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Neurosciences

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Le stress bloque les apprentissages (et le cerveau des enfants et adolescents est particulièrement sensible au stress) Le cerveau des enfants et adolescents est particulièrement sensible au stress Quand le stress est modéré, il peut être stimulant, source de dépassement et de créativité. Mais quand le stress est majeur et/ou répété, une grande détresse peut apparaître avec des effets nocifs sur la santé physique, psychique et intellectuelle. Or les enfants et les adolescents sont plus vulnérables au stress que les adultes. Catherine Gueguen, pédiatre, rappelle que, parmi tous les mammifères, le cerveau de l’être humain est celui qui demande le plus de temps pour atteindre sa pleine maturité.

Lors des premières années de la vie, le cerveau humain en construction est donc fragile et particulièrement vulnérable au stress. Le stress altère le développement des neurones Le stress fragilise la mémoire L’hippocampe est au cœur de tout apprentissage et est particulièrement sensible au stress. Par ailleurs, un humain sous stress est paralysé par la peur et n’est plus capable ni d’écouter ni d’apprendre. La nutrition, élément clé de l'apprentissage.

Dans son livre Apprendre !

La nutrition, élément clé de l'apprentissage

, Stanislas Dehaene affirme que la nutrition est un élément clé de tout apprentissage. Les 3 systèmes attentionnels humains : quand faire attention, à quoi faire attention et comment traiter les informations sélectionnées. L’attention change littéralement l’activité cérébrale.

Les 3 systèmes attentionnels humains : quand faire attention, à quoi faire attention et comment traiter les informations sélectionnées

Les sciences cognitives distinguent trois grands systèmes attentionnels : L’alerte qui indique quand faire attention et adapte notre niveau de vigilanceL’orientation de l’attention qui signale à quoi faire attention et amplifie tout objet d’intérêtLe contrôle exécutif qui décide comment traiter l’information : il choisit la chaîne de traitement appropriée à une tâche donnée et en contrôle l’exécution. Connaître les mécanismes de ces trois systèmes attentionnels permet de mieux comprendre comment les humains apprennent. Brain Ball : stimuler les fonctions cognitives par le mouvement (dyslexie, problème d'attention, dysproprioception...) Brain Ball® est une approche développée par un éducateur spécialisé français.

Brain Ball : stimuler les fonctions cognitives par le mouvement (dyslexie, problème d'attention, dysproprioception...)

A l’aide de petits exercices effectués avec des balles, des sacs de sable ou encore des petits cerceaux, cette approche permet de développer la concentration, la coordination, la coopération et la confiance. Tout en stimulant les fonctions cognitives, les exercices Brain Ball mobilisent une grande partie du système sensoriel : la vision, l’audition, l’équilibre et la proprioception. Les exercices de Brain Ball consistent en une une série de mouvements rythmés, déclinés seul, en binôme ou en groupe.

Son concepteur, Régis Pautonnier, estime que Brain Ball s’adresse à tous, à partir de 7 ans, et particulièrement : aux enfants présentant des troubles des apprentissages, des troubles DYS (dyslexie, dyspraxie,…), aux personnes présentant des troubles de l’attention, des troubles de l’équilibre, ou encore, aux seniors et aux personnes en perte d’autonomie. Voici un petit reportage pour découvrir Brain Ball®: Mathématiques et neuropsychologie : des stratégies pour aider les enfants en difficulté. Je vous propose une carte mentale à télécharger basée sur les travaux de Rémy Samier et Sylvie Jacques reprenant quelques stratégies pour aider les enfants en difficulté en mathématiques.

Mathématiques et neuropsychologie : des stratégies pour aider les enfants en difficulté

Samier et Jacques rappellent que le traitement numérique et géométrique est en interaction constante avec le geste, l’attention, la mémoire de long terme, la mémoire de travail, les fonctions exécutives et le raisonnement. Pour analyser un problème mathématique, le cerveau reçoit des informations visuelles, auditives ou par le pointage (dénombrement). Il traite les aspects liés au raisonnement, au langage, au repérage dans l’espace ou encore d’évocation mentale.

Formation de l'esprit critique : des outils de flexibilité mentale et de résistance aux infox et théories du complot. Quand on parle de formation de l’esprit critique, il est utile de se souvenir que notre cerveau fonctionne par approximation et raccourcis et qu’il nous expose donc à l’erreur.

Formation de l'esprit critique : des outils de flexibilité mentale et de résistance aux infox et théories du complot

C’est d’autant plus le cas quand nous ne disposons que d’informations partielles et/ou de connaissances très limitées sur un sujet. Pourtant, nous rappelle Albert Moukheiber, docteur en neurosciences, nous aimons croire que nos croyances et opinions sont justifiées car il est désagréable d’avoir tort. L'illusion de connaissance : un biais cognitif à prendre en compte dans l'apprentissage. Dans son livre Votre cerveau vous joue des tours, Albert Moukheiber écrit que moins on connaît un sujet, moins on est capable de mesurer à quel point on ne maîtrise pas le sujet en question.

L'illusion de connaissance : un biais cognitif à prendre en compte dans l'apprentissage

Ce biais cognitif est appelé illusion de connaissance ou bien effet Dunning-Kruger. Nous pensons souvent mieux comprendre le monde que nous ne le comprenons vraiment. L’illusion de connaissance peut s’appliquer à tous les domaines de la vie. Albert Moukheiber prend l’exemple de la musique : lorsque nous commençons à apprendre à jouer d’un instrument de musique, nous pensons souvent que ce n’est pas si compliqué. Au piano, il est possible de jouer Au clair de la lune après seulement quelques cours. Neurosciences : la note à l'école, piètre retour sur erreur (Stanislas Dehaene) Un manque de précision Selon la théorie de l’apprentissage, la note est un signal de récompense (ou de punition).

Neurosciences : la note à l'école, piètre retour sur erreur (Stanislas Dehaene)

Mais une note pure est dépourvue de précision. Souvent, elle résume différentes sources d’erreurs sans forcément les distinguer et n’est donc pas suffisamment informative. Une note ne permet pas, à elle seule, de savoir pourquoi on s’est trompé ni comment se corriger. En quoi mieux connaître le cerveau peut-il nous aider à mieux enseigner ? Steeve Masson, chercheur canadien en neuroéducation, propose de répondre dans la vidéo ci-dessous à la question : en quoi mieux connaître le cerveau peut-il nous aider à mieux enseigner ?

En quoi mieux connaître le cerveau peut-il nous aider à mieux enseigner ?

Cette vidéo dure 1 heure et 15 minutes et je vous en résume les grandes lignes. La plasticité du cerveau Dire que le cerveau est plastique signifie que le fait d’apprendre modifie la structure du cerveau. Il existe un mouvement physique dans le cerveau d’un enfant qui apprend car les connexions entre les neurones sont modifiées. Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences. D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. «L’erreur est la condition même de l’apprentissage»

Stanislas Dehaene est professeur de psychologie cognitive expérimentale au Collège de France (Paris). Il publie Apprendre! Les talents du cerveau, le défi des machines (Ed. Odile Jacob), qui fourmille d’astuces et de récits d’expériences. L’occasion de l’interroger sur les «recettes» d’un apprentissage réussi, inspirées des neurosciences, de la psychologie cognitive et des sciences de l’éducation. L'intelligence reconsidérée à la lumière des neurosciences éducatives. TEDxParis - Pierre-Marie Lledo - La plasticité cérébrale ou la régénérescence du cerveau. Dr Catherine Gueguen L'application des neurosciences en classe. Neurosciences neuroeducation et conflit cognitif.

Steve MASSON - « Mieux connaître le cerveau...? » Les neurosciences pour nous aider à mieux apprendre ? Têtes à remplir, acteurs de leur formation, créateurs de connaissances, qui sont les étudiants ?

Les neurosciences pour nous aider à mieux apprendre ?

Les neurosciences ouvrent de nouvelles perspectives pour comprendre leurs mécanismes d’apprentissage et donc de réussite. Entretien éclairant avec Pascale Toscani, docteur en psychologie cognitive responsable du Groupe de recherche en neuroéducation (GRENE) de l’UCO (Université catholique de l’Ouest). La neuromania est-elle une bonne chose ? Les neurosciences ont le vent en poupe, tant mieux pour les chercheurs dont les travaux ont la chance d’être entendu et lu du grand public. Mieux connaître le fonctionnement de son cerveau permet de mieux apprendre. Les neurosciences inspirent l'enseignement. À l'heure où tant de questions se posent sur l'enseignement, on se prend à rêver : et si les connaissances sur le cerveau dont nous disposons aujour- d'hui servaient à mieux comprendre comment les élèves apprennent et à mieux cibler les méthodes et stratégies utilisées pour transmettre les connaissances ?

Les neurosciences inspirent l'enseignement

Mais dans les sphères de l'enseignement, on ignore à peu près tout de la façon dont notre cerveau permet d'avoir prise sur le temps et l'espace, l'attention, la motivation et, d'une façon générale, la régulation des émotions. Aujourd'hui, on peut se demander pourquoi ceux qui conçoivent la formation des enseignants n'ont pas jugé pertinent d'introduire, comme pour les futurs psychologues, des bases de neurosciences. Car c'est bien le cerveau qui permet d'apprendre, et ce dernier obéit à des règles de fonctionnement. Les neuroscientifiques savent à quel point émotion et cognition sont liées. Le cerveau dans la main, une animation pour aider les enfants à gérer leurs émotions.

Comment intégrer la neuroéducation en classe pour de meilleurs apprentissages des élèves ? Avec Marie Soulié, une enseignante précurseur et référente en France de la classe inversée « C’est au cours d’un stage auquel j’ai participé proposé par Eric Gaspard dans l’académie de Montpellier, que j’ai commencé à réfléchir à la neuroéducation ». Le programme d’Eric Gaspard sur la neuroéducation s’appelle Neurosup. Marie a cherché à s’approprier des principes exposés dans ce programme comme par exemple, la mémorisation : « comment les élèves mémorisent notamment en classe inversée ? Cerveau: les découvertes de la neuropédagogie - France 2.

Utiliser les neurosciences pour mieux former. La neuroéducation est un domaine de recherche qui étudie les mécanismes cérébraux liés à l’apprentissage et à l’enseignement. C’est une discipline qui est née en 2007, suite à un rapport de l’OCDE (l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques). Cette discipline s’inspire des recherches menées en sciences cognitives (psychologie, neurosciences, ergonomie…). Elle utilise les informations récoltées sur les fonctions cognitives liées à l’apprentissage (perception, attention, mémorisation, etc.) pour adapter les pratiques éducatives.

Cela est rendu possible notamment grâce aux techniques d’imagerie cérébrale qui permettent d’étudier les réactions du cerveau en train de lire, de mémoriser ou de compter par exemple. Neurosciences et pratiques pédagogiques diversifiées élèves TSA. Ce document a été réalisé à l’initiative d’un groupe de travail issu du groupe départemental Handiscol, consacré aux troubles sévères du langage.

Sa conception et sa mise au point ont été confiées à un enseignant spécialisé, M. Matillat, qui a travaillé avec une conseillère pédagogique spécialisée, Mme Gardie ; tous deux ont bénéficié de l’appui de Mme Gonzalez, médecin neurologue au centre L’Escale (Hôpitaux Lyon Sud). La commande visait essentiellement deux objectifs : Faciliter la compréhension par les équipes d’écoles d’éléments issus de recherches récentes en neuropsychologie, intégrés aux bilans d’élèves tels qu’ils peuvent être transmis par les familles ou directement par des partenaires de soins ; Donner, à partir de la présentation d’analyses de quelques cas individuels, des pistes de travail pédagogique.

Tel qu’il est ici mis à disposition, ce document doit être lu, visionné, comme une introduction aux problématiques, toujours ouvertes, des troubles sévères du langage. Untitled. Comment étudier? Public. Presentation de la Gestion Mentale. La Gestion Mentale. Les chemins de l'intelligence. L'apport des neurosciences à la pédagogie. PDF. Neurosciences et apprentissage. Interview Pierre Marie Lledo : Neurosciences et apprentissage Pierre Marie Lledo est Directeur de recherche au C.N.R.S, Chef d’unité « Perception et Mémoire » à l’Institut Pasteur, Directeur du laboratoire « Gènes, Synapses et Cognition » du C.N.R.S et Directeur d’Enseignement à l’Institut Pasteur. Lionel naccache : plaidoyer pour la neuroéducation.

Cours de Psychologie - Le Cognitivisme (1/7) Cours de Psychologie - Le Cognitivisme (2/7) Cours de Psychologie - Le Cognitivisme (3/7) Cours de Psychologie - Le Cognitivisme (4/7) Cours de Psychologie - Le Cognitivisme (5/7) Cours de Psychologie - Le Cognitivisme (6/7)

Cours de Psychologie - Le Cognitivisme (7/7) Neurosciences et pédagogie - Publications pédagogiques - Les sites web conseillés par Instit.info. La gymnastique du cerveau D'une manière pratique, les applications de la neuropédagogie mènent vers des évolutions dans la manière d'enseigner et d'apprendre et vise in fine à "stimuler de nouvelles zones du cerveau, à créer de nouvelles connexions pour faciliter les apprentissages". Dans un reportage de la chaîne Euronews sur le sujet, on se rend bien compte que cela n'a rien de sorcier. Si vous utilisez de temps à autre la vidéo en classe, si vous enseignez par associations d'idées ou de concepts, si vous faites faire des cartes mentales à vos apprenants, ... vous êtes probablement un praticien de la neuropédagogie qui s'ignore.

Mais la neuropédagogie ne s'arrête pas là. Utiliser les neurosciences pour mieux former. Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit. Neurosciences et apprentissage – Gestion de classes - interview de Sylvie Dubé, CEDEP Inc. Neurosciences: que se passe-t-il quand on se souvient ? - 31 août 2014. Tokyo (AFP) - Les émotions associées à des souvenirs peuvent être réécrites, permettant d'adoucir des événéments douloureux du passé et à l'inverse d'assombrir des moments heureux, suggère une étude menée sur des souris au Japon et aux Etats-Unis et publiée mercredi dans la revue scientifique Nature. Psychologie cognitive et Neurosciences. Entraine ton cerveau! L’effet de l’activité physique.

Le lien entre l’activité physique et la prévention de maladies et de troubles comme le diabète, les maladies cardiaques et l’obésité est bien connu. Par ailleurs, les plus récentes recherches mettent en lumière les effets de l’activité physique sur le développement du cerveau de l’enfant. Le cerveau catégorise les choses que nous voyons. Apprentissage : le cerveau est comme une forêt! Le cerveau ne peut pas faire deux choses à la fois. Le cerveau humain a-t-il des limites. Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée. Le cerveau pour allié en classe ? - Apprendre à l'horizon 2035. Carte mentale de notre cerveau. Des chercheurs créent une carte 3D du cerveau pour visualiser comment nous comprenons le langage.

Le cerveau ne s’arrête jamais. Une vie intentionnelle. Pinterest. Edcan neuromyths poster fr1. Le cerveau en pièces détachées - une conférence de Laurent Cohen. Jean-Pierre Changeux : L’Homme neuronal, trente ans après ? Le cerveau et le langage avec Laurent Cohen & Christophe Pallier. Cerveau et Apprentissage. Utiliser les neurosciences pour mieux former. Le cerveau catégorise les choses que nous voyons.

Carte mentale de notre cerveau. Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene. Mémoire. Echec scolaire : quel mécanisme cérébral ? Neurosciences Théorie. Le cerveau à tous les niveaux. Et si on essayait l’empathie - La Croix. Le sentiment de confiance accompagne l’apprentissage. Les trois cerveaux de l'etre humain. Le geste de compréhension en Gestion Mentale. Neurosciences.