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Critique des médias

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L’ironie, cette figure de style si traitresse… Ok.

L’ironie, cette figure de style si traitresse…

Rien de neuf. Ca leur arrive assez souvent. Par contre, ce qui est devient complètement foufou dans l’histoire c’est la quantité de commentaires (là, 1141) que ce simple texte a provoqué depuis lundi dernier. Là, vous allez me dire “putain, les gens sont trop cons, ils y ont vraiment cru ?” En fait, c’est un peu plus compliqué et intéressant que ça.

Sur trois commentaires à la suite, on peut parier sur l’incrédulité naïve d’Oriane. « Ah non, moi j’y crois pas ». Ce qui rajoute encore une couche dans le bordel, ce sont les commentaires comme celui de jen. Du coup sur la totalité des commentaires, il faut regarder assez attentivement pour faire la part de ceux qui sont au premier degré et ceux qui sont ironiques. Spicopate 11/06/2013 C’est du grand n’importe quoi ! Pffffff !!! Ou Jason Beaulieu 11/06/2013 Mon Dieu!! Ps : honte a tous les moqueurs – j’aimerais bien que ca arrive a votre famille et vous feriez moins les rigoleurs Qui entraine comme réponse : Ali 11/06/2013 Omg .. Aimé Suivi de : L’attentat de Boston : Chronique d’une compassion sélective. © AP photo / Metro­West Daily, Ken McGaghLundi 15 avril 2013, 14h50, heure locale.

L’attentat de Boston : Chronique d’une compassion sélective

En une frac­tion de seconde, l’atrocité abso­lue vient éclip­ser la jubi­la­tion col­lec­tive; les cris de ter­reur sup­plantent la cla­meur enjouée, en un bat­te­ment de coeur. Une pre­mière défla­gra­tion reten­tit. Puis, une deuxième. Deux bombes arti­sa­nales viennent d’exploser en pleine foule, semant le chaos à quelques mètres de l’arrivée du mara­thon de Bos­ton. D’un souffle, trois vies sont empor­tées et une cen­taine de per­sonnes bles­sées1. . © AP, Karim KadimAu final, bien qu’explicable par l’attitude des médias ainsi que cer­tains pro­ces­sus émotion­nels et cog­ni­tifs, le résul­tat n’en reste pas moins mora­le­ment indé­cent et révol­tant.

Accès de la société vicile aux médias

Les nouveaux chiens de garde (film) Les médias, y aller ou pas ? Médias français: leurs principaux actionnaires. Par pitié moins d'info sportive ! Dérangeante connivence. Hier soir, j’étais invité au grand débat d’Europe 1.

Dérangeante connivence

Il y avait autour de la table six politiciens et quatre représentants de la société civile. C’est la seconde fois que je participe à cette émission et j’ai encore une fois éprouvé une grande frustration. Les politiciens accaparent le temps de parole (très restreint quand on est dix autour d’une table), c’est leur spécialité, pour réciter leur leçon. Ces hommes sont des machines décérébrées (j’explique pourquoi plus loin). Avec condescendance, Devedjian m’a dit que je ne représentais personne. Mais ce débat de la représentativité était annexe. Le socialiste Jean-Marc Ayrault parlait d’un quota de 5% aux précédentes élections pour avoir droit de se présenter aux suivantes. Quand j’ai dit que Rachid Nekkaz avait réussi à obtenir ses signatures, Devedjian m’a dit que ce n’était pas normal que Nekkaz, qu’il ne connaissait manifestement pas, réussisse là où Le Pen échouait. . , Coup de gueule. Débattons, ou … Des bâtons « Michel saby. De l’utilité du débat … À la télévision notre président et 11 citoyens « Michel saby.

Le(s) media(s)

Critique de la critique

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