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Business models et nlles gestions

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Stephen Engelberg (Propublica) : “Mon business plan est simple. Retour au papier = renflouement économique. Faire payer l'information en ligne est une chimère. Ma chronique du Guardian cette semaine porte sur les journaux qui essaient (à nouveau) d’imaginer un monde dans lequel ils forceraient les gens à payer en ligne. (La version imprimée a été coupée, voici l’original.) Comme une taupe dans le jardin, l’idée de journaux facturant leur contenu en ligne ne cesse de pointer son nez.

Pardonnez-moi, mais je vais donner un grand coup sur le crâne de ce rongeur agaçant. La concurrence en ligne est sans fin Je suis pour faire payer le contenu quand c’est possible. Mais l’information en ligne est différente pour plusieurs raisons. Plus important, dans les comptes du contenu payant, les recettes entraînent des dépenses. Faire payer le contenu a pour effet de réduire le nombre de lecteurs, ce qui, à son tour, réduit le volume de la publicité.

Mais voici l’argument le plus important : lorsque le contenu est caché, il ne peut être trouvé par les moteurs de recherche (sans parler des liens des blogueurs et des agrégateurs). Traduit par Laurent Mauriac. Gratuit vs Payant : quel modèle pour la presse en ligne ? – Disc. Face à la crise de la presse traditionnelle, à la chute de revenus publicitaires et à la concurrence, la presse en ligne expérimente et se cherche plus que jamais. Décryptage des différents modèles économiques. Nul besoin de le répéter, la presse va mal depuis plusieurs années. Face à la concurrence du web et de la presse gratuite, la presse papier payante semble condamnée à rétrécir son offre : de nombreux titres se voient contraints de stopper leur parution, cherchant parfois une sortie de secours salvatrice du côté du web, comme on a pu le voir avec Elle Girl, PC Mag, Teck’Yo ou encore La Griffe. Alors que la radio et la télé s’enrichissent sans arrêt de nouvelles stations et de nouvelles chaînes, la presse traditionnelle semble arriver à son déclin, après de nombreuses années qui auront vu s’opérer une véritable multiplication de l’offre.

Les pure players ou la nécessité de l’équilibre financier Les sites de journaux et le pari du payant. Le Medialab de Cécile » Veni, Vidi, VC. Petit manuel du Venture Capitalist à l’usage des journalistes entrepreneurs Depuis plusieurs leçons de Ken Lerer, le cofondateur du Huffington Post, un élève pose la même question aux invités: comment trouver et communiquer avec des développeurs web? Ça donne lieu à des conversations assez cocasses à base de «le geek est un animal comme les autres», «allez les trouver sur les forums internet», et «n’ayez pas peur, eux aussi ont besoin de vous».

Si Ken Lerer n’a pas invité un de ces specimen pour sa dernière session, il a choisi un sujet tout aussi mystérieux: le venture capitalist. Après avoir notamment discuté de l’importance de la viralité, du web en temps réel, et de la géolocalisation, Fred Wilson, star new yorkaise des venture capitalists, est venu nous parler de son métier et de comment les journalistes pouvaient se servir de gens comme lui. Fred Wilson est un VC (à prononcer «vici»), un investisseur en capital risque, depuis 24 ans.

Quand aller voir le Venture Capitalist. Révolutionner la presse: la "Google Newsroom" Les périodes un peu agitées sont des périodes très actives où l'on multiplie les idées. J'ai eu l'occasion de réfléchir, à mes heures perdues, à un concept de rédaction recomposée autour du web et du print, et comme j'ai trouvé cette réflexion passionnante, j'ai décidé de partager son résultat avec vous et d'ouvrir un échange. Cela fait longtemps que l'on parle et propose des modèles de rédaction intégrée (le modèle le plus connu est celui proposé par l'Ifra).

Un exemple, la rédaction intégrée du Daily Telegraph, qui fout un peu la trouille au premier abord: Le problème c'est que, bien souvent, ce modèles très théoriques se heurtent à la réalité des rédactions: des journalistes orientés print avec une très faible agilité web. 2) Les journalistes deviennent schizophrènes. Pourquoi le réseau ? Vous allez donc vous retrouver avec non pas avec une rédaction "bi-média", ni avec deux rédaction (une web, une papier), mais trois rédactions que je répartirais dans 2 sous-groupes: Financement presse. Recomposition brutale, racolages à tous les rayons, par Serge Ha.

Imaginons que le monde ne soit plus régi par le primat de la marchandise et de son prix. Le journaliste n’aurait alors aucune raison majeure d’insister pour que ses articles continuent d’être imprimés sur du papier, puis transportés par camions vers des messageries de presse, ou acheminés par courrier aux abonnés. Grâce à Internet, il aurait même avantage à pouvoir communiquer ses informations, ses analyses, aux lecteurs du monde entier ; à y parvenir instantanément, à moindre coût, en y adjoignant le cas échéant son, images, références. Mais, d’une part, s’en tenir là ferait l’économie d’une réflexion relative aux manières de lire, de réfléchir, de retenir, lesquelles sont différentes sur un écran et sur une page. L’offre de contenus médiatiques progresse annuellement de 30 % : le nombre des chaînes européennes de télévision a triplé depuis dix ans, celui des magazines a quadruplé depuis un quart de siècle.

Presque inéluctablement, l’attention réservée à chaque titre pâtit. Gratuit vs. Payant ? La newsroomBlick s’exportera-t-elle en Suisse romande ? « Chacai. La prochaine ouverture d’une «newsroom» réunissant les différentes rédactions du Blick a fait grand bruit dans le microcosme des médias helvétiques. Coup de projecteur sur un nouveau modèle de gestion de l’information.

La nouvelle est tombée ce début d’année. Le groupe Ringier supprime 29 postes à plein temps en Suisse. « Cette mesure s’explique par la création d’une newsroom intégrée qui nécessite moins de personnel » confie la direction du groupe à l’ATS. Dès début mars les différentes rédactions du Blick, du Blick am Abend, du SonntagsBlick et du site blick.ch seront réunies et pilotées depuis la même infrastructure. Les syndicats Impressum et Comedia ont dénoncé cette situation estimant que les licenciements étaient effectués dans la précipitation et que la création de la nouvelle plateforme risquait de contribuer à la «réduction de la diversité des médias». Mais au fait, qu’entend-on exactement par «newsroom» ? Newsroom ? Newsroom ? Guillaume Henchoz Like this: J'aime chargement… Recherche modèle économique, désespérément… Réinventer le modèle économique des agences de presse. Mark Lee Hunter et les nouveaux modèles économiques du journalis.

Broadcast Institutions, Community Values. There is a long history of businesses trying to harness the power of online communities for commercial ends. Most of these attempts have failed, for the obvious reasons. There are few products or services people care about in a way that would make them want to join a community, and when people are moved to speak out about a commercial offering, it is usually to complain. Media organizations, however, would seem to be immune to these difficulties, because online media and online communities have the same output: words and images. Even here, though, there are significant obstacles to hosting community, obstacles peculiar to the nature of media.

Much of the discipline a broadcast organization must internalize to do its job well are not merely irrelevant to community building, but actively harmful. If you were a broadcast media outlet thinking about community building, here are five things you would think about: 1. . #1. Audiences are connected through broadcast. . #2. . #3. . #4. . #5. Hard Work. Media News.