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Consommation collaborative : la course au leadership - Business. Crowdfunding, co-construction d’une réforme pour l’émergence de l’économie collaborative. A la suite des Assises de l’entrepreneuriat, le Gouvernement a décidé de travailler sur le cadre légal du financement participatif pour placer la France en « leader européen » sur ce secteur. Des premières propositions de réformes intéressantes sont envisagées, mais le cadre et le champ de ces dernières fait polémique au sein même du secteur. Une consultation publique a donc été ouverte et des recommandations ont été remises par les plateformes et l’écosystème le 15 novembre dernier. Les plateformes de crowdfunding ont ainsi travaillé sur le sujet pour formuler des recommandations adaptées au secteur. Dans un document complet, sont présentés les axes intéressants de la proposition de réforme, pour en dénoncer les limites et apporter des recommandations concrètes.

Ainsi, plusieurs axes d’amélioration de la législation sont envisagés : - Il est nécessaire de relever le seuil d’exception au régime des offres publiques réalisées via une plateforme Internet de crowdfunding. 83% des Français préfèrent l'usage à la possession. La consommation collaborative est en train de s’installer durablement dans le paysage de la consommation, mais n’est pas liée à un rejet brutal du modèle de société actuel, conclut l‘Observatoire Société et Consommation (ObSoCo), qui dévoilait ce matin les résultats de sa dernière étude.

L’Observatoire des Consommations Emergentes est l’une des premières études sérieuses qui apporte des analyses chiffrées et des enseignements clés sur les pratiques de consommations émergentes. La sémantique n’a d’ailleurs pas été choisie au hasard. Nous avons eu un débat en interne sur le qualificatif le plus approprié à ces formes de consommation. Nous avons qualifié ces pratiques d’émergentes car elles ne sont pas nécessairement nouvelles et surtout on aurait tort de les qualifier d’alternatives. – Robert Rochefort Alors de quoi parle-t-on ? La consommation change car la société est en crise. La consommation collaborative est en vogue L’émergence des nouvelles technologies Motivations économiques. L'essor de l'économie collaborative. Yooneed, une nouvelle approche des ressources humaines. L’émergence de Yooneed est fortement liée au contexte morose dans lequel nous nous situons. Pour Laurent Blanchard, le modèle qui nous a fait basculer dans une crise multiple (financière, économique, sociale, environnementale) doit être remis en cause par des propositions concrètes.

Le secteur privé n’est pas assez encadré, ce qui accentue les tensions entre possédants et précaires. A titre d’exemple, les actionnaires sont trop souvent les seuls acquéreurs des profits générés, aux dépens de la redistribution des richesses vers ceux qui la produisent, de la constitution d’un fond de réserve ou du réinvestissement dans l’entreprise. Et Laurent Blanchard a souhaité créé une entreprise sociale qui répond à quatre enjeux : remettre l’humain au cœur du projet. Remettre l’humain au cœur d’un projet social : Yooneed est une plateforme qui fait intervenir propositions et recherche de services aux particuliers : Ceux qui proposent. Un modèle qui a de l’avenir ? Une première expérimentation. Les dix sites collaboratifs qui vont changer l’économie. « Communauté », « troc », « échange de savoirs » : les sites de partage permis par le développement d’Internet bousculent les règles de l’économie. À vocation commerciale ou gratuits, vieux de quelques mois ou ayant déjà fait leurs preuves, à l’échelle locale ou mondiale, revue de web de dix sites collaboratifs prometteurs.

Echange-clés / Echange-clés – drivy.com : pour louer un véhicule auprès d’un particulier Drivy.com est le leader d’un des secteurs de l’économie collaborative qui est actuellement le plus en essor : la location de voiture entre particuliers. Le site met en relation les propriétaires de voiture qui servent peu et des personnes qui n’ont pas de véhicule. Grâce à l’assurance fournie par Drivy, les locataires peuvent louer un véhicule de leur choix disponible près de chez eux, y compris en dehors des heures ouvrées, pour des prix bien inférieurs à ceux d’une agence de location classique. Les loueurs rentabilisent leur véhicule pendant des périodes d’inutilisation. Loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique. La plate-forme de crowdfunding Wiseed s'internationalise. Crédits photo : Wiseed Wiseed fait partie des 100 start-up françaises les plus innovantes, selon le classement EBG Première plate-forme de financement participatif sur Internet créée en France, Wiseed a été fondé en 2009 à Toulouse par Thierry Merquiol et Nicolas Sérès.

En quatre ans, il a attiré 18.000 membres dont 2.000 investisseurs qui ont injecté 6 millions d'euros dans 26 start-up, dans la santé, les TIC, le développement durable, l'industrie et les services. Il investit de 50.000 à 400.000 euros par entreprise et le ticket moyen est de 2.000 euros par personne. Deux entreprises en portefeuille ont été liquidées, mais Wiseed a aussi réussi une sortie, une première dans le financement participatif. Il a revendu ses parts de la jeune pousse de biotechnologie Antabio (maladies nosocomiales) en 2012, en doublant la mise des 200 investisseurs qui avaient apporté 300.000 euros en 2010. Une levée de fonds par mois Une plate-forme en Angleterre fin 2013. L’économie collaborative entre dans le "mainstream" L’association des professionnels du marketing (ADETEM) vient d’organiser une demie journée de travail autour de l’économie collaborative, dont l’exemple le plus connu est Airbnb, la plateforme communautaire de location et de réservation de logements de particuliers.

Que les professionnels du marketing travaillent sur cette forme d’économie est le signe d’un basculement en cours, qu’il convient, compte tenu de ses potentiels, d’accompagner. L’ADETEM, l’association qui regroupe les professionnels français du marketing, vient d’organiser une demi-journée de travail autour de l’économie collaborative. C’est un signal fort : cette économie sort du statut d’utopie, entre dans le mainstream. Avec l’économie collaborative, des particuliers produisent, échangent, partagent l’usage d’un bien, voire se financent entre eux, directement.

Cette liaison directe qui permet l’échange de biens et de service favorise dans le même temps l’échange entre des personnes. AirBnB et l'économie du partage .... : une fausse bonne idée ? Pour le touriste, les interfaces des nouvelles plateformes de recherche d’un logement font rêver : aller sur AirBnB, HouseTrip ou Wimdu ne vous procure pas la même expérience que d’aller sur Booking.com.

Les deux types de plateformes semblent faire, pour des raisons diverses, le bonheur des clients et sont détestées par les hôteliers. Dans cet article, je m’interroge sur l’émergence de ces plateformes dites de “consommation collaborative” et des locations d’hébergements via ces plateformes. Sur InternetActu.net, samedi 2 février 2013, un article intéressant sur les conséquences et dommages collatéraux des plateformes collaboratives, nouveau phénomène Internet : AirBnB, HouseTrip et Wimdu, est-ce ces plateformes représentent une véritable rupture, manifestations d’un vaste mouvement de l’économie de l’échange et de la confiance, ou s’agit-il d’une fausse bonne idée, venant des entreprises néolibérales ?

Les hôtels : mais où est passé le petit hôtel familier du village ? La régulation de l’économie collaborative en question. En septembre, rapporte Ron Lieber pour le New York Times, Nigel Warren a loué la chambre qu’il occupe dans son appartement à New York sur Airbnb pour 100 $ la nuit. Mais à son retour quel ne fut pas sa surprise d’être convoqué par son propriétaire et les agents de la ville de New York pour avoir enfreint plusieurs interdictions et se retrouver condamné pour plus de 40 000 $ d’amendes ! En effet, les lois locales ou votre contrat de location peuvent interdire la sous-location voir la location de courte durée.

A New York, par exemple, vous ne pouvez pas louer d’appartements ou de chambres pour moins de 30 jours, sauf si vous vivez dans les locaux en même temps. Des lois plus restrictives existent encore à San Francisco ou à la Nouvelle-Orléans, mais également à Paris ou Londres. L’économie collaborative dans la tourmente Uber est une autre start-up de l’économie collaborative dans la tourmente actuellement, rapporte Brian Chen pour le New York Times. Hubert Guillaud. Avec Uber, les particuliers peuvent désormais jouer au taxi. La start-up californienne de voitures privées avec chauffeur (VTC) lance ce mercredi UberPOP, une application qui permet à des particuliers de s'improviser taxis sur des trajets courts dans Paris et sa proche banlieue. Les taxis sont à nouveau menacés dans leurs prérogatives, sous les coups de boutoir d'Uber qui poursuit la diversification de son offre de transport urbain.

Après avoir lancé une version low-cost, UberX, la start-up californienne lance aujourd'hui un nouveau service de covoiturage urbain, baptisé UberPOP. Cette fonctionnalité, intégrée dans l'application mobile d'Uber, permettra à tout conducteur de s'improviser «taxi» au volant de son véhicule personnel. Localisés en temps réel, ils pourront être contactés par les usagers pour des trajets urbains dans Paris et sa proche banlieue. Contrairement aux autres applications de covoiturage urbain, il y aura un prix minimum pour la course, fixé à 4 euros. L'initiative d'Uber pourrait aussi se mettre les acteurs du VTC à dos. Avec Uber, les particuliers peuvent désormais jouer au taxi. Comment Uber bouscule le transport urbain. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Julien Dupont-Calbo C'est un numéro très efficace pour épater les copains ou les copines. Faire venir une voiture avec un chauffeur en livrée en moins de cinq minutes, le tout d'un simple glissement de doigt sur son smartphone.

Ce service bling-bling est proposé par une start-up américaine baptisée Uber. Moins de quatre ans après sa création à San Francisco, cette société californienne est devenue la nouvelle coqueluche de la Silicon Valley. Son PDG et cofondateur, Travis Kalanick, compte parmi ses investisseurs la banque Goldman Sachs, le géant d'Internet Google ou Jeff Bezos, le fondateur d'Amazon. Uber, c'est la puissance du numérique qui débarque dans un secteur qui n'est pas forcément à la page, celui des transports de personnes.

Ne dites surtout pas aux dirigeants d'Uber qu'ils font du taxi ! La consommation collaborative gagne du terrain en France. Revendre son canapé sur Internet, acheter un nouveau sac en vide-grenier, partir en vacances en covoiturage et dans un appartement échangé avec un particulier… : des comportements jusqu'à il y a quelques temps assez « marginaux », mais qui deviennent de plus en plus courants. Avec la crise et la généralisation d'internet, la consommation collaborative se répand : elle est désormais pratiquée de manière régulière par 48 % des Français, alors que 32% songent à s'y mettre, selon les résultats d'une étude publiée jeudi par l'Observatoire de la confiance du groupe La Poste. Les réfractaires ne sont plus que 20%. Les plus enthousiastes sont les femmes, les personnes de moins de 50 ans, les adeptes des réseaux sociaux… mais aussi les familles nombreuses et les membres d'associations.

Véhicule d'optimisme La pratique semble destinée à se développer et pourrait même dessiner un nouveau modèle économique, selon l'Observatoire de la confiance. Villeneuve-sur-Lot : la ville en pilote sur un réseau social écolo. Rancis Karolewicz est parti d’un constat : « 80 % des interactions humaines se font dans un rayon d’environ 20 kilomètres autour du domicile. » Ces interactions comprennent donc aussi le domaine économique et l’engagement associatif. « Développer une économie collaborative doit donc d’abord se réussir au niveau local », d’après ce spécialiste du développement durable qui a longtemps travaillé dans les ressources humaines, avant de se lancer dans le domaine du mieux vivre ensemble.

Un site depuis deux mois Après la théorie est venue la pratique. Depuis environ deux mois, Francis Karolewicz a rendu efficient un site Internet, plateforme d’échanges économiques, réseau social associatif et engagement économique et solidaire. monecocity.fr est « un outil pour structurer une communauté », explique son créateur. . « J’ai pu rencontrer des personnes volontaires et mobilisées pour le pilotage d’une plateforme locale en totale autonomie. » Villeneuve-sur-Lot en pilote www.monecocity.fr. Economie collaborative : où démarre la concurrence déloyale ? - Business. A quoi ressemble le consommateur collaboratif ? Nous & Co : Nantes se lance dans le tout collaboratif |

La consommation collaborative, une affaire exclusivement en ligne ? Pas si sûr : qu’on loue un appartement, une perceuse ou une voiture, il faut bien se rencontrer « en vrai » à un moment ou un autre. Et comme 80 % des échanges entre personnes ont lieu dans un rayon de 20 kilomètres autour de leur domicile, la ville et ses environs pourraient bien être l’échelle naturelle pour les pratiques collaboratives. C’est en tout cas le pari que fait Nous & Co, une nouvelle plateforme qui se lance officiellement aujourd’hui sur l’agglomération nantaise. Rencontre avec Gaëlle le Rézollier, co-fondatrice de l’association. La plupart des plateformes de consommation collaborative se concentrent sur un type de services en particulier (covoiturage, jobbing, etc.).

Sur Nous & Co, on trouve de tout. Pourquoi ce parti pris ? Nous sommes partis d’un constat simple : quand on habite Nantes ou ses environs, les grandes plateformes nationales et internationales sont assez peu fournies en annonces ! MonECOCITY - Article. Je suis Francis Karolewicz, fondateur de la plateforme monECOCITY et concepteur du modèle territorial d'Economie Sociale et Solidaire sous tendu par notre démarche. Economiste et humaniste, j'agis depuis plus de 30 ans auprès des entreprises dans le développement des ressources humaines durables.

J'ai publié de nombreux articles et livres mettant en exergue le potentiel humain, l'apprentissage par l'expérience, les lois du vivant, la co-responsabilité, la créativité, l'autonomie, le courage... monECOCITY représente l'aboutissement d'une longue réflexion et le désir profond de proposer un modèle, une méthode, une approche concréte profondément humaine et ancrée sur notre réalité. Chacun d'entre vous pourra devenir l'un des acteurs de son développement et de sa perennité. Les crises actuelles nous questionnent sur notre responsabilité en tant que citoyen, consommateur et parent. Ensemble, nous pouvons donc mieux vivre, même avec moins, mais autrement. Nos objectifs Nos Postulats.