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James Ellroy

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James Ellroy - Homepage. «Le Dahlia noir», roman en deuil. Cette histoire, il l'a racontée mille fois.

«Le Dahlia noir», roman en deuil

James Ellroy publie “Perfidia” : “Je suis de retour ! Avec mon livre le plus ambitieux” “Perfidia”, le premier tome de son second “Quatuor de Los Angeles”, sort en France.

James Ellroy publie “Perfidia” : “Je suis de retour ! Avec mon livre le plus ambitieux”

James Ellroy : bientôt un second quatuor de Los Angeles. Les lecteurs français vont découvrir début mai le dernier James Ellroy : Perfidia , qui inaugure un nouveau Quatuor de Los Angeles.

James Ellroy : bientôt un second quatuor de Los Angeles

Ce que que l'on sait déjà de Perfidia > James Ellroy promet pour ce second Quatuor de Los Angeles trois tomes dans les années à venir, dont Perfidia , d'énormes pavés de 900 pages chez Rivages. Il ambitionne, une fois rassemblés la trilogieUnderworld et les deux quatuors, d'avoir tracé une vaste fresque historique et romancée des États-Unis. "Perfidia" : James Ellroy démasqué. Ellroy, bad tripes à L.A. Le 7 décembre 1941.

Ellroy, bad tripes à L.A.

Tout Américain connaît cette date, ce jour où le Japon a fondu sur la base navale de Pearl Harbor. Bilan pour la bannière étoilée : 2 403 morts, 1 178 blessés, sans compter les pertes matérielles, et sidération nationale. Dès le lendemain, le président Roosevelt annonce l’entrée en guerre des Etats-Unis. Jusqu’au 11 septembre 2001, seules deux autres dates ont rivalisé avec celle de Pearl Harbor dans l’inconscient collectif américain : le 20 juillet 1969 (premier pas d’Armstrong sur la Lune) et le 22 novembre 1963 (assassinat de J.F. Kennedy). Tambour. "Perfidia" de James Ellroy : dans le Los Angeles des années 40. Un an aprèsExtorsion , le "dog", James Ellroy, revient en France du 4 au 10 mai pour présenter, à Paris, Marseille et Bastia, Perfidia (Rivages) : une plongée dans le climat de violence contre les citoyens américains d'origine japonaises au moment de Pearl Harbor.

"Perfidia" de James Ellroy : dans le Los Angeles des années 40

James Ellroy invité dans Boomerang le 4 mai > Lire les deux premiers chapitres > Perfidia, une tempête xénophobe de 23 jours L'Amérique va entrer en guerre, la radio antisémite Klan, qui émet depuis le Mexique, s'insurge contre cette guerre lointaine qui concerne Hitler et Hirohito et pour laquelle, dit le speaker, aucun Américain sain d'esprit souhaite se battre. Delà, Ellroy nous ramène sur le pavé de Los Angeles pendant trois semaines et huit cents pages, durant le seul mois de décembre 1941. De quoi s'agit-il ? James Ellroy  - “Perfidia est mon roman qui s’adresse le plus à Dieu” A 67 ans, l’écrivain américain se lance dans un nouveau quatuor de Los Angeles avec «Perfidia», l’enquête sur le meurtre d’une famille d’origine japonaise à la veille de Pearl Harbour.

James Ellroy  - “Perfidia est mon roman qui s’adresse le plus à Dieu”

Un mystère qui court sur 830 pages pour nous plonger dans l’atmosphère de Los Angeles à l’heure de la Seconde guerre mondiale, du black-out et de l’hystérie anti-japonaise. Paris Match. «Perfidia» est-il un simple "prequel" du premier Quatuor de Los Angeles ? James Ellroy. Il est plus ambitieux que cela. Pearl Harbour a-t-il été un tournant dans l’histoire de l’Amérique et de Los Angeles en particulier ? Considérez-vous que le romancier que vous êtes peut aller plus loin qu’un historien pour expliquer le passé ?

Vous transcrivez les sentiments de paranoïa extrême d’alors, l’angoisse de l’ennemi de l’intérieur…Oui, c’était une peur justifiée d’ailleurs, étant donné les exactions que commettaient les armées japonaises un peu partout ! “Perfidia”, le nouveau grand œuvre de James Ellroy commence. L'auteur du “Dalhia noir” nous plonge dans plus de huit cents pages sous tension, au cœur du Los Angeles des années 40, livré à tous les vices.

“Perfidia”, le nouveau grand œuvre de James Ellroy commence

Grandiose. Les premiers signes du grand retour de James Ellroy sur les terres du Dahlia noir datent du milieu des années 2000. Il publie alors une confession dans le journal de sa ville, le Los Angeles Times : dans un style fiévreux, il y fait le bilan speedé d'une vie bien chargée et annonce qu'il va renaître à nouveau, du côté de Wilshire, Pico, Western, Sunset, les boulevards d'errance et de misère de L.A. où il est devenu presque dingue (« je partageais des morceaux de viande volés avec des chiens errants auxquels je tenais de longs discours »), avant de trouver la lumière grâce à l'écriture. « Ce texte est un avis de retour, écrit-il. Mon lieu de naissance a fait de moi ce que je suis, je l'ai fui, j'y suis revenu […] Je n'écrirai plus que sur ma ville natale. » Descente infernale Des intrigues proliférant comme des cellules folles.

Extrait.