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Elections américaines

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Comment expliquer les élections américaines aux élèves ? Les résultats des élections américaines viennent de tomber. Comment en parler en classe ? Sélection de ressources. Hillary Clinton et Donald Trump © Gage Skidmore & Michael Vadon C’est désormais officiel : Donald Trump sera le 45e président des Etats-Unis. Comment expliquer à ses élèves le processus des élections américaines, très différent du système français ? Primaire 1jour1actu publie des ressources vidéos et audios sur les élections américaines, destinées aux enfants de 8 à 12 ans. Le P’tit Libé, site internet pédagogique pour les 7-12 ans, propose également une page consacrée aux élections américaines.

Secondaire Time for kids propose une vidéo en anglais, créée par l’ambassade américaine à Londres, pour expliquer les primaires américaines aux enfants, avec un vocabulaire simple. Sur le site Scholastic, les enseignants d’anglais peuvent retrouver une liste de vocabulaire spéciale élections. Elsa Doladille. Libération.fr – Le P'tit Libé - L'élection américaine. Election américaine : davantage qu’un raz-de-marée de Trump, un naufrage de Clinton. La candidate démocrate, Hillary Clinton, a réuni près de 6 millions de voix de moins que Barack Obama en 2012.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Maxime Vaudano Lors de l’élection du 8 novembre 2016, Donald Trump a perdu plus d’un million de voix par rapport au candidat républicain Mitt Romney en 2012. Mais Hillary Clinton semble avoir davantage pâti de la réduction du corps électoral et de l’augmentation de l’abstention, en perdant près de 6 millions de voix par rapport à Barack Obama il y a quatre ans.

Lire aussi : Election américaine : une participation en baisse par rapport aux « années Obama » États-Unis. Trump président ou le triomphe de la misogynie. Lors des élections du 8 novembre, plus de la moitié des femmes blanches ont voté pour Donald Trump. Pourtant, soulignent de nombreux médias américains, le milliardaire promet de s’attaquer à plusieurs avancées du droit des femmes. Offre spéciale Élections Américaines “Les misogynes ne posent aucun problème aux Américains.

Les femmes au pouvoir, si.” Voici comment la journaliste de Fusion Nona Willis Aronowitz résume les choses après l’élection de Donald Trump. Le New York Times rappelle que, d’après des sondages de sortie des urnes, “plus de la moitié des femmes blanches ayant voté le 8 novembre ont donné leur voix à Donald Trump”. “Félicitations, les États-Unis !

Retour sur le droit à l’avortement “Donald Trump est sur le point de déclarer la guerre au corps des femmes”, titre Gizmodo, tandis que Mashable explique que la présidence à venir “menace de détruire plusieurs années de progrès” pour le droit des femmes. De bonnes nouvelles malgré tout. Comment la victoire de Trump a-t-elle pu échapper aux sondages et aux médias ? La plupart des observateurs étaient catégoriques, ou presque : Hillary Clinton allait être élue présidente des Etats-Unis le mardi 8 novembre. Et pourtant, c’est bien Donald Trump qui l’a emporté, avec une large avance qui plus est. Comment expliquer l’erreur des observateurs, aussi bien du côté des sondeurs que des médias, en grande majorité incapables d’anticiper un tel scénario ?

Tentative d’explications. Un mode de scrutin particulier Pour la présidentielle française, le candidat élu doit remporter la majorité des suffrages face à son adversaire du second tour. Cette spécificité complique l’analyse préélectorale, puisqu’il faut prendre le pouls de l’opinion Etat par Etat et pas seulement au niveau du pays. Lire aussi Les grands électeurs aux Etats-Unis, comment ça marche ? Des sondages nationaux dans l’erreur La plupart des sondages nationaux publiés avant l’élection donnaient Hillary Clinton en tête avec deux, trois voire quatre points d’avance sur Donald Trump. 1. 2. 3. 4. 5.

Donald Trump président : les dates importantes à venir jusqu'à l'investiture. Le futur locataire de la Maison-Blanche va devoir patienter jusqu'au 20 janvier prochain pour être officiellement investi. En attendant sa prise de fonction, il va devoir passer plusieurs étapes. ● 2 mois de transition pour Donald Trump Donald Trump a été désigné mercredi comme le 45ème président des Etats-Unis. Mais il ne l'est pas encore tout à fait: c'est en réalité une période de transition de deux mois qui s'ouvre, pendant laquelle le pays va avoir deux chefs d'État à la fois. Barack Obama, le président en exercice - traditionnellement appelé «Lame duck», ou «Canard boiteux» en français - et Donald Trump, le «President elect» qui devra attendre son investiture en janvier prochain pour prendre officiellement ses fonctions.

. ● 73 jours pour nommer ses ministres et fonctionnaires Durant cette période, Donald Trump va devoir annoncer quels seront ses ministres et les 4.000 hauts fonctionnaires qui l'entoureront. . ● 12 décembre: vote des grands électeurs ● 20 janvier: cérémonie d'investiture. Donald Trump, nouveau président des États-Unis.

Elections américaines : comment se répartissent les Etats entre démocrates et républicains depuis 1964 ? Ils sont 538, ils choisissent le président, et il arrive même qu’ils ne soient pas représentés proportionnellement au vote populaire. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Breteau Ils sont de 3 à 55 selon les Etats, ils sont choisis tous les quatre ans par les citoyens américains, et dans 49 cas sur 51, ils sont tous attribués au candidat arrivé en tête dans l’Etat en question. Et à la fin, il en faut 270 pour obtenir le droit de loger quatre ans à la Maison Blanche. Les 538 grands électeurs sont régulièrement re-répartis entre les Etats selon les mouvements de population et selon les recensements, grosso modo tous les huit à douze ans.

Entre 1964 et 2016, la Californie est passée de 40 à 55 ; la Floride a vu son poids plus que doubler, passant de 14 à 29 ; d’autres comme l’Etat de New York perdent en influence, l’« Empire State » en a perdu un tiers en cinquante ans. Lire le décryptage : Les grands électeurs, comment ça marche ? Plongée dans l’Amérique de Donald Trump.

Pendant plus d’un an, nos reporters ont sillonné les Etats-Unis pour glaner la parole des électeurs et raconter la colère qui s’est finalement exprimée dans les urnes, mardi. Qui sont les électeurs de Donald Trump ? Qu’est-ce qui les a séduits chez le candidat républicain devenu depuis mardi 8 novembre le 45e président des Etats-Unis ? Pendant de longs mois, nos reporters ont sillonné les routes des Etats-Unis, du Texas à la Floride en passant par l’Ohio et le Wisconsin pour raconter cette Amérique qui croit en Donald Trump. Leurs reportages dressent en creux les motivations de ces électeurs, majoritaires mardi soir. A Dallas (Texas) : « Lui au moins, il a des couilles » A l’époque on les scrute encore avec curiosité.

Lire aussi : Ces Américains qui s’enflamment pour Donald Trump Quelques semaines auparavant, Gilles Paris avait raconté le meeting du candidat républicain à Dallas où les personnes décidées à soutenir Trump cohabitaient avec les indécis. Juillet. . « Il a su parler aux gens. Election américaine : à Washington, la transition a déjà commencé. Alors que, pendant des mois, il n’a cessé de stigmatiser la vulgarité et l’amateurisme de Trump, Obama fait le choix de la conciliation avec son successeur à la Maison Blanche. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gilles Paris (Washington, correspondant) Barack Obama a deux rendez-vous à son agenda, jeudi 10 novembre. Dans l’après-midi, il recevra l’équipe des Cavaliers de Cleveland, afin de la féliciter pour son premier titre de la NBA, la principale ligue nord-américaine de basket-ball. Plus tôt dans la matinée, il devra sacrifier à un rite devenu autrement moins agréable du fait de l’issue de l’élection présidentielle : la réception de son successeur, le républicain Donald Trump.

Le magnat de l’immobilier ne se rendra pas seul au 1600 Pennsylvania Avenue, à deux pas de l’hôtel de luxe qu’il a ouvert récemment. Il sera accompagné de sa femme Melania, remarquablement discrète pendant la campagne et qui s’apprête, elle, à succéder à Michelle Obama comme First Lady. « Plafond de verre » M. Diaporama. La victoire de Trump vue par les dessinateurs. D'où vient Trump ? Parce que l’incompréhension est encore la pire des choses, voici une petite sélection de textes et d’articles, beaucoup parus dans la presse anglo-saxonne, qui permettent d’éclairer le vote Trump, en le replaçant dans un contexte historique, et dans des dynamiques plus larges.

Non, Trump n’est pas un clown, et ce sont des courants profonds de la société américaine qui l’ont porté au pouvoir. Donald Trump après l’annonce de sa candidature à l’investiture à New-York, le 16 juin 2015 - KENA BETANCUR/AFP Qui a voté Trump ? Paul Krugman : « Ce pays que nous ne connaissons pas » Au milieu de la nuit, l’économiste et éditorialiste du New York Times prend acte de la fracture profonde entre le monde qu’il connaît (« et qui est probablement celui de la plupart des lecteurs du New York Times ») et celui qui a voté Trump.

Qui a voté Trump et pourquoi ? Quelques chiffres qui dressent un portrait plus nuancé de l’électorat de Trump. Dynamique de classe : les white trash ont bon dos (La Vie des Idées)