Avec le rachat d'Alcatel par Nokia, la France perd un vrai champion numérique. Le centre de recherche d'Alcatel-Lucent à Vélizy-Villacoublay. Crédit: D.R L'acquisition d'Alcatel-Lucent par son concurrent Nokia a été actée cette nuit par le conseil d'administration de l'équipementier français. Après Thomson ou Alstom, c'est un autre géant français qui disparaît. Trop petit, pas assez investi sur les créneaux porteurs comme les réseaux mobiles, Alcatel-Lucent (ALU) va bien être racheté par le Finlandais Nokia. ALU compte 53 000 collaborateurs dans le monde, Nokia 55 000 dont 20 000 en R&D chez le premier et 16 000 chez le second. Les inquiétudes sur l’emploi en France et en Finlande ont immédiatement percé. Au sujet de l’acquisition d’ALU par Nokia, le syndicat pointe que « les activités commerciales (Sales), support, centrales (General), administratives (dont le siège) sont très menacées, puisque ce rachat […] provoquerait des doublons et, au passage, la disparition du groupe français pourtant centenaire et probablement la disparition de son siège à Paris ».
Samsung : un bénéfice trimestriel en chute de 60% ! Samsung : un bénéfice trimestriel en chute de 60% ! Déjà en recul au dernier trimestre (-25%), le chiffre d’affaires de Samsung pourrait de nouveau s’effondrer ce trimestre ! Le coréen prévoit en effet une baisse de son bénéfice opérationnel trimestriel comprise entre 57,8% à 61,8%.
Il s’établirait à 3 milliards d’euros. Malgré de fortes ventes, Samsung n’arrive pas à écouler suffisamment ses « flagship » comme le Galaxy S5 lancé en mai dernier et qui s’est vendu à 10 millions d’exemplaires au bout de 25 jours, vs l’iPhone 6 qui a connu le même succès, mais en trois jours. Les marques chinoises comme Xiaomi ou Lenovo, qui a récemment racheté Motorola, ne sont pas non plus étrangères à cette baisse, car elles n’hésitent pas à casser les prix et ainsi faire trembler le géant coréen. Source Les autres vidéos Business. Red Hat acquiert FeedHenry, spécialisée dans les apps mobiles. Le fournisseur de solutions open source Red Hat a signé un accord définitif pour acquérir FeedHenry, qui fournit une plateforme pour les développeurs d'applications mobiles.
Le montant de l'acquisition est annoncé à 82 millions de dollars. La transaction devrait être finalisée au troisième trimestre de son exercice 2015. FeedHenry doit permettre à Red Hat d’étendre son portefeuille de solutions de développement d’application, d’intégration et de Platform-as-a-Service (PaaS) permettant ainsi à Red Hat de supporter le développement d’applications mobile dans un environnement public et privé. FeedHenry permet aux entreprises d'accélérer le développement d'applications mobiles et l'intégration de backend via des clouds privés, publics et sur site.
Live Japon: qui connaît le N°1 un mondial des écrans de smartphones ? IBM va encore se délester et céder ses usines de fabrication de puces. Cisco acquiert Metacloud, opérateur de clouds OpenStack. La société Metacloud, que vient de racheter Cisco, propose les fonctionnalités d'un cloud public dans un environnement privé. (crédit : D.R.) Avec sa plateforme de cloud-as-a-service basée sur OpenStack, Metacloud propose les avantages du cloud public avec la sécurité et le contrôle du cloud privé. Cisco vient de racheter la start-up californienne dans le cadre de son projet Intercloud. Dans le cadre de sa stratégie Intercloud visant à construire un réseau mondial de clouds interopérables, Cisco vient d'annoncer le rachat de Metacloud, société californienne située à Pasadena.
Depuis l'annonce d'Intercloud en mars dernier, Cisco a enrôlé dans son projet un certain nombre de partenaires technologiques, d'acteurs des services et d'opérateurs de clouds qui s'appuient sur son architecture Cloud Services reposant sur OpenStack. Avec l'acquisition de Metacloud et de sa plateforme de cloud-as-a-service, il compte accélérer le mouvement. Metacloud pour construire des clouds hybrides. Alibaba fait sauter la banque. Alibaba fait sauter la banque Vendredi, le groupe d’e-commerce chinois Alibaba a fait son entrée à la bourse de New York et son index NYSE (New York Stock Exchange).
Le prix d’introduction de son action avait été fixé à 68 dollars, mais dès les premières heures de cotation d’Alibaba s’est envolée en affichant une hausse de 36 % à 92,70 dollars, avant de clôturer la séance à 93,80 dollars et en ayant frôlé les 100 dollars. Le groupe Alibaba s’est ainsi trouvé valorisé à près de 232 milliards de dollars, soit plus que le réseau social Facebook (environ 200 milliards de dollars) et son entrée en bourse difficile à l’époque, ou encore que son grand rival Amazon et ses 150 milliards de dollars ! Alibaba a ainsi réussi à lever un peu plus de 25 milliards de dollars, battant le record détenu jusqu’à présent par un autre groupe chinois, AGBank, qui avait levé 22,1 milliards de dollars en 2010. Source Les autres vidéos Business. Dell pourrait licencier 15 000 personnes. Dell pourrait licencier 15 000 personnes Dell doit sortir de la crise et l’inévitable plan de licenciement serait l’unique solution.
Alors que Michael Dell, le fondateur de la société, a racheté toutes ses actions, la firme pourrait se séparer de 15 000 employés pour rebondir. Selon The Register, la restructuration de Dell pourrait toucher tous les secteurs et chacun d’entre eux devraient se séparer de 15 % de leurs effectifs. Au départ, les licenciements ne devaient que toucher au service marketing. Cependant, un plan plus vaste doit être envisagé si l’entreprise veut définitivement sortir la tête de l’eau. Dell, c’est 100 000 employés à travers le monde.
Dell subit de plein fouet la chute des ventes de PC. Source Les autres vidéos Business. Cisco investit 1,35 Md$ au Mexique. [MàJ] Sony vend sa division PC VAIO qui se concentrera sur le Japon. LiveJapon : Sony arrête les PC, à quand les TV ? IBM pourrait céder sa branche semi-conducteurs. Les dépenses informatiques en hausse de 3,2% en 2014. Huawei ne pourra pas s’installer en Corée du Sud. Huawei ne pourra pas s’installer en Corée du Sud Huawei fabrique des smartphones mais est également un acteur important en ce qui concerne l’équipement télécom. Et la firme chinoise a voulu s’étendre en Corée du Sud. Néanmoins, le pays a refusé l’implantation de Huawei dans le pays. C’est le Wall Street Journal qui dévoile l’affaire. Le gouvernement coréen a tout simplement refusé que Huawei signe des contrats en tant qu’équipementier télécom dans le cadre d’un réseau gouvernemental.
La raison ? Elle n’a pas été donnée par la Corée du Sud. En effet, les Etats-Unis avaient exclus Huawei de son territoire. Pression ou pas, Huawei devra faire sans la Corée du Sud. Source Les autres vidéos Business. Top500, la Chine conserve sa suprématie dans les superordinateurs. Le Tianhe-2 chinois maintient son statut de supercalculateur le plus puissant au monde. Crédit Photo: D.R La Chine a maintenu sa place de leader dans le classement semestriel des supercalculateurs les plus puissants au monde. Cependant les Etats-Unis renforcent leur présence sur l'ensemble du palmarès. Le Tianhe-2 de l'Université nationale des Technologies de la Défense en Chine garde sa place de premier supercalculateur dans le Top 500 des systèmes les plus puissants au monde.
L'infrastructure chinoise développe 33,86 pétaflops (33,86 millions de milliards d'opérations en virgule flottante par seconde) de capacité de calcul. Il regroupe 16 000 noeuds. En deuxième position, on retrouve Titan, un système Cray XK7 installé au Laboratoire national d'Oak Ridge qui dépend du ministère américain de l'Énergie. Les Etats-Unis renforcent leur présence, l'Asie recule Si les Etats-Unis stagnent à la seconde place du classement, la présence américaine se renforce dans l'ensemble du Top 500. Qualcomm soupçonné de monopole en Chine. Brevets, circuits, processeurs... Qualcomm est devenu un acteur majeur sur le marché des terminaux mobiles... trop pour la Chine ?
La Chine enquête sur une éventuelle position monopolistique de la firme Qualcomm sur les composants pour mobiles Hier, Qualcomm a fait savoir qu'elle faisait actuellement l'objet d'une enquête de la part d'une autorité de régulation chinoise. Celle-ci veut savoir si le fabricant de puces mobiles enfreint ou non la loi antitrust du pays. Dans un communiqué, le fondeur indique qu'il coopère avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la réforme (NDRC), mais affirme ne pas avoir été informé d'une quelconque violation de la loi antimonopole chinoise. Pour l'instant, la NDRC a simplement déclaré que l'objet de son enquête était confidentiel. Récemment, la NDRC a déjà enquêté et infligé des amendes à des entreprises nationales ou étrangères pour des questions relatives aux lois antitrusts et autres.
Déjà de nombreuses plaintes contre Qualcomm. Cisco investit 1 milliard de dollars dans le Cloud. Sony prévoit 2,1 milliards de dollars de pertes à cause du mobile.