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France Culture Les jeudis de l'IMA Les Arabes et La Grèce. Sylvain Gouguenheim : et si l'Europe ne devait pas ses savo. L'Europe ne doit rien a l'islam : VU DE JERUSALEM. Tonnante rectification des préjugés de l'heure, ce travail de Sylvain Gouguenheim va susciter débats et polémiques. Son thème : la filiation culturelle monde occidental-monde musulman. Sur ce sujet, les enjeux idéologiques et politiques pèsent lourd. Or cet universitaire des plus sérieux, professeur d'histoire médiévale à l'Ecole normale supérieure de Lyon, met à mal une série de convictions devenues dominantes. Ces dernières décennies, en suivant notamment Alain de Libera ou Mohammed Arkoun, Edward Saïd ou le Conseil de l'Europe, on aurait fait fausse route sur la part de l'islam dans l'histoire de la culture européenne. Que croyons-nous donc ?

Y a-t-il vraiment eu rupture totale entre l'héritage grec antique et l'Europe chrétienne du haut Moyen Age ? Cet intérêt médiéval pour les sources grecques trouvait sa source dans la culture chrétienne elle-même. La culture grecque antique fut-elle pleinement accueillie par l'islam ? ARISTOTE AU MONT SAINT-MICHEL. Egalité & réconciliation - Sylvain Gouguenheim : Et si l&#03. Grecs et Arabes : déjà d’antiques complicités - Le fil idées - T. Landerneau terre d'Islam, par Alain de Libera - Le fil idée. La république des livres » Blog Archive » L’affaire Aristote n’e. Pétition de l'Ecole normale supérieure Lettres et sciences. "ce travail de Sylvain Gouguenheim va susciter débats et po. Les racines de l'Europe divisent les historiens - Nonfictio. Sylvain Gouguenheim : et si l'Europe ne devai.

L'historien récuse l'idée que la science des Grecs ait été transmise à l'Occident par le monde musulman. LE MONDE DES LIVRES | • Mis à jour le | Par Roger-Pol Droit Etonnante rectification des préjugés de l'heure, ce travail de Sylvain Gouguenheim va susciter débats et polémiques. Son thème : la filiation culturelle monde occidental-monde musulman. Sur ce sujet, les enjeux idéologiques et politiques pèsent lourd. Or cet universitaire des plus sérieux, professeur d'histoire médiévale à l'Ecole normale supérieure de Lyon, met à mal une série de convictions devenues dominantes. Ces dernières décennies, en suivant notamment Alain de Libera ou Mohammed Arkoun, Edward Saïd ou le Conseil de l'Europe, on aurait fait fausse route sur la part de l'islam dans l'histoire de la culture européenne.

Que croyons-nous donc ? Y a-t-il vraiment eu rupture totale entre l'héritage grec antique et l'Europe chrétienne du haut Moyen Age ? La culture grecque antique fut-elle pleinement accueillie par l'islam ? Aristote au Mont-Saint-Michel : Les racines grecques de l'E. Une démonstration suspecte - Livres. LE MONDE DES LIVRES | • Mis à jour le | Par Gabriel Martinez-Gros Julien Loiseau Armé d'une solide réputation de sérieux (acquise par ses travaux sur la mystique rhénane), fort également d'une position institutionnelle prestigieuse, Sylvain Gouguenheim entend réviser une idée largement reçue et même redresser une véritable injustice de l'histoire : l'Europe chrétienne du Moyen Age n'a pas reçu l'héritage grec, passivement, des Arabes ; elle a toujours conservé la conscience de sa filiation grecque ; mieux, elle s'est réapproprié, de sa propre initiative, ce legs qui lui revenait de droit, accueillant les savants grecs fuyant l'islam, entreprenant de retrouver la lettre des textes grecs en les traduisant directement en latin.

C'est la gloire oubliée de Jacques de Venise et de l'abbaye du Mont-Saint-Michel. On ne peut nier la diversité ethnique et confessionnelle de la civilisation islamique sans méconnaître son histoire. Dans ces troubles parages, l'auteur n'est pas seul. La république des livres » Blog Archive » L’affaire Aristote, ch. Contrairement à une vulgate largement répandue, l'Occident chrétien ne doit pas la découverte et la transmission de la pensée grecque ancienne aux Arabes musulmans mais aux chrétiens d'Orient. Telle est, à gros traits, la conviction que l'on retire après avoir lu Aristote au Mont Saint-Michel. Les racines grecques de l'Europe chrétienne (282 pages, 21 euros, Seuil). La thèse n'est pas nouvelle, elle est même archaïque puisqu'à la fin du XIXème et au début du XXème, elle rencontrait un certain succès. Sauf que depuis, la recherche savante a fait des progrès. Paru au début du mois dernier, le livre a aussitôt suscité colère et indignation du côté des médiévistes.

Qu'ils tiennent pour un méchant pamphlet moins innocent qu'il n'y paraît. Ce qui lui est reproché ? Traduit l'Organon dans son intégralité. Encore qui devraient paraître dans les jours prochains du côté de Libération notamment. Les reproches dont on l'accable, l'intéressé s'en défend naturellement. P.S. Sylvain Gouguenheim : et si l'Europe ne devai.