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Cancer

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Une intelligence artificielle arrive à détecter le cancer de la prostate grâce à un test urinaire. L'épigénétique contre le cancer - Sciences et Avenir. Facteurs épigénétiques et cancer On le sait depuis les années 80, le cancer est le résultat de mutations ou d'altérations génétiques qui provoquent une prolifération anormale de cellules au sein d'un tissu sain.

L'épigénétique contre le cancer - Sciences et Avenir

Mais depuis une dizaine d'années, on sait aussi qu'il s'agit d'une maladie autant épigénétique que génétique. Les modifications épigénétiques portent non sur l'ADN des cellules lui-même, mais sur la façon dont celles-ci le transcrivent et l'expriment dans leur métabolisme. Ces modifications se transmettent au cours de la mitose et aussi de la méiose. Or, en altérant l'expression de gènes impliqués dans la régulation cellulaire, les modifications épigénétiques jouent un rôle important dans le développement des tumeurs. La régulation cellulaire passe par la méthylation (une modification chimique de la cytosine, la base C de l'ADN) des promoteurs de certains gènes, qui fait que ces derniers ne s'expriment pas, tandis que d'autres, non-méthylés, s'expriment.

ASCO 2018. Traitement médical seul pour le cancer du rein métastasé. Cancer du sein : bonne nouvelle ! Plusieurs peuvent éviter la chimiothérapie en toute sécurité. Un test de 21 gènes effectué sur les tumeurs permet à la plupart des femmes atteintes du type de cancer du sein précoce le plus courant d'éviter la chimiothérapie en toute sécurité, selon une étude publiée dans le à Chicago. « La chimiothérapie peut être évitée en toute sécurité chez environ 70 % des patientes chez qui on diagnostique la forme la plus courante de cancer du sein », indique Dre Kathy Albain, oncologue à l'Université de Loyola. « Pour d'innombrables femmes et leurs médecins, les jours d'incertitude sont révolus. » Le test examine 21 gènes provenant d'échantillons de biopsie du cancer du sein des patientes afin de déterminer leur degré d'activité.

Cancer du sein : bonne nouvelle ! Plusieurs peuvent éviter la chimiothérapie en toute sécurité

On attribue à la tumeur un « score de récidive » de 0 à 100 ; plus le score est élevé, plus le risque de récidive du cancer dans les organes éloignés et de diminution de la survie est élevé. Si les patientes dont le score est plus élevé reçoivent une chimiothérapie, ce risque de récidive est considérablement réduit. Les SUPRACAR-T : des cellules immunitaires génétiquement dopées contre le cancer.

CAR-T : modifier les cellules immunitaires du patient pour les rendre plus efficaces Les cellules CAR-T sont des lymphocytes T, c'est-à-dire des globules blancs capables de reconnaître et tuer naturellement les cellules anormales (infectées ou cancéreuses, par exemple).

Les SUPRACAR-T : des cellules immunitaires génétiquement dopées contre le cancer

Pour les rendre plus efficaces, ces lymphocytes ont été modifiés génétiquement pour porter à leur surface des récepteurs synthétisés en laboratoire, dits "chimériques". Ces récepteurs leurs permettent de reconnaitre des fragments spécifiques aux cellules anormales, que l'on appelle des antigènes. Pour faire simple, les lymphocytes T sont pris à un patient atteint d'un cancer, puis on leur greffe des récepteurs capables de reconnaître une molécule la plus spécifique possible à ses cellules tumorales, avant de les réinjecter. En se fixant sur l'antigène par son récepteur, la cellule modifiée va alors être activée, déclenchant le système immunitaire du malade. Une découverte pourrait améliorer l'immunothérapie contre le mélanome et d'autres cancers. « Les immunothérapies sont des traitements qui stimulent les cellules immunitaires du patient afin qu'elles attaquent la tumeur. » « Elles peuvent s'avérer très efficaces contre le mélanome - une forme courante et agressive de cancer de la peau - mais échouent néanmoins chez la majorité des patients », rapportent les auteurs d'une étude publiée dans la revue Science Translational Medicine.

Une découverte pourrait améliorer l'immunothérapie contre le mélanome et d'autres cancers

Une découverte de chercheurs de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) et de l'Université de Lausanne pourrait mener à une amélioration de l'efficacité de certaines immunothérapies. Leur communiqué explique : « Certaines cellules immunitaires, appelées lymphocytes T CD8 (ou lymphocytes T cytotoxiques), sont capables de reconnaître et de tuer les cellules du mélanome, et possèdent donc la capacité d'éradiquer la tumeur. Cette bactérie de la peau protège du cancer ! Une souche de Staphylococcus epidermidis produit une enzyme capable de tuer les cellules cancéreuses de la peau.

Cette bactérie de la peau protège du cancer !

De quoi imaginer un traitement préventif révolutionnaire contre le cancer de la peau. « C'est la première fois qu'on observe un lien direct entre la présence d'une bactérie et un effet protecteur contre le cancer », se réjouit le médecin et chercheur Richard Gallo, de l'Université de Californie, à San Diego (Etats-Unis). Cette bactérie, c'est Staphylococcus epidermidis qui, comme son nom l'indique, peuple de préférence notre épiderme.

Elle est d'ailleurs majoritaire parmi toutes les espèces de bactéries qui logent dans les 2m² de peau qui recouvrent, du sommet de la tête aux dessous des pieds, un corps d'adulte. « On a découvert qu'une souche particulière de Staphylococcus epidermidis produit une enzyme capable de tuer les cellules cancéreuses de la peau, et ce, sans dommage pour les cellules saines de l'épiderme », explique-t-il. Des nanorobots capables de détruire les tumeurs cancéreuses en 48h. La chimiothérapie pourrait bien devenir obsolète.

Des nanorobots capables de détruire les tumeurs cancéreuses en 48h

Une équipe de chercheurs américains et chinois a créé des nanorobots parfaitement autonomes capables de trouver et de détruire les tumeurs cancéreuses. Le tout en seulement 48 heures. Le but de cette recherche, publiée dans la revue scientifique britannique Nature Biotechnology, est de trouver un compromis moins nocif à la chimiothérapie ou à la radiothérapie et d’éviter leurs effets secondaires. Cancer : une nouvelle immunothérapie semble très efficace sans perturber l'immunité globale de l'organisme. L'activation de lymphocytes T (des cellules immunitaires) dans les tumeurs élimine même les métastases distantes chez la souris, ont montré des chercheurs de l'Université Standford.

Cancer : une nouvelle immunothérapie semble très efficace sans perturber l'immunité globale de l'organisme

Depuis janvier, des personnes atteintes d'un lymphome sont recrutées pour tester la thérapie dans un essai clinique. L'injection de quantités infimes de deux agents immunostimulants directement dans des tumeurs solides chez la souris permet d'éliminer toutes les traces de cancer chez les animaux, dont les métastases distantes et non traitées.

Traiter le cancer en utilisant le système immunitaire - Science. On connaît malheureusement tous la chimiothérapie utilisée dans le traitement des cancers, avec son lot d'effets secondaires indésirables.

Traiter le cancer en utilisant le système immunitaire - Science

Mais il existe une autre méthode, encore balbutiante, dans laquelle les chercheurs placent beaucoup d'espoirs : l'immunothérapie. Une équipe de Stanford aux Etats-Unis vient de publier une étude dans la revue Science Translational Medicine dans laquelle ils montrent comment ils ont réussi à éliminer des tumeurs chez la souris en utilisant cette nouvelle technique. La chimiothérapie utilise des médicaments pour traiter les cancers, l’immunothérapie, elle, comme son nom l'indique, fait appel à notre système immunitaire lui-même. En l'occurrence, le but, c'est de le stimuler.

Il y a plusieurs façons de le faire, mais ça reste aujourd'hui encore à améliorer, car ce n'est pas sans effets secondaires. 2e thérapie génique contre le lymphome approuvée aux Etats-Unis. Cette nouvelle classe de traitement consiste à modifier génétiquement le système immunitaire d'un malade pour qu'il puisse combattre les cellules cancéreuses.

2e thérapie génique contre le lymphome approuvée aux Etats-Unis

La Food and Drug Administration avait autorisé la première thérapie anti-cancéreuse génique en août 2017, le Kymriah, des laboratoires Novartis, pour traiter une forme très agressive de leucémie chez des enfants et de jeunes adultes. Le Yescarta a été initialement développé par les Instituts nationaux américains de la santé et le brevet avait été acquis par la firme Kite Pharma. Celle-ci a été rachetée récemment par le groupe Gilead pour 11,9 milliards de dollars. Nouvelle approche dans le cancer: recaler les cellules - Sciencesetavenir.fr. Nouvelle piste dans le cancer : il est possible de resynchroniser l'horloge biologique des cellules tumorales pour ralentir leur progression.

Nouvelle approche dans le cancer: recaler les cellules - Sciencesetavenir.fr

Tel est le résultat d'une étude récente publiée dans la revue BMC. Menée chez l'animal, elle est le fruit de travaux de chercheurs de l'Institut Douglas, un centre québécois de recherche situé à Montréal (Canada) et ses premiers résultats sont très encourageants. "Ils montrent pour la première fois qu'il est possible d'agir sur la croissance tumorale par ce mécanisme de resynchronisation", détaille Nicolas Cermakian, directeur du laboratoire de chronobiologie à l'institut Douglas. On savait depuis longtemps que les perturbations de l’horloge interne du corps étaient responsables de conséquences délétères pour l’organisme.

Problèmes de sommeil bien sûr mais aussi troubles psychologiques, obésité, maladies cardiovasculaires et encore maladies immunitaires sans oublier des cancers (sein, colon) plus fréquents chez les travailleurs de nuit. Une première : un anticancéreux autorisé selon la génétique d'une tumeur plutôt que l'organe affecté. Pour la première fois, l'agence américaine des médicaments a autorisé la commercialisation d'un médicament anticancéreux d'immunothérapie, le Keytruda (pembrolizumab) de Merck, pour des tumeurs ayant un profil génétique spécifique plutôt que des tumeurs localisées sur un organe particulier.

Il est indiqué chez les adultes et les enfants qui ont des tumeurs solides inopérables ou métastatiques portant les biomarqueurs MSI-H et dMMR. Cette indication couvre les patients atteints de tumeurs solides qui ont progressé après un traitement préalable et qui n'ont pas d'options de traitement alternatives satisfaisantes et les patients atteints d'un cancer colorectal qui a progressé suite au traitement avec certains médicaments de chimiothérapie. Les tumeurs pouvant porter ces biomarqueurs affectent fréquemment le côlon, les ovaires et le système digestif. Elles touchent aussi les seins, la prostate, la vessie et la thyroïde, précise le communiqué de a Food and Drug Administration (FDA).

Le microbiote intestinal prédit l’efficacité de l’immunothérapie du cancer. La composition du microbiote intestinal aide à identifier les malades qui vont répondre favorablement au traitement du mélanome par l'immunothérapie avec l’ipilimumab (Yervoy), selon une étude française publiée dans la revue Annals of Oncology. Le microbiote « joue un rôle primordial dans le développement du système immunitaire », soulignent les auteurs. Des équipes de l’AP-HP, de l’INRA, de Gustave Roussy et de l’Inserm (1) ont mené cette étude avec 26 personnes atteintes de mélanome avec des métastases et traitées avec l’anticorps monoclonal ipilimumab (Yervoy). « L’ipilimumab est une immunothérapie par anticorps anti-CTLA4 qui mobilise le système immunitaire (...) pour combattre la maladie. Ces résultats constituent une nouvelle étape vers le traitement personnalisé des cancers, estiment les chercheurs.

La timide révolution des thérapies ciblées anti-cancers. Dresser la carte d’identité génétique des tumeurs améliore le pronostic d’un petit nombre de patients, suggère une étude française. Entre partisans et détracteurs de cette approche, le débat reste vif. Quels bénéfices attendre des thérapies ciblées en cancérologie ? Ces traitements sont apparus il y a vingt ans, mais la question fait toujours débat. Les uns qualifient cette médecine de précision de « révolution en marche », tandis que d’autres ­jugent ses promesses excessives. Des spermatozoïdes pour combattre le cancer. Spermatozoïdes. © Iqbal Osman. IL EN VA de la lutte contre le cancer comme de la guerre. A l’image des militaires, les oncologues cherchent à ne détruire que l’ennemi et pas les populations innocentes – à savoir les cellules saines qu’attaquent souvent, sans trop de discernement, les chimiothérapies.

Depuis plusieurs années sont donc développées des stratégies ciblées : au lieu de noyer l’organisme sous un tapis de bombes, parachutons des commandos au niveau des cellules et tumeurs cancéreuses. D’où la recherche de vecteurs capables de transporter (sans les perdre en route) des charges médicamenteuses et de les larguer au bon endroit. Parmi ces livreurs de taille micrométrique (millionième de mètre) voire nanométrique (milliardième de mètre), on trouve déjà les liposomes, des nanocapsules qui renferment le principe actif mais présentent plusieurs inconvénients, notamment de le libérer sur des organes non visés ou d’avoir une pénétration limitée dans les tissus. . © Haifeng Xu et al. Cancer : l'intérêt de dresser le portrait génétique de la tumeur est démontré - Sciencesetavenir.fr. Des thérapies ciblées innovantes contre le cancer, sélectionnées grâce à la carte d'identité génétique de la tumeur, ont permis d'améliorer la survie de patients à un stade avancé de la maladie, selon un essai clinique français publié le 1er avril 2017 dans la revue américaine Cancer Research.

L'étude Moscato dirigée par l'Institut Gustave-Roussy (Villejuif, près de Paris), a porté sur les cancers les plus fréquents (poumon, sein, colon, prostate...) et plus d'une vingtaine moins fréquents. "Cette approche fait pour la première fois la preuve de son efficacité" "Cette approche fait pour la première fois la preuve de son efficacité" sur cette grande variété de cancers, selon le professeur Jean-Charles Soria (Gustave Roussy/Inserm/Université Paris-Sud), co-auteur de l'étude. Cette "médecine de précision" est basée sur l'hypothèse qu'on peut optimiser le traitement en s'appuyant sur les caractéristiques génétiques (mutations ou autres altérations) de la tumeur pour mieux la combattre. Chiens renifleurs de cancer: une efficacité à 100% sur six mois de tests - Sciencesetavenir.fr. Les six premiers mois de tests ont révélé une "efficacité à 100%" du protocole Kdog visant à mettre au point une détection précoce des tumeurs cancéreuses par le seul odorat d'un chien, a indiqué mercredi à l'AFP l'Institut Curie qui porte ce projet.

Après six mois d’entraînement sur le site de Magnac-Laval (87), Thor et Nikios, les deux malinois acquis par l’Institut afin d’être formés à la détection précoce du cancer du sein ont rempli leur mission. Si bien que l’Institut Curie a annoncé un "résultat positif à 100%" de cette phase-test menée sur une cohorte de 130 femmes volontaires. Mammographie : on devrait bientôt pouvoir se passer des rayons X - Science-et-vie.com. Une nouvelle technique d'imagerie médicale par ultrasons, sans danger, va permettre de reconstruire une image 3D des vaisseaux sanguins dans le sein.

Cancer : on peut attaquer les tumeurs avec des nanotubes chauffés au laser - Science-et-vie.com. Quand les cellules cancéreuses reviennent d'entre les morts. L'apoptose est le processus par lequel les cellules d'un organisme programment leur destruction en réponse à un signal chimique. La conférence mondiale sur le cancer du poumon à Vienne. Un espoir dans la lutte contre le cancer du poumon. Tout au moins pour certaines formes résistantes aux traitements chez des malades porteurs d’une mutation génétique.

Cette avancée repose sur un travail récent qui vient d’être présenté à Vienne lors de la 17e conférence mondiale sur le cancer du poumon (environ 6000 cancérologues issus 100 pays) organisée par l’International Association for the study of lung cancer (Iaslc) et simultanément publié sur le site du New England Journal of medicine. CRISPR : l'édition génétique testée pour la première fois sur l’Homme. Le système CRISPR-Cas9 est une technique particulièrement simple, peu coûteuse et efficace pour obtenir des cellules modifiées génétiquement. Il combine une enzyme qui coupe l'ADN avec une molécule servant de guide moléculaire pour diriger l'enzyme vers le site précis où il faut couper. L'espoir d'un vaccin universel contre le cancer renaît.

Cancer : quel rôle la protéine p53 joue-t-elle ? La protéine p53 est un anti-oncogène qui est muté dans environ la moitié des cancers. C'est pourquoi cette molécule fait l'objet de nombreuses recherches, notamment en quête d'un nouveau médicament contre le cancer. La protéine p53 a été découverte en 1979. Une étude remet en cause la fiabilité de l’imagerie IRM. CONTROVERSE. Indispensable IRM : utilisée depuis près de 15 ans, l'imagerie par résonance magnétique a très largement contribué à construire la plupart de nos connaissances actuelles en neurosciences, ainsi qu'à dépister les maladies cérébrales.

Non invasive, elle permet d'identifier avec une grande précision les zones où l'oxygène sanguin est consommé (l'hémoglobine sanguine ne s'aimante en effet pas de la même façon selon qu'elle soit chargée ou non en oxygène). Un principe théorique très clair, mais qui n'est pas si simple à mettre en oeuvre dans la pratique. Cancer de la prostate : les tumeurs de haut grade plus fréquentes à cause des antidiabétiques. Cancer : des Chinois sont les premiers à utiliser la technique de modification génétique Crispr-Cas9 chez l'humain. Cancer de la prostate : la testostérone n’augmenterait pas le risque. Cancer : les tests sanguins sont la vedette du grand congrès annuel d'oncologie. ASCO 2016. Un nouveau traitement très prometteur contre un cancer de l'enfant. ASCO 2016. Cancer du pancréas, 2 médicaments plutôt qu’un seul.

ASCO 2016. Nouveaux traitements pour le cancer de la vessie. Epidemium : la science collaborative s'attaque au cancer. Cancer du sein : les altérations génétiques identifiées en quasi-totalité. Cancer de la prostate : un test de dépistage prometteur. Cancer : des nanoparticules pour mesurer très rapidement l'efficacité des traitements. Ce que les momies nous apprennent sur le cancer du côlon... Des scientifiques ont découvert le "talon d'Achille" du cancer. Découvrez les cellules cancéreuses en 3D et en haute résolution. Cancer: les cellules immunitaires, un traitement efficace? Les troubles cognitifs liés au cancer peuvent persister dans le temps.

Cancer de la prostate : les statines augmenteraient l’efficacité d'un traitement. Une découverte "surprise" dans la lutte contre le cancer du pancréas. Chirurgie du cancer : illuminer la tumeur pour mieux l'éliminer. Efficace contre le cancer du sein, le Palbociclib en combattrait d'autres. Dépister le cancer du poumon en traquant les cellules circulantes. The FDA Just Approved One Cancer-Killing Virus. Expect More. Du corail contre le cancer - Science. Affamer le cancer pour empêcher sa croissance. Le paludisme pourrait pour aider la lutte contre le cancer.

Une nouvelle molécule prometteuse pour lutter contre le cancer de la peau. Leucémie : des lymphocytes OGM tueurs de cancer. Eradication des cellules souches cancéreuses : une étude française suscite l'espoir. Des cancers du foie dus à un virus censément inoffensif ? Un capteur pour surveiller le cancer en temps réel. Diagnostiquer le cancer du pancréas à partir de l’urine ? Cancer du sein : deux médicaments efficaces pour éviter les récidives. Cancer du sein : un dépistage possible grâce à l'hormone enképhaline.

Bientôt un marqueur sanguin pour le cancer du pancréas ? Cancers : lancement de plusieurs essais pour une super-radiothérapie. Google planche sur un bracelet anticancer - Amériques. Des cellules cancéreuses triées par des ondes sonores. Contre le cancer, la nanomédecine propose le magnétisme et la lumière. Nouvel outil contre le cancer du cerveau. Un vaccin en kit qui s’assemble dans l’organisme. Cancer : une nouvelle molécule pour "affamer" les tumeurs - Sciencesetavenir.fr. Cancer : un vaccin "universel" va être testé chez l'homme. Un virus pour lutter contre le cancer du pancréas. Cancer : la France teste un programme innovant de thérapies ciblées. Un autre facteur de cancer que l'environnement et la génétique.

Cancer colorectal : un nouveau test de dépistage, plus efficace. Le cancer du côlon associé à la présence de biofilms. Quels sont les traitements de demain pour lutter contre le cancer. Cancer : l’EBC-46, tiré d’une plante rare, semble prometteur. Des selles fluo pour détecter le cancer colorectal. Une nouvelle façon de classifier les cancers beaucoup plus prometteuse. Vers des traitements plus efficaces du cancer de la prostate. Infos – Cancer du col de l'utérus: une nouvelle thérapie miracle.

Mélanome : l’immunothérapie, un traitement d’avenir. Cancer : des nanoparticules pour une super-radiothérapie. Une nouvelle stratégie efficace contre le cancer de la prostate. Cancer: découverte sur le mécanisme de résistance aux médicaments. Des chiens détecteraient le cancer de la prostate dans 98% des cas. Une patiente guérit du cancer grâce à un virus : l'avis des experts. Requins : leurs anticorps bientôt utilisés pour traiter le cancer ?