L'exposition Migrations / Divroañ du Musée de Bretagne à Rennes. Analyse scientifique. Rennes—À propos de l'exposition Migrations / Divroañ du Musée de Bretagne à Rennes (2013)Émigration (Divroañ) / Immigration (Enbroañ).
Émigrer de Bretagne, Immigrer en Bretagne Un tableau de Bernard Jeunet pour l'affiche de l'exposition Migrations / Divroañ à Rennes 15 mars au 1er septembre 2013.Le musée de Bretagne (1) vient de réaliser une exposition sur le thème des migrations humaines. Le sujet est particulièrement bien adapté à un pays comme la Bretagne qui a connu une très forte émigration pendant plus d'un siècle, émigration concomitante avec le début de la révolution industrielle et de la colonisation de la région avec le cortège d'exploitations qui l'ont suivie. Une Bretagne colonisée Rappelons que la Bretagne a été acquise malhonnêtement par la France au XVe siècle.
Une Bretagne exploitée Le traitement des phénomènes migratoires dans l'exposition « Migrations / Divroañ » Les éléments tiers-mondiste et révisionniste de l'exposition « Migrations/Divroañ » En conclusion Notes Bonjour, Exposition. La Bretagne, terre de départ et terre d'accueil - Côtes-d'Armor. A Rennes, l'exposition Migrations part à la rencontre des Autres. Quand l'immigré-e s'expose à quelque chose, c'est souvent à ses risques et périls.
Or, l'exposition "Migrations" leur rend plutôt hommage avec, sur le territoire breton, des témoignages de luttes, des objets personnels présentés comme seule richesse... Oeuvre de B. Jeunet Une expo qui bouge A destination de ceux qui n'entendent "immigrés" qu'en mauvaises nouvelles, l'exposition débute avec chiffres sur mur blanc. On y retient que les étrangers les plus nombreux en France sont les Britanniques. Les bases pour comprendre L'exposition propose de reprendre les définitions "Immigré", "Migrant", "Etranger", à quel degré, pour qui, où, pourquoi ? Migrez aux Champs-Libres ! La Bretagne, de la terre d'exode à la terre d'accueil. Les Rennais, le magazine de l'information municipale - n°12 - Mars/Avril 2013.
Migrations : bretons voyageurs - Depuis le 15 mars, l’exposition Migrations présentée aux Champs libres s’intéresse aux mouvements des bretons.
Ceux qui en partent, mais également ceux qui y viennent. Avec des questions d’immigration en filigrane et beaucoup d’éléments historiques, Migrations met également des histoires personnelles sur des chiffres. Basée sur une étude de 2007 Histoire et mémoire de l’immigration en Bretagne, l’exposition Migrations plonge le visiteur au milieu de documents d’archives, d’expositions photographique, d’éléments interactifs; autant de témoignages et de recherches qui permettent d’aborder différentes approches de ces « mouvements bretons ». Exposition Migrations au Musée de Bretagne. Migrations d’hier et d’aujourd’hui. (im/é)migration, multikulti et tutti quanti… Les bretons, un peuplemigrateur. Pékin, New-York, Buenos Aires ou bien encore Paris.
Toutes ces villes ont un point commun : elles accueillent une association de Bretons. Toutes les personnes ayant voyagé peuvent d'ailleurs en témoigner. Dans n'importe quel endroit du globe, même le plus reculé, difficile de ne pas tomber sur un Breton, installé sur place ou seulement de passage. Thème d'une vaste exposition* qui débute ce vendredi au Musée de Bretagne des Champs Libres, ce phénomène de migration n'est pas récent. « Cela a démarré vers 1830 avec de nombreux départs pour le Canada, les États-Unis et l'Argentine. Cela s'est encore accentué à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, vers Paris et la région parisienne », précise la sociologue Anne Morillon, co-commissaire de l'exposition.
Paris, capitale bretonne Entre 1830 et 1970, l'exode est massif avec plusieurs centaines de milliers de Bretons qui quittent la région en quête d'un avenir meilleur. Jérôme Gicquel. Exposition : \"Migrations\"