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Politique

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Les passions politiques de Frédéric Lordon. Que faire des idéaux que sont l’internationalisme, le dépérissement de l’Etat et l’horizontalité radicale ? Les penser. Non pas sur le mode de la psalmodie mais selon leurs conditions de possibilité. Ou d’impossibilité ? C’est plutôt la thèse que ce livre défend, mais sous une modalité décisive : voir l’impossible sans désarmer de désirer l’impossible. C’est-à-dire, non pas renoncer, comme le commande le conservatisme empressé, mais faire obstinément du chemin. En sachant qu’on n’en verra pas le bout. Les hommes s’assemblent sous l’effet de forces passionnelles collectives dont Spinoza donne le principe le plus général : l’imperium – “ce droit que définit la puissance de la multitude”.

Les vagues migratoires de cet été ont incontestablement relancé la question de la nation, de l’identité nationale, et des groupes politiques. Le social ou ce qui nous excède On voit là clairement l’excédence du social. Un pouvoir politique qui vient toujours d'”en bas” Un foisonnement affectif. Qui a peur de la démondialisation ?, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 13 juin 2011) Dans une tribune récemment publiée sur Mediapart (6 juin 2011), des membres du conseil scientifique d’Attac (Geneviève Azam, Jacques Cossart, Thomas Coutrot, Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Pierre Khalfa, Dominique Plihon, Catherine Samary et Aurélie Trouvé) déclarent « s’inquiét(er) de la fortune rencontrée par la démondialisation ». Je crois avoir à leur endroit suffisamment d’estime et d’amitié pour leur dire mes désaccords – à plus forte raison après m’être rendu coupable d’avoir moi-même employé le mot « à problème » (1)… Dépolluer du FN Du problème en question, il est sans doute utile de commencer par déblayer la situation politique – entendre la dépolluer du Front national.

Car l’on sent bien que la fortune de l’extrême droite qui capitalise sur ce thème n’entre pas pour rien dans les inquiétudes des signataires. Au fait, qu’est-ce que la mondialisation ? Il y a alors deux définitions possibles de la mondialisation : De quelques approximations de l’anti-démondialisation. Les passions politiques de Frédéric Lordon. Démocratie : histoire d'un malentendu. Edgar Morin - une vidéo Actu et Politique. Revenir aux monnaies nationales pour refaire une monnaie commune.

Le fiasco légal du financement politique. Le Conseil constitutionnel vient d’annoncer ce jeudi qu’il rejetait les comptes de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012, privant le candidat battu à la dernière élection présidentielle et son parti, l’UMP, d’un remboursement par l’Etat d’environ 11 millions d’euros.

L’ancien président a annoncé dans la foulée sa démission du Conseil, manière sans doute de signifier sa lassitude face aux scandales charriés depuis des décennies par les législations sur le financement politique... « Le financement des partis est le chapitre le moins transparent de l’histoire de ceux-ci, et pourtant, c’est un des plus importants », assurait Max Weber il y a un siècle [1]. Rien n’a changé. La France (mais ce serait valable pour d’autres pays) dispose pourtant d’une législation sur le financement public de la politique, censée éliminer les causes les plus fortes de la corruption.

La montée des scandales se poursuivit la décennie suivante, conséquence d’une corruption partisane largement acceptée. Bernard Stiegler: vers un changement de processus? (CSOJ) Le dictateur, Discours de fin (Charlie Chaplin) VOSTFR [Inception Theme (Hans Zimmer)]