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MOOC

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Institutions et enseignants face au tsunami des MOOCs - ParisTech Review. MOOCS : depuis la fin 2013, le mot est sur toutes les lèvres. Il n’a pourtant été inventé qu’en 2011, et dans un secteur extrêmement confidentiel. Vingt-cinq étudiants seulement étaient présents la première fois où le terme a été utilisé, en 2011, lors de CCK08 – Connectivism and Connective Knowledge, un cours sur le connectivisme organisé par George Siemens et Stephen Downes, à l’université du Manitoba, Canada. Enfin, vingt-cinq dans la salle de cours… et cent fois plus, en ligne. Cette nouvelle manière d’enseigner a emprunté au monde des jeux en ligne « massivement multi-joueurs » ses acronymes qui sont tout aussi étranges en anglais, MOOC, pour Massive Online Open Courses, qu’en français, avec CLOM, pour Cours en ligne ouvert en masse.

Les trois grandes plateformes qui proposent aujourd’hui les cours des plus grandes universités mondiales : Udacity, Coursera, edX, sont de création récente. Le MOOC d’Alberto Alemanno sur Coursera. MOOCs : menaces et opportunités pour l’enseignement supérieur. MOOC – un écosystème. Depuis longtemps, on sent l’intérêt des entreprises pour les MOOC. Vus par certaines comme un outil à disposition de leurs formations propres, ou pour les formations de leurs clients, de leurs prospects. Vus par d’autres comme un outil de recrutement pour détecter des candidats potentiels. Mais surtout, l’écosystème des MOOC se dote d’entreprises qui identifient ces dispositifs comme vecteur de développement, soit comme nouveau débouché pour des services existants, soit comme débouché principal en cherchant à capter la valeur que l’on attache aux MOOC : diffusion de connaissance, certification, produits dérivés … Je me suis fait un diaporama pour me clarifier cela.

J’avais prévu de le présenter à l’occasion d’une réunion "Open Coffee" à Morlaix le 27 février, mais je vais sans doute me le réserver pour une autre occasion. Il parait en effet trop typé par rapport au public prévu. Like this: J'aime chargement… Les Mooc, la ruine de l’université ? Billet rédigé par Caroline Jouneau-Sion (ENS-Lyon), Chloé Manceau (ENS-Lyon) Alors qu’ils ont connu un fort succès auprès des grandes universités américaines (Harvard, MIT, Stanford, etc.), les Mooc (Massive Open Online Courses) arrivent doucement dans les universités françaises. Rappelons actuellement, deux plates-formes américaines dominent le marché en hébergeant la plupart des Mooc : Coursera et edX.

Mais dernièrement, la France a décidé de se lancer sur le marché et de les rejoindre en mettant en place la première plate-forme française destinée à héberger les Mooc d’ici janvier 2014. Après un premier Mooc francophone en marge des universités l’an dernier (j’ai nommé le Mooc Itypa), le paysage des Mooc français s’est en effet considérablement élargi. Source Avant de s’étendre davantage sur le sujet, il est important de rappeler qu’un Mooc n’est pas seulement un cours numérisé, c’est un cours un minimum scénarisé pour amener des “masses” d’apprenants aux apprentissages visés. Source. Les MOOC - une révolution dans l'enseignement supérieur ? MOOC.