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Salaires: scandale à la SACEM. Le monde culturel est atterré.

Salaires: scandale à la SACEM

Dans le Monde daté du 21 décembre, Bernard Miyet, président de la SACEM, l'organisme qui collecte les droits d'auteurs dans le domaine musical, révèle son salaire : 600.000 euros par an. Soit 50.000 euros par mois pour un job, qui franchement, n'a rien de tuant...Le même Bernard Miyet révèle aussi que les dix plus gros salaires de la SACEM représentent 0.37% de tout ce qui est versé aux artistes français. Autrement dit 2.5 millions d'euros, soit des salaires assez croquignolets aussi.

Les labs de l'Hadopi seront composés "d'anciens opposants" Lors d'un point d'étape organisé début mai, la Hadopi avait annoncé la création de plusieurs laboratoires d'idées ( labs ) sur le numérique. La Haute Autorité avait alors indiqué que ces structures devaient être des " ", s'inspirant " ". À l'époque, l'Hadopi souhaitait " ". Les labs " ". C'est le Collège qui déterminera " ". D'après le secrétaire général Éric Walter, cité par Le Figaro , la Hadopi est parvenue à réunir " ". Web : «J'étais mordu, je devais absolument voir cet épisode»

TÉMOIGNAGES - Les internautes repérés par l'Hadopi tentent de se justifier dans des lettres envoyées aux magistrats.

Web : «J'étais mordu, je devais absolument voir cet épisode»

Dans les coulisses de l'Hadopi, quelqu'un rit. C'est une magistrate, qui parcourt, une par une, les missives envoyées par les internautes pincés pour avoir «emprunté» un titre de musique ou un film d'un clic de souris. «C'est vrai, j'ai téléchargé l'épisode de cette série», commence un monsieur, dans une longue lettre. La Hadopi soigne les indemnités de ses membres. A quelques jours de Noël, le ministère de la Culture a publié au Journal Officiel du 17 décembre l’arrêté fixant le montant des indemnités des membres de l’Hadopi.

La Hadopi soigne les indemnités de ses membres

Est accordé ainsi 250 euros (brut) par séance plénière aux membres du collège de la Hadopi effectivement présents. Ce montant est plafonné à 6 250 euros brut annuel pour chaque membre. Pour la commission de protection des droits, la somme est identique (250 euros) pour chacune des séances à laquelle ils sont effectivement présents. La Commission se réunissant très souvent pour valider l’envoi des emails, le plafond est cette fois plus important : 26 000 euros brut annuel pour chaque membre (et 6000 euros pour les membres suppléants). Ce montant ne couvre pas toutes les rémunérations, puisqu’on sait par exemple que celle du secrétaire générale est, au maximum, de 180 000 euros par an. La Hadopi confiera des Labs à "d’anciens opposants" L'Hadopi et la bataille des chiffres médiatiques. Hadopi a envoyé 100.000 avertissements en trois mois. Hadopi : les mouchards à carreau. N'en déplaise aux moqueurs, l'Hadopi ne voudrait pas passer pour une handicapée du calendrier.

Hadopi : les mouchards à carreau

Après les innombrables mois de retard accumulés pour les e-mails d'avertissement ou la carte musique, et les récentes publications des confortables salaires et indemnités de ses membres, la Haute autorité devait passer la vitesse supérieure pour ne pas se voir accuser d'être payée à ne rien faire. C'est donc en toute urgence, hier, dimanche 26 décembre, qu'a été publié au Journal officiel ( PDF ) le décret tant attendu sur la labellisation des logiciels de sécurisation que Frédéric Mitterrand, alors ministre de la Culture, avait promis «avant la fin de l'année» . Le décret n°2010-1630 du 23 décembre 2010, c'est son petit nom, fixe les modalités de candidature pour qui souhaite faire labelliser par l'Hadopi un logiciel de «sécurisation» anti-piratage à l'attention des internautes inquiets.

Lire les réactions à cet article. Camille GÉVAUDAN. Hadopi : les factures d’identification impayées, recours en vue. Alors que l’Hadopi a demandé l’identification de 100 000 IP et organise la montée en charge de l’envoi des emails (notre actualité), un problème reste récurrent : celui des frais supportés par les FAI.

Hadopi : les factures d’identification impayées, recours en vue

Un fournisseur d’accès nous indique souffrir ainsi de « plusieurs factures impayées » : «On a envoyé des factures dès le premier jour à l’Hadopi qui les a transmises au Ministère de la Culture, depuis plus rien ». La situation serait identique chez d'autres FAI, et n'est pas surprenante en raison de la position du ministère de la Culture. Obligation de relayer les emails, sous peine de sanction Les intermédiaires sont du coup obligés de travailler pour rien, alors qu’Hadopi leur réclame des dizaines de milliers d’identifications d’adresse IP, en plus du relai des emails et de l’adaptation de leur système d’information. Et les FAI n’ont pas le choix. Pas de moindre convention tarifaire, donc pas de confidentialité Recouvrement administratif. 180 000 euros/an pour le secrétaire général d'Hadopi (MàJ) Mise à jour lundi 12 juillet 13h15 L'Hadopi s'est enfin pliée à la décision de la CADA et a révélé la rémunération maximale du secrétaire général de l'Hadopi, Eric Walter, l'ancien monsieur TIC de Nicolas Sarkozy.

180 000 euros/an pour le secrétaire général d'Hadopi (MàJ)

Comme précisé dans la délibération publiée ci-dessous, ce montant annuel brut est plafonné à 180 000 euros, soit 15 000 euros par mois... Et 65 000 euros de plus que ce que nous avions estimé après la dernière conférence de presse de la Haute autorité. Durant cette conférence la présidente Marais avait souligné que le rôle du secrétaire général va au-delà de celui d’un directeur d’administration centrale sans fournir de chiffres.

Un rapport au Sénat indiquait en 2004 qu’"un directeur d'administration centrale gagne en moyenne 115.000 euros bruts annuels". A cette occasion, la présidence avait toutefois refusé de révéler ce salaire, en invitant sèchement les journalises "d'arrêter sur cette rémunération". (Merci Melismes) Voilà le document qui fut transmis lors de cette demande. (MàJ) Copie privée : peine d'un million d'euros infligée aux ayants droit. Première diffusion 3 décembre 2011 Exclusif PC INPact.

(MàJ) Copie privée : peine d'un million d'euros infligée aux ayants droit

Copie France est condamnée à 1 million d’euros au profit de Rue du Commerce. Dans son jugement du 2 décembre, le TGI de Nanterre reproche aux ayants droit des négligences fautives alors qu'ils ont le monopole de la perception de la copie privée en France. En cause, leur inaction à l'égard des cybermarchands étrangers.