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Michel Bauwens : « Uber et Airbnb n’ont rien à voir avec l’économie de partage » Ancien chef d’entreprise, Michel Bauwens étudie depuis une dizaine d’années l’économie collaborative et ses réseaux qui s’organisent pour créer des outils partagés et mutualiser les savoirs et le travail.

Michel Bauwens : « Uber et Airbnb n’ont rien à voir avec l’économie de partage »

Auteur de « Sauver le monde, vers une société post-capitaliste avec le peer-to-peer » (Les Liens qui libèrent), il est l’un des théoriciens des « communs », un modèle économique et politique d’avenir selon lui, et une réponse à la crise écologique et de civilisation liée à la raréfaction des ressources. A condition que l’Etat joue pleinement son rôle de régulateur. Comment analysez-vous la crise que provoque en France l’installation de plateformes telles qu’Uber ? Il faut faire attention au vocabulaire qu’on emploie. L’« économie de partage » que j’appelle « pair-à-pair », où les individus s’auto-organisent pour créer un bien commun, a un potentiel émancipatoire important. Article réservé à nos abonnés Lire aussi L’économie collaborative, entre partage et business. Ce scientifique pense avoir trouvé le secret pour vivre jusqu'à 150 ans. Suivez-nous sur Facebook Avant de partir, suivez-nous sur Facebook Vous êtes déjà abonné ?

Ce scientifique pense avoir trouvé le secret pour vivre jusqu'à 150 ans

Ne plus afficher. L'étrange trouble de la femme qui voyait des dragons à la place des visages. Suivez-nous sur Facebook Avant de partir, suivez-nous sur Facebook Vous êtes déjà abonné ?

L'étrange trouble de la femme qui voyait des dragons à la place des visages

Ne plus afficher Partager sur Facebook Une Néerlandaise a vécu un cauchemar jusqu'à enfin être soignée à l'âge de 52 ans : les visages de ses proches se changeaient en figures de reptiles avec des yeux brillants et des oreilles pointues. Vivre entourée de monstres, voilà le cauchemar que vivait une Néerlandaise de 52 ans. "Elle pouvait percevoir et reconnaître les visages réels, mais après plusieurs minutes, ils devenaient noirs, s'allongeaient, avec des oreilles pointues et un museau saillant, et présentaient une peau de reptile et des yeux énormes jaunes vifs, verts, bleus ou rouges", a expliqué, dans une publication en 2014, l'équipe de recherche qui s'est penchée sur ce cas. Un trouble en 21 lettres La patiente voyait même ces "dragons" sortir des murs, de son écran d'ordinateur et des prises électriques.

Il s'agit d'un syndrome visuel et émotionnel. Un cas qui reste mystérieux. Le syndrome de Cotard, l'étrange maladie qui fait croire à une personne qu'elle est morte. Suivez-nous sur Facebook Avant de partir, suivez-nous sur Facebook Vous êtes déjà abonné ?

Le syndrome de Cotard, l'étrange maladie qui fait croire à une personne qu'elle est morte

Ne plus afficher Partager sur Facebook Le syndrome de Cotard est une étrange forme de trouble mental qui pousse les personnes qui en souffrent à penser que l'un de leurs organes est pourri, mort, ou qu'elles sont elles-mêmes déjà décédées. Ce trouble semble tout droit sorti d'un film d'horreur et est même apparu dans la série américaine Hannibal, et pourtant, il est bel et bien réel. Il se caractérise par l'apparition d'un ou plusieurs délires totalement dénués de sens et généralement liés à la mort.

Mythes

Réalisme magique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Réalisme magique

Cette appellation est surtout associée aujourd’hui à certaines œuvres ou à quelques auteurs de la littérature latino-américaine du XXe siècle comme les Mexicains Carlos Fuentes et Juan Rulfo, les Argentins Adolfo Bioy Casares et Julio Cortázar, le Bolivien Jaime Sáenz, ou encore le Colombien Gabriel García Márquez, prix Nobel de littérature en 1982, dont le roman Cent ans de solitude publié en 1967, est souvent cité comme exemplaire. L’origine de ce terme et sa portée sont pourtant beaucoup plus généraux car il a été utilisé pour qualifier une grande variété de romans, de poèmes, de peintures ou de films ainsi que pour définir différents styles, esthétiques, genres, courants, mouvements et écoles, tant en Europe qu’en Amérique, et étendu, de manière plus récente, à la world literature.

Histoire[modifier | modifier le code] Peinture et littérature[modifier | modifier le code] Cinéma[modifier | modifier le code]