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Cyber-harcèlement

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Non-assistance à personne en danger. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La non-assistance à personne en danger est une infraction pénale qui condamne l’omission de prêter secours à un personne courant un danger. Contrairement à la plupart des normes pénales, c'est une infraction d'omission et non de commission, c'est-à-dire que l'auteur n'agit pas alors qu'il aurait dû le faire. En Chine, la question fait également débat en 2011[3]. Droit par pays[modifier | modifier le code] France[modifier | modifier le code] L'engagement a lieu si : la personne a connaissance du danger ;elle est en mesure d'agir ;l'action ne présente pas de danger pour la personne ou pour un tiers. Pour ces raisons, la loi française va distinguer : l'abstention volontaire de porter assistance à une personne en péril (art. 223-6, al.2),la non-assistance à une personne victime d'un crime ou d'un délit contre l'intégrité corporelle de la personne (art.223-6, al.1).

Historique[modifier | modifier le code] Art. 223-6[modifier | modifier le code] Vidéo interactive. Ce film interactif disponible sur Youtube met en scène une famille avec 2 ados (1 fille et 1 garçon), un soir à la maison A la fin de chaque scène l’image se fige et l’adolescent choisit la suite de l’aventure, en cliquant sur l’une des options qui lui sont proposées. Lesquelles suscitent une nouvelle scène qui à son tour génère de nouveaux choix. La fin de l’histoire découlera uniquement des décisions qu’il aura prises. Une expérience sur le modèle de « l’Histoire dont vous êtes le héros » ou de « l’Histoire sans fin », puisqu’on peut réitérer l’expérience plusieurs fois en changeant ses choix. 5 scénarios mettent en scène des situations auxquelles peuvent être confrontés les ados et jeunes, via leur ordinateur (internet) ou leur mobile : Harcèlement et cyber-harcèlement.Sexting/dédipix.Utilisation des réseaux sociaux.Jeux en ligne.Happy slapping.

Patrick Bruel feat. La Fouine - Maux d'enfants. Cyber-sexisme. Ce sont des textos, des photos qui circulent dans le huis clos des classes et qui peuvent faire des ravages. Quand Maxence, 14 ans, a appris qu'un SMS circulait entre ses copains le traitant de « fiotte » parce qu'il n'avait vu aucun match de l'Euro, il a eu un choc : « J'ai trouvé ça crade », confie l'ado, qui a tout de suite soupçonné qui était l'auteur. « J'ai eu la nausée pendant une semaine, j'ai coincé le mec. On s'est expliqués en public, il s'est excusé et les choses se sont tassées. » La cyberviolence, dans les collèges et les lycées, n'est plus réservée aux filles qui osent poster une photo d'elles en maillot de bain !

Les garçons aussi ont droit à leur lot d'insultes ou de clichés insidieux, destinés à lancer la rumeur sur les réseaux sociaux auprès de leurs camarades. Le phénomène concerne « deux garçons par classe », révèle la première étude en France sur le cybersexisme. « Il y a pas plus normatif qu'un ado. Conseils pour lutter contre le cyber-harcèlement. Le harcèlement via internet (mails, réseaux sociaux...) est un délit qui est plus sévèrement puni si la victime a moins de 15 ans.

En cas de condamnation, les parents des auteurs mineurs peuvent être amenés à indemniser les parents de la victime. L'État est lui responsable des fautes des personnels éducatifs. Concernant certaines atteintes spécifiques, la loi est désormais plus sévère. La mise en ligne d’images intimes d’une autre personne sans son consentement – ex.revenge porn - est passible deux ans de prison et 60.000 euros d’amende. Du coté des victimes, la loi prévoit un « droit à l’oubli » spécifique aux mineurs et une procédure accélérée pour l’exercice de leurs droits. Certains sites sollicités pourront toutefois s’y opposer pour des motifs liés notamment au droit à l’information (articles de presse). Harcèlement scolaire : le reconnaître pour mieux le combattre. 1,2 million. C’est le nombre d’élèves, en primaire ou au collège, concernés par le harcèlement scolaire.

Insultes, brimades, coups… autant de mauvais traitements quotidiens infligés aux « têtes de turcs » ou « souffre-douleurs ». Par manque d’effectifs, de temps, de formation, les instances scolaires ne détectent pas toujours ce fléau. Pourtant la souffrance, bien réelle, d’un enfant victime de harcèlement se manifeste de plusieurs façons. Lucien Fauvernier Sommaire Reconnaître le harcèlement A découvrir 1,2 million d’élèves harcelés à l’école, c’est le constat alarmant dressé par l’UNICEF et l’Observatoire international de la violence à l’École dans un rapport paru en 2011, consultable sur le site de l’UNICEF.

Il n’est pas toujours évident, surtout lors de l’adolescence, d’identifier les signes du harcèlement scolaire chez son enfant. . - Troubles du sommeil- Irritabilité- Agitation- Susceptibilité- Repli sur soi- Troubles liés à l’anxiété et/ou au stress (maux de ventre, eczéma…) Non au harcèlement - site officiel.