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Soutenir les PME et les Start-UP (Confiance numérique)

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Bibliographie. Soutenir les PME et les Start-Up (confiance numérique) Soutien aux start-up. Le programme des prêts d'honneur Soutenir et encourager l'entrepreunariat dans les écoles Télécom de l'institut Mines-Télécom L’entrepreneuriat est inscrit au cœur de la formation au sein des écoles Télécom. Depuis l’an 2000, des incubateurs ont été créés sur chacun des campus où chaque année 50 nouvelles jeunes entreprises sont créées. Ces incubateurs sont un véritable vivier d’entreprises et un bouillonnement entrepreneurial pour les écoles, les étudiants et les chercheurs. En 2011, la Fondation Télécom crée un fonds de prêt d’honneur pour les start-up incubées dans les écoles Télécom de l’Institut Mines-Télécom, en collaboration avec France initiatives.

Découvrez les start-up en vidéos ! Les start-ups Lauréates des prêts d’honneur Téléchargez ici la fiche récapitulative des lauréats des prêts d'honneur 2012 Téléchargez ici la fiche récapitulative des lauréats des prêts d'honneur 2013 Téléchargez ici la fiche récapitulative des lauréats des prêts d'honneur 2014 Session de décembre 2015 MyQaa. Institutions de soutien. Pourquoi souhaitons-nous travailler avec des institutions soutenant les PME? Étant donné l'immense nombre de PME, collaborer avec des institutions qui représentent les intérêts de ces entreprises aux échelons international, régional, national et local semble être la seule façon d'atteindre effectivement un nombre aussi vaste de clients potentiels.

Par le biais d'une collaboration de ce type, les services de propriété intellectuelle aux PME pourraient s'inscrire dans le cadre des services qui visent à aider ces entreprises à être à la hauteur de leurs tâches quotidiennes. Nombre d'institutions de soutien disposent de sites Web fort utiles, dont certains sont indiqués ci-après. Qui sont-ils? Ils peuvent être des institutions chargées de formuler, financer et mettre en oeuvre des politiques et activités destinées à soutenir l'essor du secteur des PME, ainsi que des offices de propriété intellectuelle et des consultants d'entreprises. Comment coopérons-nous et collaborons-nous? 100 millions d'euros pour soutenir les start-up de la filière robotique et équiper les PME françaises. Arnaud Montebourg a annoncé le lancement de son plan pour soutenir la robotique française, à l'occasion de l'inauguration du salon Innorobo, mardi 19 mars à Lyon.

Nom de code : "France Robots Initiatives". Sa mission : faire de cette filière l'un des fleurons de l'industrie française et l'un des leader mondial d'ici à 2020. Doté de 100 millions d'euros, ce plan a pour objectif de stimuler la recherche et développement dans cinq domaines prioritaires : le transport et la logistique, la défense et la sécurité, l'environnement, les machines intelligentes et l'assistance à la personne.

Faciliter le financement des entreprises Le plan gouvernemental prévoit ainsi de faciliter l'accès au financement des start-up de la filière en s'appuyant sur deux leviers : 1. L'action du FSN-PME (Fonds national pour la société numérique), un fonds commun de placement à risque (FCPR) de 400 millions d'euros chapeauté par CDC Entreprises. 2. Robotiser les PME. Comment soutenir les start-up françaises à l'international. Un « grand moment politique ». C’est ainsi que l’association France Digitale décrit la troisième édition du France Digital Day, qui se tiendra le 15 septembre prochain à Paris. Baptisé « Battle for Greatness » (« lutte pour la grandeur »), l’agenda de cette journée dédiées aux entrepreneurs est ambitieux. Alors que les élections présidentielles de 2017 approchent, France Digitale souhaite en effet proposer des mesures concrètes, pour permettre au pays de développer son écosystème numérique et entrepreneurial.

L’occasion d’inviter membres du gouvernement, politiciens de tous bords, entrepreneurs et investisseurs pour discuter des grandes orientations numériques de la France à l’horizon 2017, pour mieux accompagner les start-up dans leur développement, et les aider à rayonner au-delà des frontières de l’Hexagone. Un « Grenelle du digital » Il faut dire que les freins sont nombreux. . « La France compte de nombreux entrepreneurs, il y a de nombreuses initiatives qui sont prises. 150 emplois sur Calais dans les deux ans dans des start-up innovantes - - Nord Littoral. Le projet calaisien d'accélérateur de start-up a bien grandi. Moins d'un an après avoir signé un partenariat avec la CCI-Côte d'Opale, via SNCF Développement, John Lewis, co-fondateur de DojoBoost, aujourd'hui devenu Tektos, a décidé d'aller plus loin Dans une ville sinistrée par le chômage, une telle bonne nouvelle se déguste avec bonheur.

L'accélérateur de start-ups Tektos, qui s'est installé, Zone Marcel Doret, veut créer 150 emplois qualifiés à Calais d'ici deux ans. Des ingénieurs pour une bonne moitié d'entre eux, mais aussi des commerciaux, des designers... John Lewis voit la cité des Six-Bourgeois comme l'endroit idéal pour développer son projet. Le dirigeant américain ne veut plus « faire de Calais le principal pôle de start-up au Nord de la France » (voir NL du 16/10/2013) mais le principal pôle de France tout court. Le FSI va davantage soutenir les PME et les start-up. Depuis sa création en 2008, le Fonds stratégique d’investissement (FSI) a injecté 5,9 milliards d’euros dans l’économie française. Outre les fleurons de l’industrie de l’Hexagone, il a investi directement dans 30 PME « importantes ». Et, de manière connexe à travers des fonds d’investissements, il a injecté 3,1 milliards d’euros dans 1600 entreprises de toutes tailles. Souvent considéré comme un fonds souverain « à la française », le FSI a été créé en 2008 sur l’initiative du Président de la République.

En pleine crise, il a pour mission de financer les entreprises françaises manquant de capitaux. Organisé en société anonyme, Le FSI détenait fin 2010 presque 22 milliards d’euros d’actifs (son rapport annuel en pdf). Ses actionnaires sont la Caisse des Dépôts (51%) et l’État (49%). Il ne prend jamais de participation majoritaire, et « recherche une rentabilité dans la norme du marché. » Mais le FSI sait aussi se désengager. Une expérience réussie a priori. (Lire la fin de l’article page 2) Les (grands) moyens de l'Ile-de-France pour soutenir ses PME-PMI innovantes. Les start-up souffrent de solitude. Jean-Paul Planchou, vice-président de la région Ile-de-France en charge du développement économique et de l'innovation en est convaincu. Pas question de laisser se débattre seules ces entreprises franciliennes en forte croissance, essentiellement des petites et moyennes entreprises (PME) et industries (PMI), principales créatrices d'emploi de la région.

Pour conforter la place de l'Ile-de-France au rang de premier foyer national de start-up, le conseil régional a choisi de les bichonner. À coups de millions d'euros. Sélection Première étape : sélectionner des entreprises qui "se sentent [vraiment] seules", selon les mots de Jean-Paul Planchou. C'est notamment le cas des zones urbaines économiquement défavorisées, où les entrepreneurs sont également susceptibles de "se sentir seuls". Toilettage Une fois les poulains de la région soigneusement sélectionnés, le conseil régional les accompagne dans leur stratégie à long terme. Renflouement Remise à flot.