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Réflexions

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Les chiffres de l’éducation sur l’INSEE. Www.tnova.fr/sites/default/files/06032014 - Ecole commune.pdf. A quoi vont servir les 60 000 postes rétablis dans l'éducation ? Projets éducatifs locaux : Une valorisation pour les enseignants ? L'exemple de Brest. Le projet de circulaire en discussion. Le mardi 4 décembre, le ministère de l’Éducation nationale a présenté au SNUipp un projet de circulaire sur la mise en œuvre du « plus de maîtres que de classes » à la rentrée prochaine. Compte rendu des premières discussions. Pour le SNUipp, le « plus de maître que de classe » doit constituer un dispositif de grande ampleur avec un engagement pluriannuel. 1 800 postes devraient être créés pour 2013, 7000 pour le quiquennat.Il doit être au service des apprentissage des élèves.

Ces postes seront prioritairement implantés en éducation prioritaire ou « dans des écoles relevant de besoins similaires ». En tout état de cause, le SNUipp plaide pour un grand plan national de cette réforme. S’agissant de projet de circulaire, il est découpée en 5 parties : Les objectifs Le SNUipp rappelle que ce dispositif ne doit en aucun cas se substituer aux RASED comme ce fut le cas avec l’aide personnalisée. La mise en œuvre L’affectation des maîtres Sur ce sujet deux points importants : La formation.

Refondation de l'école... "J'aurais aimé..." Professeurs des écoles déclassés. Les documents remis par la direction générale de l’administration et de la fonction publique mettent en évidence un réel déclassement des professeurs des écoles : décrochage des rémunérations, retour à la catégorie des professions intermédiaires, carrières inachevées... La direction générale de l’administration et de la fonction publique (DGAFP) vient de rendre publique une série de données statistiques pour servir de base aux discussions salariales qui s’engagent dans la fonction publique. On y observe que les politiques salariales menées depuis 2000 ont favorisé le développement des primes et indemnités au détriment de la progression indiciaire.

Dans de nombreux secteurs, cela a pu amortir l’absence de hausse des salaires. Mais ceci a eu pour conséquence de maintenir l’ensemble de la rémunération des professeurs des écoles en bas de l’échelle de la fonction publique. Quelques éléments de comparaison Un réel déclassement salarial Des carrières inachevées Signer : Maternelle : Le changement c'est maintenant ? Pour une fois l'école maternelle était première.

Lors des négociations avec les syndicats le 15 octobre, Vincent Peillon a abordé en premier lieu la réforme de la maternelle. Une priorité qui ne peut que plaire aux enseignants du préélémentaire. Enfin reconnus ? Le 15 octobre, V.Peillon a posé quelques objectifs à l'école maternelle. Il lui demande de redevenir une école particulière avec ses propres méthodes et des enseignants formés à ses spécificités. De nouveaux textes devraient affirmer cette réorientation en 2014. Mais dès la rentrée 2013, V Peillon souhaite scolariser davantage d'enfants de moins de trois ans dans les zones prioritaires. L'école maternelle est bien un moment clé de la scolarité Une enquête réalisée fin 2011 pour le gouvernement québécois montre l'importance des compétences acquises en maternelle en numératie et en motricité pour la réussite scolaire.

Deux quinquennats de délitement de l'école maternelle Les quinquennats de J. La primarisation François Jarraud Lien s: De l’évaluation des enseignants. 20 juillet de l’an de grâce politique 2012. Au moment où habituellement les gens de l’école, au pire préparent leurs cours ou projets pour la rentrée, au mieux s’ingénient à bronzer entre les doigts de pieds, une cinquantaine de personnes est venue se mettre au frais d’un amphi-salle parisien du ministère.

Au programme : l’évaluation des enseignants. Suite de la réflexion qui se poursuivra en août. Faute de l’avoir été dans le ciel, l’été aura été chaud dans les esprits de l’école.Ce qui s’était dit le matin ? Trois points, autour desquels on continuera longtemps de tourner, selon son point de vue. Quand évalue-t-on ? Quels sont les différents temps, différents moments dans la carrière ? Comment évalue-t-on ? Qui évalue ? Il s’agit d’une bonne classe : on se bat pour demander la parole. Moi je prends la parole pour le CRAP-Cahiers pédagogiques : L’évaluation, elle est alors surtout liée à l’évolution. Christine VallinRédactrice en chef des Cahiers pédagogiques. Philippe Meirieu : « Refondation » : à quelles conditions ? Sollicité par le Café pédagogique, Philippe Meirieu réagit aux déclarations de Vincent Peillon. Tout en soulignant "le renversement salutaire de perspective" initié par le nouveau ministre, P.

Meirieu invite à réagir à la "désinstitutionalisation galopante" et à la montée de l'individualisme en éducation. L’arrivée de Vincent Peillon au ministère de l’Education nationale et les propos qu’il vient de tenir dans les colonnes du Café Pédagogique marquent, de toute évidence, un renversement salutaire de perspective. Malmenée, abimée, déprimée par dix années de régression, de mépris et de caporalisation, notre École peut retrouver là des raisons d’espérer. Il était temps ! Dans l’ensemble de son intervention - sans doute parce qu’il a médité sur l’action de certains de ses prédécesseurs et parce qu’il connaît bien l’histoire de notre École - le ministre apparaît modeste.

Corollaire de la désinstitutionalisation actuelle : chacun s’efforce de tirer son épingle du jeu. Philippe Meirieu. L'école dans la cité - Idées. Orientation : La FCPE demande le libre choix parental. Qui doit décider de l'orientation des élèves ? Dans un communiqué fort explicite, la FCPE remet en question le droit pour l'éducation nationale d'orienter les élèves. Pour elle, ce droit doit appartenir aux seuls parents. Pour Jean-Jacques Hazan, son président, c'est même la base d'une véritable éducation à l'orientation. C'est aussi un moyen, il ne s'en cache pas, de secouer l'ordre scolaire...

De quel droit l'éducation nationale s'arroge-t-elle le pouvoir d'orienter les enfants ? La question est posée avec vigueur par la FCPE. Dans un communiqué, la première association de parents d'élèves "n'accepte plus que l'institution impose ses choix aux élèves, alors même qu'ils sont en capacité de décider de leur avenir". Interrogé par le Café pédagogique, Jean-Jacques Hazan juge le système actuel d'orientation "anormal". Mais n'est ce pas encourager les parents à faire des choix impossibles ? L'orientation amplifie les inégalités sociales ? La FCPE annonce d'autres initiatives. Refondation. La peur des ruptures. Suite des travaux du groupe 3 sur le thème « Une école juste pour tous les territoires » qui a alterné plénières et sous-groupes, l’un sur la gouvernance, l’autre sur l’évaluation. Toujours cette impression générale décrite dans les chroniques précédentes, renforcée par le fait que les concepteurs des politiques éducatives et les responsables de leur mise en œuvre, le plus souvent techniciste et autoritariste, s’enhardissent et viennent faire l’apologie de ce qui a mis le système éducatif sur la voie de la catastrophe.

Spectacle parfois étonnant qui conduit les militants pédagogiques à se demander pourquoi on a osé parler de refondation alors que tout va bien et qu’il suffit d’améliorer quelques domaines particuliers et quelques problèmes marginaux. Il est vrai que les débats manquent d’un cadre de pensée, en grandes tendances, d’une vision de l’école du futur à longue échéance, d’une réflexion prospective sur la place de l’école dans la société de la connaissance et de la communication.

Refonder n’est pas dissoudre. Publié par Michel GUILLOU sur son blog J’aime quand les réalités finissent par surgir et éclater au grand jour. J’avais, au début de l’été, dans cet article, tenté d’alerter sur les limites prévisibles du débat sur la refondation de l’école. Derrière les bonnes intentions liminaires, on devinait que la démarche retenue se limiterait aux entrechats ministériels et au saupoudrage de mesurettes. Ce n’est pas terminé, patientons… J’ai l’impression pourtant, à lire les commentaires, que nombreux sont ceux qui, conviés à participer à titre personnel ou parce qu’ils sont les représentants d’associations ou de syndicats, ont essayé de collaborer dans un premier temps pour convenir plus tard d’un certain ressenti empreint de franche déception. Educavox publie un article récent de Pierre Frackowiak dans lequel ce dernier évoque la peur des ruptures. Inquiétant, en effet ! Prenons l’exemple de la gouvernance. Bon, tout ça n’est pas fait pour renforcer mon optimisme déjà fort entamé.

Oui et non. Rythmes scolaires, évaluation et violence : nouvelles annonces de Peillon. Le ministre de l'Education natio­nale Vincent Peillon a annoncé dimanche sur BFMTV plu­sieurs mesures concer­nant les rythmes sco­laires, la vio­lence à l'école et la notation. 180 jours de classe par an Le ministre a ainsi annoncé qu'il sou­hai­tait s'orienter vers une année sco­laire de 180 jours pour l'école pri­maire. Les écoliers fran­çais ont actuel­le­ment 144 jours de classe par an, trop peu pour le ministre, qui sou­haite allon­ger l'année sco­laire et zoner les vacances d'été pour allé­ger les jour­nées.

Mais cette ambi­tion se heurte notam­ment à l'opposition des fédé­ra­tions de parents d'élèves, qui ne sou­haitent pas « com­pli­quer davan­tage la vie des familles ». Un obser­va­toire de la vio­lence sco­laire pour ren­for­cer la prévention Une nota­tion « plus encourageante » Rythmes scolaires : une semaine décisive - Éducation / jeunesse. Le ministre Vincent Peillon a présenté mardi aux syndicats d'enseignants sa vision de la journée de classe pour la prochaine rentrée. Les syndicats sont déçus : les semaines sont toujours trop lourdes. Ils demandent au ministre d'avoir de l'ambition face aux collectivités locales reçues ce mercredi. Le futur emploi du temps des écoliers est en pleine négociation. Vincent Peillon a présenté son scénario. Pour les syndicats le calcul est vite fait : les semaines restent très lourdes pour les enfants comme pour les enseignants.

L'investissement des collectivités locales : enjeu crucial Les enseignants attendaient un réel allègement des journées. D'accord pour l'école le mercredi matin, mais en échange de plus de souplesse en fin de journée le reste de la semaine Thierry Cadart du SGEN CFDT Pour Christian Chevalier, du syndicat Unsa, le ministre ne doit pas cèder face aux collectivités locales. Vincent Peillon : "Aucun enfant ne sera hors de l'école avant 16h30" LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mattea Battaglia, Maryline Baumard et Aurélie Collas (Propos recueillis) Mardi 9 octobre, le chef de l'Etat a refermé les trois mois de concertation et énoncé ses priorités pour l'école. Le ministre de l'éducation, Vincent Peillon, sa feuille de route en main, expose dans une interview exclusive au "Monde" sa méthode et son calendrier pour mettre en œuvre la refondation de l'école.

Du discours de François Hollande, l'opinion retient la fin des devoirs à la maison. Qu'est-ce que cela dit de notre société ? Vincent Peillon : Ce n'est pas le seul sujet retenu, et heureusement! On aurait aussi pu retenir les efforts que nous allons produire pour améliorer les résultats des élèves dès le début de la scolarité obligatoire, ou l'"orientation choisie", cette idée qu'un enfant doit construire son parcours plutôt que de le subir, avec l'expertise et les conseils avisés de ses enseignants et des professionnels de l'orientation, mais aussi avec sa famille. Organiser les temps de vie de l’enfant et du jeune. Alors que se sont terminées aujourd’hui les réunions dans le cadre de la refondation sur le thème des "rythmes éducatifs adaptés, nous souhaitons porter à votre connaissance l’intéressante contribution de Claire Leconte chercheure en chronobiologie. Elle s’articule autour de 13 propositions détaillées et argumentées dans ce document : Parce que le cadre de la loi n’est qu’une première étape et que beaucoup de choses restent à discuter et à échanger, n’hésitez pas à nous faire part de vos avis.

Like this: J'aime chargement… Eric Debarbieux et la violence scolaire, le sujet d'une vie. Eric Debarbieux, chercheur et spécialiste de la violence scolaire, s'est vu confier le 17 septembre par le gouvernement une délégation ministérielle "chargée de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire". LE MONDE | • Mis à jour le | Par Maryline Baumard Entre Eric Debarbieux et la violence, c'est une histoire de 35 ans. Leur premier rendez-vous a symboliquement lieu le jour de sa première rentrée, en 1978 dans la Drôme. Le jeune instituteur spécialisé doit séparer deux garçons qui se bagarrent violemment sur le seuil de sa classe. "Moi qui pensais qu'il allait être plus facile de gérer des classes que les groupes de délinquants de Roubaix auprès de qui j'avais travaillé cinq ans comme éducateur", se souvient le nouveau délégué ministériel chargé de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire, nommé le 17 septembre par Vincent Peillon.

"La prise de conscience médiatique et politique sur la violence scolaire remonte à 1991. Concertation_reglements_interieurs_des_etablissements_scolaires_proposition_de_la_coordination_pour_l_education_a_la_non_violence_et_a_la_paix.pdf (Objet application/pdf) Concertation_heure_de_vie_de_classe_proposition_de_la_coordination_pour_l_education_a_la_non_violence_et_a_la_paix.pdf (Objet application/pdf) Anpeip_20120923_concertation_propositions.pdf (Objet application/pdf)

Scolarisation des élèves handicapés : la cacophonie continue. «La rentrée scolaire des enfants handicapés a eu lieu dans la même cacophonie que l’an dernier », a regretté Sophie Cluzel, présidente de la Fédération nationale des associations au service des élèves présentant une situation de handicap (Fnaseph), le 20 septembre.

D’après les extrapolations de sa veille téléphonique, la Fnaseph estime qu’il y a toujours entre 5000 et 6000 enfants handicapés sans solution qui restent à la maison. Un chiffre identique aux années précédentes. « Quel que soit leur parcours par la suite, nous considérons que ces enfants sont sous la responsabilité de l’Education nationale, et qu’elle doit les prendre en compte ! », s’insurge Sophie Cluzel. Pour Philippe Van Den Herrewegue, délégué ministériel à l’emploi et à l’intégration des personnes handicapées, les familles rencontrent toujours le même type de difficultés.

Quel métier pour l’accompagnement ? Pour plus d'égalité entre filles et garçons à l'école. Le 10 juillet dernier, l’Etat et les partenaires sociaux s’accordaient unanimement pour relancer le processus de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Cet objectif ne peut être disjoint d’un autre engagement : mettre l’égalité des filles et des garçons au cœur même de la refondation républicaine de l’école Certains s’interrogeront encore. L’école mixte n’est-elle pas déjà le creuset de l’égalité ? La réussite scolaire des filles aux examens et la relative surreprésentation des garçons parmi ceux qui décrochent de notre système scolaire n’est-elle pas le signe que l’école compense largement les inégalités de genre ?

L’égalité entre les femmes et les hommes est aujourd’hui une valeur et une promesse de la République, en même temps qu’un objectif fondamental de l’institution scolaire. C’est précisément à l’aune de cette promesse et des espoirs qu’elle suscite qu’il faut mesurer le chemin qu’il reste à parcourir… et il est encore long. Nous ne partons pas de rien. L'égalité filles - garçons oubliée par la concertation ? "Réformer l'ortografe pour l'enseigner"