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Thème 1: Le 18è. Expansions, Lumières et révolutions

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Musée Carnavalet sur Twitter : "Découvrez en vidéo les enjeux et le conséquences de la démolition de la #Bastille en 1789: #14juillet #Révolution" La Révolution à la poursuite du crime ! Cette exposition virtuelle reprend en partie celle qui a été présentée aux Archives nationales à Paris, hôtel de Soubise, du 18 novembre 2009 au 15 février 2010.

La Révolution à la poursuite du crime !

Elle consiste en une sélection de pièces extraites des fonds des Archives nationales, et qui font revivre une délinquance ordinaire à Paris que les journées révolutionnaires et les procès politiques ont rejetée dans l’ombre… Présentation de l’exposition par Sylvie Nicolas© Connaissance des Arts À noter : En complément aux documents et articles liés à cette exposition, il est possible de consulter dans l’espace pédagogique, une sélection de documents sur le modèle révolutionnaire de justice pénale (par Jean-Claude Farcy) Le siècle des Lumières : un héritage pour demain. Chronologie - La révolution française. Loin de croire qu’il serait nécessaire de « tout » balayer pour bâtir à neuf, Rousseau au contraire ne cesse de montrer que la vie des corps politiques et des institutions repose sur les mœurs, sur la « loi, gravée dans le cœur des citoyens ».

Chronologie - La révolution française

Quand un penseur est persuadé comme il l’est, que les relations sont indissolubles entre politique et éducation, il ne saurait prêcher révolution et guerre civile. Il y a plus : aucune philosophie politique n’est programmatique. Penser la nature du politique ne consiste pas à élaborer des propositions de changements. Or, la notion de contrat social, comme celle de volonté générale, ne désignent aucun phénomène réel, passé ou à venir ; rappelons qu’aucun penseur du « pacte social » à l’âge classique ne songe à une situation primitive qui aurait existé, mais tous cherchent à cerner les principes sur lesquels se fonde toute société politique. Cela signifie que la volonté générale est la volonté de chacun et non une fictive volonté collective. Découvrir la période napoléonienne du Consulat à l'Empire - francet... Vidéo Waterloo : un squelette de soldat mis au jour 200 ans plus tard de LCIWAT (Actualité - LCIWAT.

Napoléon Bonaparte : Histoire, Citations, Discours, Musique, Maréchaux, Opinions, Invalides... Institut d'Histoire de la Révolution française. 21 janvier 1793 Régicide. C’est dans un article du 21 janvier 1893 paru pour le centenaire de la décapitation du roi dans le quotidien Le Gaulois – journal auquel participèrent nombre de plumes telles que Zola, Barbey d’Aurevilly, Maupassant ou encore Mirbeau, et qui fusionnera en 1929 avec Le Figaro –, que Simon Boubée (1846-1901) retrace une journée du 21 janvier 1793 marquée, selon lui, par un crime dont la France ne sortira pas indemne.

21 janvier 1793 Régicide

Aujourd’hui 21 janvier 1793, s’est commis un des plus grands crimes de l’histoire. Le plus lâche peut-être, et le plus gratuit. Le roi Louis le seizième a été décapité par la hideuse machine du citoyen docteur Guillotin, écrit Boubée. Il fut, avec Henri IV celui de nos Rois qui eut le plus et le mieux le sens du progrès social et le désir du bonheur de son peuple. Henri IV est mort victime de la sanguinaire extravagance d’un fanatique, Louis XVI est mort victime de la cruelle, impitoyable et d’ailleurs absurde politique d’un groupe de sophistes et d’ambitieux agitateurs. La prise de la Bastille, le 14 juillet 1789.

Contexte historique La menace d’un complot aristocratique suite à la réunion des états généraux, la nouvelle du renvoi du ministre Necker, le 11 juillet, dénoncé par Camille Desmoulins comme le « tocsin d’une Saint-Barthélemy des patriotes », suscitent une vive émotion dans le peuple parisien, alors que se profile le spectre de la disette et que le roi a massé des troupes autour de Paris.

La prise de la Bastille, le 14 juillet 1789

Une milice bourgeoise est constituée en même temps qu’est proclamée une « municipalité insurrectionnelle ». La colère monte et finit par déclencher l’insurrection. La foule qui se pressait devant la Bastille ne cherchait pas à attaquer cette prison d’Etat presque vide, qui n’en demeurait pas moins un symbole de l’arbitraire royal : c’était une forteresse imprenable.

Elle exigeait du gouverneur, Bernard Jordan de Launay, des armes et le retrait des canons pointés sur le faubourg Saint-Antoine. Analyse de l'image Interprétation. Premier empire.