background preloader

Lettrures

Facebook Twitter

Mean things authors say about each other. Flavorwire has assembled a collection of the 30 meanest things well-regarded writers have said about each other over the years. Some of my favorites are collected below: 21. Lord Byron on John Keats (1820) "Here are Johnny Keats' piss-a-bed poetry, and three novels by God knows whom... No more Keats, I entreat: flay him alive; if some of you don't I must skin him myself: there is no bearing the drivelling idiotism of the Mankin. " 17. Martin Amis on Miguel Cervantes "Reading Don Quixote can be compared to an indefinite visit from your most impossible senior relative, with all his pranks, dirty habits, unstoppable reminiscences, and terrible cronies. When the experience is over, and the old boy checks out at last (on page 846 -- the prose wedged tight, with no breaks for dialogue), you will shed tears all right; not tears of relief or regret but tears of pride.

You made it, despite all that 'Don Quixote' could do. " 9. The 30 Harshest Author-on-Author Insults In History (via RobertHoge) Les savoirs de l’écriture en Grèce ancienne (1) Les savoirs de l’écriture en Grèce ancienne (1) L’espace de la publicité : ses opérateurs intellectuels dans la cité Cette série sera constituée par quelques notes de lecture de certaines des contributions de l’ouvrage Les savoirs de l’écriture en Grèce ancienne », ouvrage collectif sous la direction de Marcel Détienne (1988, réédition 2010, ed.

Presses Universitaires du Septentrion). Je commence tout de suite avec le premier texte, celui de Marcel Détienne, « L’espace de la publicité : ses opérateurs intellectuels dans la cité ». Écrire les lois L’irruption de l’écriture dans le champ politique, en Grèce, se fait au travers de la figure du législateur. Gravure représentant Solon Cette écriture, contrairement à certaines représentations d’artistes qui en ont été faite, n’est pas celle de l’intimité du scribe dans les alcôves du pouvoir et de l’administration : “L’écriture se fait d’emblée monumentale, architecture de lettres. Présence de l’écriture La chose écrite en son autonomie. Lecture, mémoire, bibliothèque, lecture numérique. Ce texte est une reprise largement remaniée de ma communication au séminaire général de l'ITEM, " De l'archive manuscrite au scriptorium électronique ", à l'invitation d'Aurèle Crasson, en 2005.

Je remercie mes amis de l'ITEM de m'avoir incité à ce retour sur une expérience qu'ils avaient si bien accompagnée. précédents Le projet de " Poste de Lecture Assistée par l'Ordinateur " de la Bibliothèque de France - souvent désigné à l'époque par l'acronyme " P.L.A.O " - n'était pas sans précédents. Le plus célèbre était le dispositif imaginé par Vannevar Bush au tournant de la seconde Guerre Mondiale et intitulé " Memex ". Ce projet, d'ailleurs populaire, devait stimuler l'imagination de Douglas Engelbart et, plus tard, de Ted Nelson, inventeur de l'hypertexte. En réalité, le projet de Bush lui même avait été précédé d'une station de lecture de microfiches, conçue par Golberg, avec le parrainage de Paul Otlet, une des grandes figures du monde des bibliothèques. prospective bibliothèque numérique. Amazon : l’industrialisation de la fidélisation.

Amazon vient de lancer un service de prêt de livres numériques baptisé : Kindle Lending Library. Le système est assez simple : les propriétaires de Kindle pourront accéder à une bibliothèque de prêt de livres, leur permettant d'emprunter gratuitement un titre à la fois et par mois (voir les explications détaillées d'eBouquin.fr). On est loin de la réinvention de la bibliothèque, comme le suggérait Ecrans.fr (quelle horreur, une bibliothèque qui ne vous permettrait d'accéder qu'à un titre à la fois et par mois !)

Ou même de la préfiguration d'un Spotify du livre (une offre d'abonnement illimité à des contenus textuels, comme le propose Spotify pour la musique ou Netflix pour la vidéo). L'offre d'Amazon doit se comprendre pour ce qu'elle est : une simple offre commerciale de plus, mais dans un écosystème commercial conçu pour nous retenir et nous faire dépenser toujours un peu plus d'argent, sans nous le faire sentir. Image : la fonction d'emprunt gratuit de livre dans le Kindle d'Amazon. François bon's Photo. Is Amazon worried about e-book piracy? By Chris Meadows Perspectives on e-book piracy from outside the industry can be interesting. On “Tobold’s MMORPG Blog,” blogger Tobold posits that Amazon doesn’t seem to be too worried about e-book piracy if it’s selling its Kindles at a loss.

He writes: Thus I wonder whether people reading eBooks are inherently more honest than people consuming other forms of electronic content. Maybe it is only people of a certain age and social class that are interested in books at all. This summer, during the London riots, the only shops that weren’t looted were book stores. Of course, the perception of Amazon not being “worried” rests largely on the perception that it is selling its Kindles at a loss. It’s also worth pointing out that Amazon is not planning to profit from the Kindle solely by selling e-books. If Tobold wants to find people worried over e-book piracy, he should probably talk to the publishers. Comment Internet change notre façon de penser - Emmanuel Sander, article Psychologie.

Dématérialisant les supports de connaissance, s’affranchissant de l’espace et du temps, Internet offre de nouvelles manières d’organiser les connaissances. Une révolution cognitive ? L’univers d’Internet est paradoxal. D’un côté, les expressions de « révolution de l’information » ou « d’ère informationnelle » ne sont pas qu’emphatiques ; Internet a pris une telle place en quelques années que certains redoutent plus une coupure de réseau que d’eau ou d’électricité. Les prospectivistes d’antan n’ont pas, loin s’en faut, imaginé ce qu’offre la Toile : les possibilités d’accès, de diffusion, et d’échange d’information mettent le monde à portée de souris, dissolvent les distances et font de l’instantanéité la règle.

Dématérialisations en cascade De l’autre, et là pointe le paradoxe, Internet bouleverse le monde avec des « mots pour le dire » qui ne dépayseraient pas nos aïeux. Quelle frontière entre réel et virtuel ? Si la Toile a ébranlé « l’avoir », « l’être » n’est pas en reste. Mrg | lettrure(s) Lettrure(s) @tumblr.