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Invasives

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Rhododendron ponticum. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette espèce, hybridée avec d'autres membres de la section pontica, forme aujourd'hui une population hétérogène, baptisée Rhododendron x superponticum[2] et couramment surnommée "rhododendron pontique" en raison du nom latin de l'espèce d'origine. Ce groupe d'hybrides est devenu invasif dans le Finistère, en Basse-Normandie[3] et en Grande-Bretagne[4]. Taxinomie et dénomination[modifier | modifier le code] En 1762, Carl von Linné donne à cette espèce son nom actuel[5].

Il existe deux sous-espèces Rhododendron ponticum subsp. baeticum et Rhododendron ponticum subsp. ponticum. Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Référence JSTOR Plants : Rhododendron ponticum (en) (consulté le 20 février 2014)Référence GISD : espèce Rhododendron ponticum (en) (consulté le 20 février 2014)Référence GRIN : espèce Rhododendron ponticum L. Lien externe[modifier | modifier le code] Acacia dealbata. Acacia dealbata est une espèce d'arbres ou d'arbrisseaux, couramment désignés sous le nom de « mimosa d'hiver » ou « mimosa des fleuristes », appartenant à la sous-famille des Mimosoidées.

Phytonymie[modifier | modifier le code] L'épithète spécifique dealbata (« vêtu de blanc ») fait référence à la pruine blanche qui donne un aspect argenté aux feuilles, aux rameaux et aux gousses[1]. Description morphologique[modifier | modifier le code] Appareil végétatif[modifier | modifier le code] Cet arbre ou arbrisseau, qui peut atteindre 25 m de haut à l'état sauvage (les variétés domestiques ne dépassant généralement pas les 8 m)[2], possède un tronc lisse de couleur gris-bleu à gris-brun, dont la base se fissure avec l'âge.

Ses rameaux sans épines, duveteux, portent des feuilles composées dont la longueur est comprise généralement entre 8 et 12 cm (occasionnellement 17 cm) et la largeur entre 1 et 11 cm. Appareil reproducteur[modifier | modifier le code] Systématique[modifier | modifier le code] Senecio inaequidens. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. D'abord rare dans les régions continentales, il s'est très bien adapté au climat méditerranéen : il constitue une espèce invasive dans nombre de départements du sud de la France[1]et continue sa progression vers le nord : il abonde localement en Belgique et en Allemagne[2]. Il est également très répandu dans le nord de l'Italie. Il offre la particularité de fleurir quasiment toute l'année.

Histoire et répartition[modifier | modifier le code] Le Séneçon du Cap est originaire des hauts plateaux d’Afrique du Sud où on le trouve sous ses formes diploïde (qui possède 2 séries de chromosomes) et tétraploïde (qui possède 4 séries de chromosomes). Le qualificatif inaequidens signifie à dents inégales. Description[modifier | modifier le code] Écologie et habitat[modifier | modifier le code] Au bord d'une voie rapide à Toulouse Morphologie générale et végétative[modifier | modifier le code] Morphologie florale[modifier | modifier le code]

Solidage géant. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Solidage géant ou Verge d'or géante[1] (Solidago gigantea) est une plante à fleurs du genre des Solidages et de la famille des Astéracées. Description[modifier | modifier le code] À ne pas confondre avec le solidage du Canada qui lui ressemble par sa forme. La taille du solidage géant ne dépasse généralement pas 120 cm. Le solidage géant est une espèce fortement invasive. Galerie photos[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Solidage géant, sur Wikimedia Commons Portail de la botanique. Paspalum distichum. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Liste des variétés[modifier | modifier le code] Selon Kew Garden World Checklist (1 déc. 2012)[2] : Paspalum distichum L., Syst. Nat. ed. 10 (1759) Selon NCBI (1 déc. 2012)[3] : variété Paspalum distichum var. indutum Deux taxons ont été distingués au sein de cette espèce : - subsp. distichum, - subsp. paucispicatum (Vasey) F.

Répartition[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] Cette espèce est originaire d'Amérique tropicale Espèce invasive[modifier | modifier le code] Le paspale distique a été introduit un peu partout dans le monde. Écologie[modifier | modifier le code] Le Paspale colonise les milieux humides : les plans d'eau, les rizières du sud de la France, les prairies inondables, les gazons irrigués. Le Paspale distique est classé comme adventice nuisible des cultures dans 61 pays[1]. Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Myriophyllum aquaticum. Myriophyllum aquaticum (synonyme Myriophyllum brasiliense[1],[2]), appelé en français Myriophylle aquatique ou Myriophylle du Brésil[3] (en anglais, Parrot's Feather[4]), elle est souvent vendue sous le nom Myriophyllum propium. Elle est de la famille des Haloragaceae, c'est une plante herbacée, vivace et amphibie[5].

Cette plante se développe de préférence dans les eaux relativement chaudes et stagnantes, mais présente une grande capacité d'adaptation. Elle est d'ailleurs considérée comme invasive : originaire d'Amérique du Sud, on la retrouve aujourd'hui un peu partout dans le monde [4],[5]. Elle figure sur la liste des espèces exotiques envahissantes préoccupantes pour l’Union européenne adoptée le 13 juillet 2016 par la Commission européenne[6],[7]. Myriophyllum aquaticum tire son nom du grec ancien et du latin. En effet μυριόφυλλον (myriόphyllon) vient des mots grecs μυρίος (muríos) et φύλλον (phúllon) signifiant respectivement "très nombreux" et "feuilles"[8].

Reproduction sexuée. Ludwigia grandiflora. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ludwigia grandiflora[1], la ludwigie à grandes fleurs ou jussie à grandes fleurs, parfois appelée Grande Jussie, est une espèce de plantes aquatiques de la famille des Onagraceae. Elle est originaire d'Amérique du Sud utilisée dans les aquariums d'eau douce. Introduite en Europe au XIXe siècle, elle a colonisé de nombreux étangs et cours d'eau et est aujourd'hui considérée comme une espèce de plante envahissante ou invasive dans de nombreux pays, notamment la France[2] (de même que Ludwigia peploides, espèce proche). (Article détaillé : Ludwigia#Caractère invasif, et toxicité pour d'autre espèces (allélopathie)) Caractéristiques générales[modifier | modifier le code] C'est une espèce aquatique herbacée se développant dans les eaux calmes.

Ces plantes se reproduisent facilement par boutures ce qui facilite leur prolifération. Causes et conséquences de la prolifération[modifier | modifier le code] Les moyens de lutte[modifier | modifier le code] Ludwigia peploides. Ludwigia peploides (autrefois aussi nommée Jussiaea peploides) est le nom scientifique de la Jussie rampante (plante aquatique à fleur, amphibie et fixée), souvent improprement nommée Jussie des marais, de la famille des Onagraceae, d'origine sud-américaine ou d'Australie. Synonymes[modifier | modifier le code] Jussiaea repens' KunthJussiaea peploides L. var. glabrescens Kuntz.

Confusion possible[modifier | modifier le code] Bras d'eau presque entièrement recouvert de jussie rampante Les feuilles émergées de Ludwigia peploides sont arrondies et glabres alors qu'elles sont lancéolées, mais poilues chez Ludwigia grandiflora, En France son nom peut être confondu avec un autre nom vernaculaire de jussie des marais ou Ludwigia palustris, désignant une plante autochtone, à feuilles parfois rougeâtres et petites fleurs verdâtres sans pétales (qui est elle en régression) Description et biologie de l'espèce[modifier | modifier le code] Elle bénéficie de deux types de racines ; Lutte biologique ? Balsamine de l'Himalaya. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Description[modifier | modifier le code] La Balsamine de l'Himalaya est une grande plante glabre pouvant atteindre deux mètres de haut, ce qui fait d'elle la plus grande annuelle d'Europe[1].

Ses feuilles nettement dentées sont opposées ou verticillées. Les fleurs sont roses, parfois presque blanches, rouges ou pourpres en grappes lâches, odorantes, à éperon court. Organes reproducteurs Type d'inflorescence : racème simple.Répartition des sexes : hermaphrodite.Type de pollinisation : entomogame, autogame.Période de floraison : de juillet à septembre. Graine Habitat et répartition Habitat type : annuelles pionnières des clairières et lisières médioeuropéennes, psychrophiles, hémisciaphiles. Données d'après : Julve, Ph., 1998 ff. - Baseflor. Feuilles d'Impatiens glandulifera Inflorescence à plusieurs stades (face) Inflorescence à plusieurs stades (profil) Balsamine de l'Himalaya invasive en Ariège Répartition[modifier | modifier le code] Herbe de la pampa. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'herbe de la pampa ou herbe des pampas (Cortaderia selloana) ou roseau à plumes est une grande plante herbacée vivace de la famille des Poacées, sous-famille des Danthonioideae.

Originaire d'Amérique du Sud, elle est souvent cultivée comme plante ornementale. C'est une espèce invasive[1]. L'adjectif spécifique selloana lui a été donné en 1818 par le naturaliste Alexander von Humboldt (1769-1859), en hommage au botaniste et naturaliste allemand Friedrich Sellow qui étudia la flore d'Amérique du Sud, en particulier celle du Brésil. Description[modifier | modifier le code] L'herbe de la pampa est une grande graminée pouvant atteindre trois mètres de haut, poussant en bouquets denses.

Les feuilles persistantes, longues et élancées de 1 à 2 m de long et 1 cm de large, ont les bords très coupants et doivent être manipulées avec précaution. Utilisation[modifier | modifier le code] De nombreuses variétés horticoles sont proposées, dont : Élodée de Nuttall. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Élodée de Nutall Nom binominal Anacharis nuttalliiA. c. var. planchonii (Caspary) VictorinAnacharis occidentalisElodea columbianaElodea minorElodea occidentalisPhilotria angustifoliaPhilotria minorPhilotria nuttalliiPhilotria occidentalis Classification phylogénétique Aspect général Elle a été utilisée comme plante d'aquarium et décorative, introduite hors d'Amérique où elle est localement devenue très invasive. Cette plante peut couvrir des surfaces importantes de plans d'eau, au point d'y gêner la circulation des bateaux Habitat[modifier | modifier le code] Dans ses milieux d'origine, nord-américains, cette espèce pousse immergée dans les lacs, les rivières et des plans d'eau peu profonds et elle a des prédateurs naturels qui en contrôlent les populations.

Description[modifier | modifier le code] Elle porte de petites fleurs staminées se détachant (abscission) à partir de leurs tiges et capables de flotter loin de la plante. Bidens frondosa. Dénomination[modifier | modifier le code] L'espèce Bidens frondosa a été décrite par Carl von Linné en 1753[2]. Le nom générique, bident, du latin "bidens", correspond à la description des fruits de ce genre de plantes, ceux-ci portant en général deux pointes à leur extrémité. Le nom spécifique, frondosa, vient du latin "frondosa" qui signifie touffu, désigne le feuillage dense de l'espèce[3]. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Port général[modifier | modifier le code] Le bident feuillu est une plante herbacée annuelle pouvant atteindre 120 cm de hauteur. Appareil végétatif[modifier | modifier le code] Appareil reproducteur[modifier | modifier le code] Espèces voisines[modifier | modifier le code] Une espèce voisine du bident feuillu est le bident tripartite (Bidens tripartita), espèce indigène en Europe vivant dans les mêmes milieux.

Taxonomie et classification[modifier | modifier le code] Un synonyme de Bidens frondosa est Bidens melanocarpa Wiegand. Portail de la botanique. Baccharis halimifolia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'espèce est parfois appelé « faux-cotonnier » en raison des tapis de graines qu'il produit en automne. Espèce envahissante[modifier | modifier le code] En France, elle est largement naturalisée dans de nombreuses zones littorales comme la périphérie du Bassin d'Arcachon. Dans ces régions, le Baccharis est considéré comme une plante envahissante[3] et est devenu l'ennemi des paludiers et de la biodiversité car il tend à remplacer la flore locale en formant des buissons particulièrement touffus. Une des solutions pour éradiquer le baccharis est de broyer les parcelles atteintes puis de faire paître du bétail (ovins ou bovins) sur la parcelle les années suivantes pour brouter les repousses.

Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Portail de la botanique. Renouée du Japon. Reynoutria japonica, Fallopia japonica Taxonomie et systématique[modifier | modifier le code] Le nom actuellement accepté en France est Reynoutria japonica Houtt., 1777[1],[2],[3]. Synonymes[modifier | modifier le code] Fallopia japonica (Houtt.) Ronse Decr. 1988[4],[5],[6],[7]Polygonum cuspidatum Siebold & Zucc.C'est le terme généralement employé par les biologistes et chimistes (surtout s'ils sont asiatiques)Polygonum zuccarinii SmallPleuropterus cuspidatus (Siebold & Zucc.)

H.GrossPleuropterus zuccarinii (Small) Small Étymologie[modifier | modifier le code] Le nom de Renouée fait référence à l'aspect de la tige aux nœuds très renflés[8]. Description et cycle de développement[modifier | modifier le code] Appareil végétatif[modifier | modifier le code] Cette grande plante vigoureuse a des tiges creuses érigées, rougeâtres, semblables à à des cannes de bambou, de 1 à 4 m de haut. Jeune pousse encore tendre. Appareil reproducteur[modifier | modifier le code] Biologie[modifier | modifier le code] Buddleia de David. Le Buddleia de David (Buddleja davidii), aussi appelé Buddleia du père David ou plus communément Arbre aux papillons, est un arbuste présent dans l'ensemble des régions tempérées du monde.

Originaire de Chine[1], il s'est naturalisé progressivement dans le reste de la zone tempérée à partir du XIXe siècle et est devenu une espèce exotique envahissante dans de nombreuses régions du monde et notamment en France. Étymologie et histoire de la nomenclature[modifier | modifier le code] Feuille d'herbier du père David, d'un arbuste récolté en Chine à Moupin (Thibet oriental) en août 1869. Holotype Le nom de genre Buddleja, a été dédié par Linné au révérend Adam Buddle (1662-1715), un médecin, pasteur et botaniste amateur anglais.

Franchet, qui était le correspondant au Muséum d’Histoire Naturelle de Paris du père David, en donne la première description botanique en latin publiée en 1887[3] dans Nouv. Aspects historiques[modifier | modifier le code] L’usage ornemental semble lui, très récent. R. Heracleum mantegazzianum. Ailanthus altissima. Ambrosia artemisiifolia. INTOXICATION AU SENECON DE JACOB - Service Vétérinaire équin à Domicile VETEQUINE - Audrey ROHN Montcuq. Jacobaea vulgaris. Aster à feuilles lancéolées. Liste d'espèces envahissantes.