Hydro-Québec s’entend avec le Nouveau-Brunswick. Hydro-Quebec augmentera ses ventes d’électricité au Nouveau-Brunswick et aidera Énergie NB à rénover sa plus importante centrale hydro-électrique.
Publié le 10 janvier 2020 à 9h10 ✓ Lien copié Hélène Baril La Presse L’entente conclue vendredi matin entre les deux entreprises prévoit l’exportation de 47 térawattheures d’électricité québécoise vers le Nouveau-Brunswick, en plus de ce que la province voisine achète déjà. Un des principaux éléments de l’entente signée vendredi est l’ouverture de discussions entre les deux provinces pour construire de nouvelles interconnexions afin de rejoindre le marché américain en passant par le Nouveau-Brunswick.
Hydro-Quebec assure avoir assez d’énergie pour alimenter quatre millions de foyers dans les provinces maritimes et le Nord-Est américain, en plus de ses engagements existants. La centrale de Mactaquac d’Énergie NB, qui a des problèmes de fissuration du béton, sera rénovée avec l’aide d’Hydro-Quebec dans le but de prolonger sa vie utile jusqu’en 2068. Une batterie thermique pour les habitants du Nunavik. Le diésel est partout dans le Grand Nord québécois : il alimente centrales thermiques, fournaises et autres chaudières qui font désordre dans les vastes étendues blanches.
Sans son précieux apport, les quelque 13 000 habitants des 14 communautés du Nunavik ne pourraient notamment pas réchauffer leur eau. Survivre sans diésel est impensable. Chaque année, à Kuujjuaq, ce sont 54 000 L de ce carburant qui brûlent dans les chaudières. Jasmin Raymond, professeur au Centre Eau Terre Environnement de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), et son stagiaire postdoctoral Nicolò Giordano veulent réduire cette dépendance au diésel. Ils misent sur les énergies renouvelables et sur une mystérieuse « batterie thermique », située 30 m sous terre. « Le stockage thermique souterrain permet d’accumuler de l’énergie sous nos pieds pendant l’été, alors que sa production par le solaire est possible.
La technologie est déjà employée un peu partout. Opinion: Hydrogen has a major role to play in the clean-energy future – which presents Canada with an opportunity. The sun is setting on the fossil-fuel industry as we know it, not just in Canada, but globally.
It may never go completely dark, but its direction and much-diminished role is certain in an increasingly climate-constrained world. Another certainty is that the most costly fossil-fuel projects with the highest carbon intensities will be the first ones stranded as markets transition. Accepting the above statements doesn’t mean the oil sands must be shut down overnight. It shouldn’t be interpreted as a betrayal of the West, nor does it erase the critical role our country’s oil and gas sector has historically played in the growth and prosperity enjoyed by all Canadians, past and present. The future of energy is solar + storage. Cielo to build renewable diesel refinery in Halifax, Nova Scotia. Cielo Waste Solutions has signed a Memorandum of Understanding (MoU) with Renewable U Halifax to build a renewable diesel refinery in, or within 150km of, Halifax in Nova Scotia, Canada.
A framework is expected to be provided for the construction and operation of a 4,000-litre-per-hour joint venture refinery in Nova Scotia at an estimated cost of CAD$50 million (€36.5 million), which will operate 24 hours a day, 341 days a year. Cielo expects to convert 327,360 tonnes of rubbish into 163,680,000 litres of renewable fuels annually from its previously announced five joint venture refineries. The new refinery in Nova Scotia is expected to create 50 full-time jobs during construction and 25 full-time employees once operational.
The facility will use Cielo’s proprietary waste to high grade renewable fuel technology, which is currently being commercialised at the renewable diesel refinery in Aldersyde, Alberta, located south of Calgary. JetBlue compensera les émissions nocives de ses vols intérieurs. (Photo: 123RF) JetBlue (JBLUE) a annoncé lundi son intention de devenir à partir de juillet la première grande compagnie aérienne américaine à compenser les émissions polluantes de tous ses vols intérieurs, l’objectif étant de devenir neutre en carbone.
Alors que les acteurs du transport aérien du monde entier sont dans le viseur des activistes dénonçant le changement climatique, comme la jeune Suédoise Greta Thunberg, la compagnie américaine va en outre utiliser du carburant durable sur ses vols au départ de l’aéroport international de San Francisco à partir de mi-2020, a-t-elle précisé dans un communiqué. Basée à New York, JetBlue transporte plus de 42 millions de passagers chaque année vers près de 100 villes américaines et opère en moyenne plus d’un millier de vols quotidiens. « Nous réduisons (les émissions carbone) là où nous le pouvons et compensons là où nous ne sommes pas en mesure de le faire », a expliqué le PDG de la compagnie, Robin Hayes, cité dans le communiqué.
Vitrine Technologies Vertes. Le temps est venu de faire appel aux biocarburants.