Sans titre. © S.
De Danieli Routes, zones urbaines, terres cultivées... En aménageant le territoire l'homme modifie considérablement les milieux. Pour mieux en caractériser les impacts sur les déplacements des animaux, essentiels au fonctionnement et à la biodiversité des écosystèmes, les scientifiques analysent de près leurs mouvements et modélisent le comportement d’une population dans un contexte de fragmentation des habitats. Des distances deux à trois fois moins élevées dans les paysages modifiés Plusieurs études ont analysé l’influence d’un changement de paysage sur les déplacements d’une ou de plusieurs espèces animales, mais peu ont été menées sur une grande diversité d’espèces et à l’échelle planétaire. Simuler le comportement face à des habitats fragmentés En parallèle de ces travaux, Björn Reineking a contribué aux analyses d’un modèle[5] visant à mieux comprendre les impacts d’une fragmentation des habitats sur les déplacements d‘une espèce, au sein d’un espace virtuel.
En savoir plus. Vers les alternatives aux phytos pour les entreprises du paysage ! - Ecophyto PRO : réduire et améliorer l'utilisation des phytos. Vidéo à visualiser | Mise à jour : décembre 2017 Les Entreprises du Paysage valorisent la biodiversité : découvrez les expériences croisées innovantes des professionnels de l’Unep sur les bonnes pratiques économes en produits phytosanitaires. #1 Affirmer le végétal pour ne plus désherber#2 Être force de proposition pour supprimer les traitements phytos#3 Maîtriser le sol pour anticiper l’entretien alternatif des espaces verts Action initiée par la délégation Pays de la Loire de l’Unep - Les Entreprises du Paysage avec l’appui du centre technique national d’expérimentations Plante & Cité et pilotée par le ministère chargé de l'agriculture et le ministère chargé de l'écologie, avec l'appui financier de l’Agence française pour la biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto.
Confection d'un augmentorium dans le cadre de la protection contre les Mouches des fruits.
Maraîchage. Systèmes de culture. Un système de cultures est défini par le Pr Sébillotte de la façon suivante : C’est un ensemble de modalités techniques mises en œuvre sur des parcelles traitées de manière identique.
Chaque système de culture se définit par la nature des cultures, leur ordre de succession (rotation) et les itinéraires techniques appliqués à ces différentes cultures. L’approche système se traduit par différentes étapes : 1) une compréhension globale du fonctionnement de l’exploitation agricole dans son contexte économique, pédologique, climatique ({etc.}), intégrant les principales contraintes rencontrées par l’agriculteur ainsi que les atouts dont il dispose afin de pouvoir modifier son système; L'approche que l'on peut trouver dans les Guides de co-conception permet de bien réaliser ce diagnostic (Ex.: Stephy - guide méthodologique - Partie II - Page 41 à 54). La fiche Aide extrait de ce guide (A1 - Questionnaire pour le diagnostic de l’exploitation agricole) vous en offre un aperçu. Matériel méthodes alternatives. Dans le cadre de la réduction de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques, trois moyens seront mis en œuvre : 1) l’utilisation de méthodes alternatives (cf. rubriques [Prévention / Prophylaxie] & [Méthodes de lutte]); 2) la réduction des quantités appliquées (cf. rubrique [Méthodes de lutte>Utilisation raisonnée des méthodes chimiques]); 3) la réduction du nombre d’application notamment grâce aux outils d'aide à la décision (cf. rubrique [Surveillance]).
Le recours à des matériels et équipements adaptés se place dans les objectifs 1 et 2. De plus, le contrôle périodique des matériels d’application doit permettre de pratiquer une application de meilleure qualité. Réflexions sur le futur des agro-équipements, voies de recherche et innovation - Irstea - Octobre 2014 Machines agricoles. Referentiel agroequipements 2015. Gestion des cultures. La protection intégrée repose en premier lieu sur l’application de combinaisons de méthodes préventives ayant pour but de placer les plantes cultivées dans les meilleures dispositions pour résister à l’ensemble de leurs bio-agresseurs et de limiter l’apparition et le développement de ceux-ci.
Dans un premier temps, il est donc indispensable d’avoir hiérarchisé les problèmes relatifs à chacune des cultures présentes sur l'exploitation afin de pouvoir décider des techniques les plus adéquates à mettre en œuvre. Cette évaluation devra être réalisée régulièrement, la nature et le nombre des espèces de bio-agresseurs rencontrés étant voués à évoluer en fonction des pratiques mises en place. La mise en application régulière du principe 8 de la directive 2009/1288/CE (cf. principes & définitions) est par conséquent primordiale pour envisager une amélioration des pratiques de protection intégrée.
Dans cette même directive, la définition des méthodes préventives est la suivante : Inra – Cemagref.
Arboriculture.