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Menagère - de 50 ans

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Filrouge.pdf (Objet application/pdf) La post-ménagère - Les fondamentaux du marketing - Société. © paul prescott - Fotolia.com A l'heure où les familles sont souvent recomposées, où les femmes travaillent dans leur grande majorité, la fameuse ménagère de moins de 50 ans, référence incontournable des publicitaires dans les années soixante, a la vie dure.

La post-ménagère - Les fondamentaux du marketing - Société

L'invention de ce terme correspondait à un moment où la femme (avec des enfants vivant encore sous son toit) travaillait peu et découvrait la publicité à la télévision. Après 50 ans, elle était censée devenir grand-mère. Ce n'est plus le cas aujourd'hui. En moyenne, selon l'Ined (Institut national des études démographiques), le premier enfant arrive à 30 ans et l'âge moyen pour être grand-parent s'est mécaniquement allongé.

«La ménagère de moins de 50 ans originelle n'existe plus, mais c'est toujours elle le coeur de la consommation », constate Rémy Oudghiri, directeur du département veille et insigts d'Ispos Public Affairs. La femme n'est (presque) plus ce qu'elle était © © paul prescott - Fotolia.com Parce qu'elles le veulent bien. Joane Adam : "La ménagère de moins de 50 ans, c'est fini !"

Ménagère digitale

Design. La post-ménagère - Les fondamentaux du marketing - Société. La ménagère de moins de 50 ans est-elle une geek ? - Dossiers. 24/02/2011 - Les mères de l'ère numérique vont-elles supplanter la fameuse ménagère de moins de 50 ans?

La ménagère de moins de 50 ans est-elle une geek ? - Dossiers

Surconsommatrices, les «digital mums» sont avides d'échanges sur Internet, aussi bien sur leur vie intime que sur leurs achats. Ce sont les nouvelles chouchoutes des annonceurs. Elles ont été les premières à investir le Web. «Aux débuts d'Internet, les mères de famille étaient déjà les plus actives sur la Toile. Elles se sont approprié le média très rapidement et très naturellement», rappelle Amalric Poncet, directeur digital et Internet du groupe Marie Claire. L'une des pionnières, Anne-Sophie Pastel, créatrice en 1999 d'Aufeminin.com faisait, elle aussi partie des «digital mums» avant l'heure.

De manière générale, ces mères de famille sont surconsommatrices de contenus éditoriaux consacrés à la maternité. Chiffres ménagère + applications. Après la ménagère de moins de 50 ans, voici la "Digital Mum" "La 'ménagère de moins de 50 ans' a fait son temps" Le 7 décembre prochain se tiendra à l’Assemblée nationale un débat sur "l’image des femmes dans les médias" organisé par les services de Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités et de la cohésion sociale.

"La 'ménagère de moins de 50 ans' a fait son temps"

Brigitte Grésy (IGAS) remettra à cette occasion son rapport sur l’un des volets de la charte pour l’amélioration de l’image de la femme dans les médias, signée début 2011 par un grand nombre de journaux, radios et télévisions: l’engagement de recourir à un plus grand nombre de femmes expertes dans les domaines habituellement réservés aux hommes (économie, finance, stratégie internationale…). Directeur délégué de NRJ Group, Maryam Salehi souhaite pour sa part lancer le débat sur un autre sujet directement lié à l’image de la femme dans les médias: le concept de "ménagère de moins de 50 ans" toujours en vigueur dans la conception des campagnes publicitaires audiovisuelles.

Audiences : qui sont les ménagères de moins de 50 ans et les CSP+ ? Comment les 3,5 milliards d'euros d'investissements publicitaires se partagent-ils entre les chaînes de télévision en France ?

Audiences : qui sont les ménagères de moins de 50 ans et les CSP+ ?

En fonction de l'audience de celles-ci bien sûr, et plus particulièrement en fonction de cibles préalablement définies par les annonceurs... Comment les 3,5 milliards d'euros d'investissements publicitaires se partagent-ils entre les chaînes de télévision en France ? Analyses de fond et études Médiamétrie sur les usages et l'audience des médias auduiovisuels et interactifs, ainsi que les comportements du public à leur égard.

La traditionnelle cible des « ménagères » a-t-elle un comportement différent dès lors qu’elle se connecte assidûment à Internet ? C’est ce qu’a voulu savoir Médiamétrie en isolant dans son enquête de comportement « Media in Life », la « ménagère numérique », définie comme une femme de moins de 50 ans, responsable des achats du foyer, et qui se connecte au moins une fois par semaine à Internet. D’après Media in Life, ces « femmes connectées » se rendent sur Internet tous les jours pour la grande partie d’entre elles : plus de 78% contre 65 % pour la ménagère « classique » et 56 % pour l’ensemble de la population. Des femmes plus actives que la moyenne Pour elles, connexion et hyperactivité semblent aller de pair. En effet, plus que d’autres, les femmes connectées sont en contact avec des activités professionnelles ou de formation (13,1 contacts par jour contre 11 pour l’ensemble de la population et 9,5 pour l’ensemble des femmes).

Des femmes hyperconnectées ... souvent associée à Internet.