient le texte proposé par le Medef, même si leur choix doit être officiellement entériné dans les prochains jours par les instances de ces syndicats. La CGT et la CGC devraient eux s'opposer à l'accord, ce qui n'empêchera pas le texte d'entrer en vigueur, vraisemblablement le 1er juillet. L'ultime négociation a duré deux jours, plusieurs points de l'accord faisant l'objet de difficiles arbitrages jusque tard vendredi. Ce que l'accord sur l'Unedic change pour les chômeurs.

Création d'un nouveau système de droits rechargeables, durcissement du régime des intermittents, seniors mis à contribution : les partenaires sociaux ont décidé, dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 mars, de changer les règles d'indemnisation pour certains chômeurs.

Ce que l'accord sur l'Unedic change pour les chômeurs

Lire : Unedic : syndicats et patronat s'entendent pour créer des droits rechargeables pour les chômeurs Voici les principales mesures actées, qui ne remettent toutefois pas en cause le montant des allocations et les principes de base de l'assurance chômage (ouverture de droits au bout de quatre mois de travail, selon la règle du « un jour travaillé = un jour indemnisé »). Les droits désormais « rechargeables » Intermittents : le régime préservé, avec des mesures d'économie. Assurance-chômage : pourquoi le compte n'y est pas. ANALYSE - Cette énième renégociation de la convention d'assurance chômage, que le Medef promettait comme historique, aura été loin de tenir ses engagements.

Assurance-chômage : pourquoi le compte n'y est pas

Le projet d'accord de nouvelle convention d'assurance chômage, trouvé dans la douleur au cours de la nuit de vendredi à samedi après deux jours de discussion, a tout d'un texte inachevé, pour ne pas dire bancal. Les futurs signataires (Medef, CGPME, UPA, CFDT, CFTC et FO) se féliciteront bien entendu du juste compromis dégagé. Unedic : la négociation suspendue jusqu’à vendredi. Après une après-midi de négociation sur l'assurance-chômage, syndicats et patronat ont convenu jeudi 20 mars de se retrouver vendredi pour tenter d' aboutir à un accord.

Unedic : la négociation suspendue jusqu’à vendredi

Le Medef a lâché du lest en début de négociation en ne demandant plus formellement la fin du régime des intermittents du spectacle, mais un accord semblait encore loin à l'issue de la séance, vers 20 heures 30. "Il y a encore des écarts très significatifs", a déclaré Jean-Francois Pilliard, négociateur du Medef. Intermittents Car en échange de son recul sur la suppression du régime des intermittents, le patronat veut plafonner les allocations des intermittents à 3129 euros bruts par mois. Ils ne pourraient plus non plus dépasser ce montant en cumulant allocations et salaires. Par ailleurs, le patronat veut augmenter de deux points les taux de cotisation des intermittents. Le Medef veut aussi revoir les complexes calculs de niveaux d'indemnités en fonction du salaire, un point nettement plus polémique.

Intermittents du spectacle : le «diktat» du gouvernement a joué. DÉCRYPTAGE - L'exécutif a fait savoir à plusieurs reprises récemment, par les voix conjuguées de Jean-Marc Ayrault, Michel Sapin ou Aurélie Filippetti, qu'il était hors de question de toucher à un seul cheveu des artistes et techniciens du spectacle.

Intermittents du spectacle : le «diktat» du gouvernement a joué

Concert de chaises pour sauver le régime des intermittents - 14/03/2014. Lorsqu’il s’agit de défendre leur régime d’assurance chômage, les intermittents du spectacle savent faire… Du spectacle. Trois à quatre cents d’entre eux l’ont prouvé, hier après-midi, lors d’une «rando urbaine» organisée devant le palais de justice, les locaux de la CCI et sur la place du Capitole. Pour alerter l’opinion sur les enjeux de la négociation en cours avec le Medef qui prévoit la suppression de leur régime particulier d’indemnisation chômage ainsi que celui des salariés intérimaires, les manifestants toulousains étaient invités à se présenter devant le théâtre Sorano muni d’une chaise. Dirigés par un maître des cérémonies juché sur une voiture à pédales fabriquée en corde, ils ont utilisé leurs chaises comme les accessoires d’une grande parade ambulante qui a transformé la rue en théâtre, en salle d’audience ou en bruyant cortège de ferraille et de bois traînés sur le sol. À Toulouse, les intermittents et précaires se mobilisent pour défendre leurs droits.

La Coordination des intermittents et précaires de Midi-Pyrénées organisait aujourd'hui, jeudi 13 mars, une "journée de résistance". Cette mobilisation intervient alors que les négociations Unedic sur la réforme de l'Assurance chômage s'achèveront le 20 mars. Manifester avec des chaises, c'est ce qu'ont fait les intermittents et précaires qui défilaient cet après-midi dans les rues de Toulouse. "Pour s'asseoir, pour monter dessus, faire du bruit", expliquent les organisateurs. À une semaine de la dernière journée de négociations entre syndicats patronaux et salariaux, il était surtout question de montrer le désaccord avec les propositions du Medef concernant l'assurance chômage.

Des intermittents du spectacle manifestent à Paris et à Toulouse. Une centaine d’intermittents du spectacle, rejoints par des intérimaires, dont le régime est également discuté dans le cadre de la négociation de l’assurance chômage, occupaient jeudi après-midi la Cour des comptes à Paris, a indiqué la CGT-Spectacle dans un communiqué.

Les intermittents, dont le régime spécifique d’assurance chômage est contesté par le patronat, multiplient les actions depuis quelques semaines: occupation du ministère de la Culture, du Medef Ile-de-France, de la CGPME et cette fois-ci de la Cour des comptes, située rue Cambon dans le premier arrondissement parisien. Marseille: des intermittents gazés devant la mairie de Mennucci - Infos - Marseille. Intermittents du spectacle: la CFDT pousse l'Etat à agir. La numéro deux de la CFDT, Véronique Descacq, a dit mardi craindre que la négociation sur la réforme de l'assurance chômage "coince" si "l'Etat ne manifeste pas son intention de discuter" du dossier des intermittents "dans un délai très court".

La négociatrice de la CFDT, qui n'"exclut pas un échec" des discussions, a regretté lors d'une conférence de presse que l'Etat n'ait "ni officiellement, ni officieusement, donné la perspective" de renvoyer ce dossier brûlant à des discussions tripartites (Etat-syndicats-patronat) indépendantes de la négociation sur l'assurance chômage, discussions également réclamées par la CGT.

La prochaine - et en théorie ultime - séance de la négociation assurance chômage a été reportée lundi du 13 au 20 mars. "Ne pas y toucher, c'est impossible" Des intermittents occupent la CGPME Ile-de-France à Paris.