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Restos miam

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Mes cantines asiatiques de Belleville | La Soif du Miam - L'Express Styles. Autant être franche, ce fief parisien me rend gaga, un peu comme Amélie Poulain et son ++***[+ « & de Montmartre. Heureusement, bien moins de touristes y grouillent. Nouvel an chinois (ou Têt, au Vietnam, je me permets de le préciser en bonne compatriote) oblige, je vous livre mon carnet d’adresses. Toutes ont en commun des prix défiant toute concurrence (grand maximum de 20 euros par tête de pipe), un décor kitschouille, une qualité constante. A condition d’y choisir les bons mets. - Le Rouleau de Printemps 42 rue de Tourtille. . - Bonjour Pâtisserie, 17 rue de Belleville. . - Chez Wenzhou, 24 rue de Belleville. . - Le Pacifique, 35 rue de Belleville. . - Le Cok Ming, 39 rue de Belleville. La première fois, choisissez-y: le canard laqué avec du riz blanc.

De l’autre côté du carrefour… - Le Da Lat, 120 rue Fbg du Temple. Un peu plus loin… Le New Nioulaville, 32-34 rue de l’Orillon. La si chatoyante rue du graff Dénoyez. Et mes deux Vietnamiens préférés, juste derrière le Rouleau de Printemps: Higuma. Une de nos cantine favorite lorsque l’on est en vadrouille à Paris c’est Higuma: restaurant japonais 32bis, rue Saint Anne, authentique, bon marché et délicieux. La semaine dernière encore Clo et moi, accompagnées d’une troisième comparse, avons traversé Paris à pied, by night, pour aller dîner chez Higuma et on s’est dit qu’il fallait partager cette bonne adresse.

Ici pas de sushi mais des soupes (lamen), des raviolis vapeur/grillés, et des nouilles sautées.Pour environ 12 euros par personne (entrée + plat) on est servi très vite et il ne vient à personne l’idée de réclamer un dessert tellement les portions sont copieuses. Tous les plats sont fait sous les yeux des clients par une armées de marmitons japonais afférés. Attention c’est vraiment une cantine, la déco est rustique et le service sans amabilité excessive… et quand vous avez avalé votre dernière bouchée, on vous fait comprendre gentillement que, là, il va falloir y aller. Vous aimerez peut-être aussi : Brunch. Restaurant Le Club des 5 Paris. Brunch Paris. Merce and the Muse - Un Coffee Shop New-yorkais à Paris. Et toque ! - Lexpress Styles. « Alain Passard : dieu vivant ?

» C’est la question que je posais en novembre 2011 dans une enquête que je consacrais au chef de l’Arpège. Un peu exagérée, la question ? Voyez l’hystérie que déclenche ce grand manitou des faitouts chez les serial-gourmets : certains se vantent de s’être attablés chez lui plus de 300 fois ! Et observez le bonhomme dans tout son charisme : le chef rôtisseur, le virtuose du légume, le gentleman-farmer, le joueur de saxophone, l’artiste-colleur, le héros de bande dessinée (En cuisine avec Alain Passard de Christophe Blain, aperçu en anglais dans les librairies de Londres), sans oublier le passeur : parmi ses anciens élèves, Pascal Barbot, Betrand Grébaut, Mauro Colagreco et David Toutain ne sont pas les derniers à saluer « l’inspiration », « le magnétisme » et « l’élégance » de leur maître d’apprentissage.

Au risque de monter d’un cran dans l’idolâtrie, je vous raconte mon éblouissante expédition rue de Varenne par une journée d’hiver au beau fixe.