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Projet "Non-violence"

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359007 colloquenonviolence 191109. Café Non violent Animé par Agnès Bussat de l’IFMAN. Ateliers La régulation non-violente des conflits pose des questions concrètes et fait appel à des méthodes et outils pratiques, mais elle s’appuie aussi sur une conception philosophique de l’humain qui nécessite d’être ré-interrogée régulièrement : quelles sont les limites de la non-violence ?

Café Non violent Animé par Agnès Bussat de l’IFMAN

Comment une théorie (une utopie ? …) peut elle nous aider à faire face aux situations concrètes, ou au contraire nous déconnecter de la réalité ? … Réfléchir avant d’agir apparait comme une évidence, mais, à notre époque ou l’immédiateté et la vitesse sont privilégiées, combien de temps consacrons-nous à clarifier le sens de nos relations, à réfléchir à nos modes de communication ? Definition non violence.

Fondation de Corse - Associu pè una Fundazione di Corsica - AFC Umani. La non-violence en bref - Centre pour l'action non-violente (CENAC) La non-violence, c'est d'abord le respect de soi et d'autrui.

La non-violence en bref - Centre pour l'action non-violente (CENAC)

Elle peut se résumer par la formule: «Ni hérisson, ni paillasson!» Ne pas blesser, ne pas se laisser piétiner. La non-violence refuse la violence : la mienne et celle dont je suis témoin. Au contraire du système «gagnant-perdant» qui prévaut dans nos sociétés, la non-violence privilégie le système «gagnant-gagnant». L'action peut être individuelle ou collective. En faisant face au conflit et en refusant la légitimité accordée à la violence ou en dénonçant ses causes, la non-violence s'oppose à la lâcheté.

La non-violence est d'abord une attitude. Gandhi (pour libérer l'Inde de la colonisation britannique), Martin Luther King (pour les droits civiques des Noirs aux USA) ou la Dame de Rangoon Aung San Suu Kyi (pour la démocratie en Birmanie) sont des figures de la non-violence. . © Non-violence Actualité (NVA) Avoir une attitude non-violente, c'est possible! La non-violence est-elle possible. Faut-il choisir entre Gandhi et Lénine pour obtenir la libération d’un peuple opprimé ?

La non-violence est-elle possible

Dans sa Théorie de la violence, le philosophe marxiste George Labica soutenait que les anciennes distinctions entre violence légitime et violence illégitime avaient été durablement perverties par la centralité du terrorisme dans nos systèmes de représentation de la guerre contemporaine. Il dénonçait alors la célébration mièvre et systématique de la paix, symbolisée par des prix Nobel iniques, et l’exhortation unanime à « civiliser les mœurs ». L’insupportable colonialisme moderne rendait selon lui impossible une théorie de la non-violence. Pourtant, il faut se souvenir que la non-violence n’est pas un refus du conflit. Le philosophe marxiste pèche sans doute par manichéisme : une troisième voie a bel et bien existé entre Gandhi et Lénine. Aux sources de la non-violence, les lectures de Gandhi Gandhi, 1906 - (cc)wikipedia (cc)Paul M. Martin Luther King, l’agapè du peuple noir Mandela, de Fanon à Gandhi.

Mouvement pour une Alternative Non-violente.