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Arctique

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Les caméras de Google Street View débarquent au Groenland. GROENLAND Le visiteur peut se promener virtuellement au milieu de dizaines de curiosités naturelles et sites historiques... Publié le Mis à jour le Mots-clés Aucun mot-clé Ce week-end, que diriez-vous d’une excursion au Groenland? Le voyage dans ce territoire reculé situé au nord-est de l’Amérique du Nord peut en rebuter plus d’un. Seulement, il est désormais possible de s’y rendre dans le confort de son fauteuil. Les caméras de Google Street View sont en effet parties sur l’archipel, en faisant ainsi le 66e pays recréé virtuellement (en partie) par l’entreprise américaine depuis 2007. Le projet de cartographie s’est fait en collaboration avec l’agence Asiaq, qui dépend du gouvernement du Groenland, pour photographier des panoramas à 360 degrés, la «marque» de Street View. En tout des dizaines de sites de toute l’île ont été capturés, parmi lesquels le fjord d’Ilulissat, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.

Le reste de l'actualité écologique en vidéo. Pourquoi la «neige noire» du Groenland doit nous alarmer. Ce qui s'est passé dans la région cet été inquiète au plus haut point Jason Box, spécialiste de la glace et activiste climatique. Jason Box est un chercheur spécialiste de la glace. C'est pourquoi ce qui s'est produit cette année l'inquiète au plus haut point. Il revient tout juste d'un séjour au Groenland. A l'heure actuelle, la neige y est... noire. La glace sombre contribue au recul des glaciers. Le manteau neigeux du Groenland est recouvert de crevasses qui s'entrecroisent et laissent s'écouler l'eau de fonte très profondément sous la glace. La calotte glaciaire du Groenland n’a jamais été aussi noire que cette année. Jason Box et son équipe tentent de déterminer les facteurs qui ont rendu si inhabituelle cette saison de fonte. Jason Box plante des drapeaux noirs –couleur de circonstance– sur les sites qu'il a étudiés.

Baptisé «Dark Snow» («Neige noire»), le projet de Jason Box est la première expédition scientifique à bénéficier d'un financement participatif. Eric Holthaus. En Alaska, 35 000 morses se réfugient sur une plage faute de banquise. L’énorme tache sur la photo ne représente pas une pollution maritime ou un gigantesque amas de varech. Non, ce sont pas moins de 35 000 morses rassemblés sur une plage dans le nord-ouest de l’Alaska, une migration record dans la région. En cause : le changement climatique. D’après les chercheurs de l’Agence nationale océanique et atmosphérique américaine (NOAA) et de l’Institut américain de géophysique (USGS), qui ont observé les animaux par voie aérienne près de Point Lay samedi 27 septembre, la principale raison de cette « cité des morses » qui grandit chaque année davantage est la fonte de la banquise provoquée par le réchauffement climatique.

Traditionnellement, les morses du Pacifique passent l’hiver dans la mer de Béring. Mais ces dernières années, la banquise a fondu sous l’effet de l’augmentation des températures mondiales. Les rassemblements de morses dans cette région ont pour la première fois été observés en 2007, avant de se reproduire en 2009, en 2011 ou en 2012. Le recul des glaces en arctique. Petermann Ice Island 2012: On the Move. What the Hell is happening to the Arctic Sea Ice? Yet no mention of the arctic cyclone that pushed the sea ice to below predicted levels for this year? I don't blame you as the media didn't pick up on it at all. NASA did catch it, thanks to NSIDC, but they forgot all about it in their second press release. At first they have the story straight: “It seems that this storm has detached a large chunk of ice from the main sea ice pack. This could lead to a more serious decay of the summertime ice cover than would have been the case otherwise, even perhaps leading to a new Arctic sea ice minimum,” said Claire Parkinson, a climate scientist with NASA Goddard.

However they omit part of the conclusion, pertaining to the cyclone, in the article that was touted all over our mass media: "In 2007, it was actually much warmer," Comiso said. Fun to see what people pick up on and what they neglect to mention. Extension de la glace de mer. La banquise arctique pourrait complètement disparaître d'ici à quatre ans. La fonte des glaces de mer du pôle Nord s'accélère au point qu'elles pourraient avoir totalement disparu, en été, entre 2015 et 2016, selon Peter Wadhams, de l'université de Cambridge. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric La fonte de la banquise arctique s'accélère au point qu'elle pourrait avoir totalement disparu en été d'ici à quatre ans. C'est la mise en garde de l'un des plus grands spécialistes du sujet, Peter Wadhams, dans le Guardian, lundi 17 septembre, alors que la superficie des glaces de mer de l'hémisphère Nord est sur le point d'atteindre son plus bas historique.

Wadhams, qui dirige le département de physique de l'océan polaire à l'université de Cambridge, en Angleterre, a passé de nombreuses années à recueillir des données sur l'épaisseur de la glace grâce aux mesures de sous-marins parcourant l'océan Arctique. "UNE CATASTROPHE MONDIALE" en 2015 OU 2016 Peter Wadhams appelle alors à "des mesures urgentes" pour limiter l'augmentation des températures. Nouveau record de fonte de glace pour le pôle Nord - Sciences. L'Arctique fond et fond même à vue de satellite. Des scientifiques de la NASA et du National Snow Ice Data Center (NSIDC) ont expliqué lundi que la calotte glacière a atteint sa plus petite superficie dimanche dernier. Cela fait déjà 30 ans que des satellites permettent de mesurer la banquise de la mer arctique. Chaque été, la banquise fond jusqu'à un « minimum » puis se reconstruit avec le retour des temps plus froids.

Ce 26 août 2012, la calotte glacière ne faisait plus que 4,10 millions de kilomètres carrés. Le dernier record de fonte datait du 18 septembre 2007 où la superficie de la banquise était de 4,17 millions de kilomètres carrés soit 70000 kilomètres de plus. Les données sont surprenantes car les experts expliquaient le record de 2007 par un contexte climatique exceptionnel. Mais ce qui étonne les spécialistes cette année c'est la précocité de ce phénomène. Arctic Sea Ice News and Analysis.

The sea ice extent has been quickly growing, and by the end of October, ice covered most of the Arctic Ocean. Overall, the ice extent remained below average for this time of year in the Barents and Kara Seas, as well as within northern Baffin Bay and the East Greenland Sea. Overview of conditions Figure 1. Arctic sea ice extent for October 2021 was 6.77 million square kilometers (2.61 million square miles). Credit: National Snow and Ice Data CenterHigh-resolution image The monthly average extent for October 2021 was 6.77 million square kilometers (2.61 million square miles). Conditions in context Figure 2a. Credit: National Snow and Ice Data CenterHigh-resolution image Figure 2b. Credit: NSIDC courtesy NOAA Earth System Research Laboratory Physical Sciences Laboratory High-resolution image Figure 2c. Credit: NSIDC courtesy NOAA Earth System Research Laboratory Physical Sciences Laboratory High-resolution image October 2021 compared to previous years Figure 3.

Figure 4. Figure 5. References. Strong Summer Cyclone Churns Over the Arctic. An unusually large, long-lasting, and powerful cyclone was churning over the Arctic in early August 2012. Two smaller systems merged on August 5 to form the storm, which at the time occupied much of the Beaufort-Chukchi Sea and Canadian Basin. On average, Arctic cyclones last about 40 hours; as of August 9, 2012, this storm had lasted more than five days. The Visible Infrared Imaging Radiometer Suite (VIIRS) on Suomi NPP captured this view of the storm on August 7, 2012. The Moderate Resolution Imaging Spectroradiometer (MODIS) aboard Aqua captured a natural-color image of the storm as well. Arctic cyclones are more common during the summer than winter; however, summer cyclones tend to be weaker than the storms that batter the region during the winter.

The number of cyclones affecting the Arctic appears to be increasing. The cause of the increase is an open question, but climate change may be affecting Arctic cyclones. Further Reading NASA. (2008, October 6). Instrument(s): Satellites see Unprecedented Greenland Ice Sheet Melt. Extent of surface melt over Greenland's ice sheet on July 8, 2012 (left) and July 12, 2012 (right). Measurements from three satellites showed that on July 8, about 40 percent of the ice sheet had undergone thawing at or near the surface.

In just a few days, the melting had dramatically accelerated and an estimated 97 percent of the ice sheet surface had thawed by July 12. In the image, the areas classified as "probable melt" (light pink) correspond to those sites where at least one satellite detected surface melting. The areas classified as "melt" (dark pink) correspond to sites where two or three satellites detected surface melting. Image credit: Jesse Allen, NASA Earth Observatory and Nicolo E. July 24, 2012 PASADENA, Calif. - For several days this month, Greenland's surface ice cover melted over a larger area than at any time in more than 30 years of satellite observations. On average in the summer, about half of the surface of Greenland's ice sheet naturally melts.

Satellites See Unprecedented Greenland Ice Sheet Surface Melt. Satellites See Unprecedented Greenland Ice Sheet Surface Melt Extent of surface melt over Greenland’s ice sheet on July 8 (left) and July 12 (right). Measurements from three satellites showed that on July 8, about 40 percent of the ice sheet had undergone thawing at or near the surface. In just a few days, the melting had dramatically accelerated and an estimated 97 percent of the ice sheet surface had thawed by July 12. In the image, the areas classified as “probable melt” (light pink) correspond to those sites where at least one satellite detected surface melting.

The areas classified as “melt” (dark pink) correspond to sites where two or three satellites detected surface melting. The satellites are measuring different physical properties at different scales and are passing over Greenland at different times. As a whole, they provide a picture of an extreme melt event about which scientists are very confident. "The Greenland ice sheet is a vast area with a varied history of change. Save the Arctic #OpSaveTheArctic. Save The Arctic | Greenpeace. Greenpeace lance "Save the Artic" Greenpeace surveille l’Arctique Depuis des années déjà, l’Arctique est menacé par le réchauffement climatique. Cette région se situant au pôle Nord se réchauffe, fond et disparait peu à peu avec la biodiversité qu’elle abrite. Au cours des trente dernières années, la banquise de l’Arctique a perdu un tiers de sa surface. Les activités humaines ne font pas bon ménage avec l’environnement.

D’ici à 2030, elle pourrait complètement disparaître, a expliqué l’association écologique Greenpeace qui lance sa campagne « Save the Arctic ». La colonisation sans frontièresL’Arctic Sunrise et l’Esperanza, deux bateaux de Greenpeace, vont justement pouvoir être les témoins des mutations qu’a subit l’Arctique ces dernières années. Les grandes compagnies pétrolières ont déjà engagé leur argent dans le forage de cette zone restée éloignée des activités polluantes pendant longtemps.

Crédits photos : Pierre Gleizes / Greenpeace. Fonte de glace record en Arctique. La fonte des glaces dans l’Arctique s’accélère Alors que les ours polaires pâtissent déjà depuis des années des bouleversements climatiques, la glace en Arctique aurait fondu encore plus vite cette année, affirment National Snow, le gouvernement des États-Unis et l’Ice Data Centre (NSIDC). Le diagnostic n’est pas réjouissant pour l’état de la glace dans l’Arctique.

Effectuées par des chercheurs de l’Université de Washington, les observations par satellite montrent en effet que la banquise, qui se régénère naturellement chaque année, couvre… 508 800 kilomètres carrés de moins cette semaine de juin par rapport à celle de l’année dernière, soit un peu moins la superficie de la France (!) Le réchauffement climatique Le mois de juin 2012 est à cet égard le pire depuis 1979 et le début des relevés de données. Les récents taux de perte de glace seraient également compris entre 100 000 et 150 000 kilomètres carrés par jour, ce qui est plus du double du taux de climatologique. Le Pôle Nord n'est plus qu'un lac ! Ce qui devait arriver arriva : à force de rouler en Hummer et de coller la clim' à fond, vous avez fait fondre le Pôle Nord. Bon, ce n’est sans doute pas uniquement la faute de la clim’ poussée à fond, mais quand bien même, le résultat est le même : le Pôle Nord est actuellement plus assimilable à un lac qu’autre chose.

Et pourtant, il apparaît que les relevés de neige opérés en avril étaient encourageants. A même été enregistrée la 9ème chute de neige la plus conséquente vue dans l’Arctique. Mais voilà : en mai, les températures ont augmenté, et un peu plus de la « couverture » du Pôle a fondu. Ce mois de juillet, les températures là bas ont flirté avec les 1-3°C. Increasing speed of Greenland glaciers gives new insight for rising sea level. Changes in the speed that ice travels in more than 200 outlet glaciers indicates that Greenland's contribution to rising sea level in the 21st century might be significantly less than the upper limits some scientists thought possible, a new study shows. "So far, on average we're seeing about a 30 percent speedup in 10 years," said Twila Moon, a University of Washington doctoral student in Earth and space sciences and lead author of a paper documenting the observations published May 4 in Science.

The faster the glaciers move, the more ice and meltwater they release into the ocean. In a previous study, scientists trying to understand the contribution of melting ice to rising sea level in a warming world considered a scenario in which the Greenland glaciers would double their velocity between 2000 and 2010 and then stabilize at the higher speed, and another scenario in which the speeds would increase tenfold and then stabilize. "In some sense, this raises as many questions as it answers.