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Design graphique

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Typotheque, digital type foundry. Formes Vives. Geoffroy Pithon - jeudi 24 septembre 2015 - Événements Je fais tourner l'info sur ce beau boulot auquel participe l'ami Nicolas Leblanc. Au cœur du Bâtiment des Machines du 9-9bis, dans un cadre préservé, sont exposées les photographies du collectif franco-polonais "Les Gueules Noires de l'Europe" autour d'une histoire et d'une culture commune : la mine. Initié en 2012 par l'association Histoire de Savoir(s), ce projet réunit de jeunes photographes qui vous livrent aujourd'hui leurs visions de ce patrimoine minier.

Au travers d'une dizaine de travaux artistiques, vous découvrirez l'activité minière, sa mémoire, ses paysages, sa flore et la vie de ses mineurs d'hier et d'aujourd'hui. ZONES. « Premier roman graphique publié par le nouveau label "Zones" de La Découverte, est un livre tout à fait étonnant. Réalisé dans les années trente, publié confidentiellement aux Etats-Unis pour la première fois en 1940, ce document social constitue l'une des oeuvres fondatrices du "graphic novel" américain. Il marque par sa structure - une seule case, muette, par page - et sa technique - l'usage de la carte à gratter, qui fascine aujourd'hui par sa puissance expressionniste des auteurs comme Jochen Gerner ou Mathias Lehmann - aussi bien que par son propos: l'émergence de la conscience sociale d'un travailleur intellectuel. » « Les éditions La Découverte lancent un nouveau label, Zones.

Il ne sera pas dédié à la BD, mais ouvre néanmoins le bal avec un roman graphique, , de Giacomo Patri. . « Le nouveau label Zones des éditions La Découverte réédite aujourd'hui ce petit livre oublié, dessiné en 1940 par Giacomo Patri. . « Un superbe "roman graphique" oublié. » Revue oxo. Manystuff.org — Graphic Design daily selection.

Étapes:97 | etapes.com. Design et typo - Blog LeMonde.fr. En réponse aux questions que pose Étienne sur son blog, voilà une série de réflexions que j'ai essayé de structurer autour d'une idée simple: quel métier faisons-nous? Pêle-mêle: L'autre jour Étienne, pendant le débat d'échauffement, nous disait qu'il regrettait le temps où l'on pouvait savoir qui était qui dans le métro, rien qu'en voyant son journal déplié. Eh oui, et à la terrasse d'un café, lorsque un homme ou une femme lisait tout seul Libé, on pouvait en déduire deux choses: celui-ci, celle-là est de gauche… et peut-être cherche-t-il(elle) même un(e) compagnon(ne) :).

Mais aujourd'hui lorsqu'on voit à la terrasse d'un café un lecteur de Libé, on ne peut plus identifier les choix politiques du quidam. Tout au plus projeter un qualificatif de bobo, bien imparfait pour nommer une social-attitude bien pensante mais pas très militante. Les journaux remplissaient du temps de la guerre froide un rôle catalyseur et identitaire des choix de société.

Ce n'est plus le cas maintenant.