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Prix Ali Boudoukha

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Que disent les musulmanes de France. L'autre drame de l'immigration clandestine : Ces Subsahariens qui naissent à Oran. Par Mustapha Mazari, Le Quotidien d'Oran, 9 décembre 2013 Longtemps terre de transit pour les migrants dans leur quête du mirage européen et l'appel des sirènes miroitant une meilleure vie, l'Algérie est devenue ces dernières années une terre d'immigration pour les Subsahariens.

Une destination finale pour une grande partie d'entre eux. Des milliers arrivent, quelques milliers d'autres s'installent, des centaines d'autres retournent chez eux, forcés ou de leur propre gré. Et des centaines naissent en terre d'Algérie. Hormis les étudiants, nombreux d'ailleurs dans les universités d'Oran, tous les autres ressortissants subsahariens sont en situation irrégulière. Ils sont de différentes nationalités et vivent d'expédients. L'hiver est dur, très dur, pour eux. Au départ, des hommes arrivent seuls à Oran, comme des éclaireurs, histoire de tâter le terrain, trouver des repères, des compatriotes.

Des aides symboliques sont apportées aux Subsahariens, des médicaments, notamment. La règle du jeu. Ali est parti. Céramique Boumehdi - Articles de presse. "Le Quotidien d’ORAN daté du 11 mai 25-08-2010" L’art de la céramique ou l’école des Boumehdi Le père a ouvert la voie. Les fils l’ont suivi. Le patriarche Mohamed Boumehdi , qui a quitté ce monde en décembre 2006 , a vécu de la dextérité de ses doigts et son sens du beau .

Cet homme au talent modeste n’a pas basculé dans l’industrie. L’atelier de Kouba créé en 1966, c’est la ruche. C’est qu’a construit Mohamed Boumehdi , au fil de dizaine d’années de labeur , la petite entreprise familiale aujourd’hui animée par ses trois fils : Toufik , Hachemi et Rachid . L’ainé, Toufik, est le premier disciple de son père. Encouragé par FERNAND POUILLON, Hachemi , le cadet , a lui choisi une ligne moderne , en travaillant sur le verre qui nécessite le recours à d’autres techniques que celles usitées pour la poterie et les carreaux . Le maitre a laissé faire, Hachemi animé l’atelier de verre et ca marche bien. EMPREINTES Ses empreintes sont partout .

Le Quotidien d’ORAN. L'interminable feuilleton algérien d'«Orangina» L'exploitation exclusive en Algérie de la marque «Orangina» est revendiquée par Djgaguen Maâmar, directeur des établissements BGAO, par l'embouteilleur «Frères Zaâf» et la Compagnie Française des Produits Orangina (CFPO). L'affaire est devant les tribunaux algériens depuis des années. De procédure en procédure, pour le moment, elle a débouché sur une solution de compromis, à savoir l'exploitation commune de la marque par les deux parties en conflit. Les frères Zaâf, embouteilleurs exploitants autorisés par «Orangina Schweppes» sont partie prenante dans les procédures judiciaires relatives à l'exploitation de cette marque de limonade «héritée de la colonisation», face à Maâmar Djguaguen des établissements BGAO.

On ne compte plus les procès dans cette affaire. Le dernier date de la fin mai. La chambre commerciale de la Cour de Blida a autorisé l'exploitation de la marque «Orangina» par les deux producteurs, en Algérie. Une limonade «bien vacant» Une saga internationale Le Quotidien d'Oran. Aux portes des villes, les déracinés. Les ruraux fuient la plaine de la Mitidja. Des bidonvilles sont en train de se reconstituer. Alger correspondance Assis côte à côte sur le bord du trottoir, les deux gamins ont l'air absent. Eux, ce sont les étrangers. Ils habitent le quartier depuis la rentrée scolaire. Leurs copains de classe résident plus loin, à la sortie du village, mais ils ne peuvent y aller sans l'autorisation des proches qui les hébergent.

Sur le trottoir d'en face, une grappe d'adolescents jouent gaiement sans faire attention à eux. Djamel et son frère Ali n'ont pas envie de s'amuser. Menacés à Bougara. Bougara, Sidi Moussa, Chebli, Baraki ou Boufarik sont ces communes de la plaine de la Mitidja où se succèdent les massacres. Des baraques qui avaient disparu depuis le début des années 80, avec la campagne de «débidonvillisation» lancée par le régime de Chadli Bendjedid. Le retour des bidonvilles. Djamel et Ali ne sont pas en mesure de comprendre ce qui leur arrive.

BOUAZID Ali. "La présidence est une annexe du ministère de la Défense" « La Présidence est une annexe du ministère de la Défense » Lahouari Addi, Libre Algérie N°30, 25 octobre - 7 novembre 1999 Propos recueillis par Mabrouk Hamena Ses opinions et ses études sur l'Algérie, son pays, sont une référence. Professeur de sociologie politique à l'Institut d'études politiques de Lyon, Lahouari Addi intervient fréquemment dans la presse nationale pour analyser la situation socio-politique avec la distance qui sied à l'universitaire. Il vient de publier aux éditions La Découverte un ouvrage de sociologie de la famille et de l'espace public en Algérie intitulé les Mutations de la société algérienne : famille et lien social dans l'Algérie contemporaine. Il y a quelques années, se projetant positivement au-delà de la grave crise actuelle, il a lancé la formule de « régression féconde ». Les principales capitales occidentales - Paris et Washington notamment - semblent séduites par A.

Comment interprétez-vous le soutien du RCD et de l'ANR à la politique officielle ? A. A. El Hadi Chalabi à Libre Algérie: Information, mystification et diwan des généraux. El Hadi Chalabi à Libre Algérie Information, mystifications et diwan des généraux Propos recueillis par Mabrouk Hamena, Libre Algérie, 10-23 avril 2000 Dans la plupart des cercles médiatiques locaux «politiquement corrects», mais aussi chez quelques décideurs-commanditaires, la Presse algérienne au-dessus de tout soupçon (*) , étude critique d'El Hadi Chalabi a créé un malaise sourd.

Il s'est manifesté par un embargo quasi total de sa sortie en librairie. Bien que limitée à quelques quotidiens, mais non des moindres, cette étude a mis a nu, à travers l'examen du traitement de quelques événements nationaux retentissants, des motivations éditoriales généralement aux antipodes des principes du journalisme et des préoccupations de la société.

Libre Algérie : La Presse algérienne au-dessus de tout soupçon est paru depuis peu à Alger. En premier lieu, et d'une façon générale, la presse, son régime, le statut du journaliste font partie intégrante de l'étude des libertés publiques. De la grande discorde au pourrissement. De la grande discorde au pourrissement Mabrouk Hamena, Libre Algérie n° 56, 23 octobre - 5 novembre 2000 L'année 2000 va se terminer sans que se dégagent des perspectives sérieuses de salut national. L'Etat et la nation sont toujours otages, la paix civile, aspiration collective largement partagée, n'est toujours pas au rendez-vous. Tous les souteneurs de la formule concorde civile, qui savaient que celle-ci n'était qu'un acte administratif autoritaire, font semblant de déchanter. Ils sont dans la presse, au Parlement, dans le gouvernement ou l'ont rejoint au terme des deals clientélistes habituels.

Ils se remettent à grossir le spectre de la violence comme si un jour, depuis la mascarade référendaire sur la concorde civile, ce spectre avait complètement déserté cette terre. Ils ont tous fait semblant d'oublier que la démarche en question a été échafaudée sur l'accord secret «AIS-pouvoir». Mais tant pis, car elle est toujours en vigueur. Le Monde diplomatique, mars 1996.