La maison Hennessy lance un deuxième prix littéraire. La maison Hennessy annonce vendredi 23 octobre la création du Prix Hennessy du Livre dont la littérature est l’héroïne.
Ce nouveau prix littéraire rejoint l’historique Prix Hennessy du journalisme littéraire et est composé du même jury. Il est aussi doté de la même somme, à savoir 10000 euros. Il couronnera des ouvrages parus entre septembre de l'année précédente et septembre de l'année en cours et souhaite "célébrer la littérature et en transmettre la passion". Le prix Hennessy du livre récompensera un livre qui parle de livres... Jusqu’ici, le prix Hennessy avait la bonne idée de récompenser, chaque année, un journaliste littéraire « pour la qualité de son travail ».
Il continue à le faire, en invoquant à la fois « l’excellence et la transmission » : le 19 novembre, le prix Hennessy du Journalisme littéraire 2020 sera décerné à l’une des cinq consoeurs (les cinq sont des femmes, oui) dont les noms figurent dans la sélection ci-dessous. Un nouveau prix littéraire est né. En plus des 10 000 euros de prix, le vainqueur recevra une bouteille du célèbre cognac (c) DR Prix Hennessy 2020.m4a (1.33 Mo) Sera couronné un ouvrage "dont la littérature est l’héroïne", biographie, essai ou roman.
C’est-à-dire un livre qui donnera envie d’en savoir davantage sur un auteur ou un sujet particulier, en un mot un livre qui invitera à en lire d’autres. Le communiqué de la maison Hennessy déclare "Sa caractéristique est de célébrer la littérature et d’en transmettre la passion". Et précise également "Il marque un soutien indéfectible aux essentiels passeurs de culture et couronnera des ouvrages parus entre septembre de l’année précédente et septembre de l’année en cours". Hennessy lance un nouveau prix littéraire. Après le prix Hennessy du Journalisme Littéraire, créé en 1987, la maison de cognac inaugure cette année une nouvelle récompense.
À l’honneur ? Les textes « dont la littérature est l’héroïne ». Bien décidé à « célébrer la littérature et à en transmettre la passion », Hennessy a sélectionné cinq parutions parmi des romans, essais, oeuvres fictives ou non, biographies… Seule condition : les ouvrages devaient être parus entre septembre 2019 et septembre 2020. Pour cette grande première, la maison – qui dévoilait récemment une collaboration inédite avec l’architecte Franck Gehry – a ainsi retenu « Carnet d’adresses » de Didier Blonde, « Les Villes de papier : une vie d’Emily Dickinson » de Dominique Fortier, « L’Autre Rimbaud » de David Le Bailly, « L.A. Bibliothèque » de Suzanne Orlean et « Manifeste incertain 9 : Avec Pessoa » de Frédéric Pajak.
Création du Prix Hennessy du Livre dédié à "l’héroïne Littérature"... Didier Blonde et Marie Chaudey, lauréats des Prix Hennessy 2020... Grand reporter à l’hebdomadaire La Vie et responsable de sa rubrique livres, Marie Chaudey remporte le prix Hennessy du journalisme littéraire pour sa défense « avec conviction, sincérité, talent et humilité [de] la littérature dans les colonnes de l’hebdomadaire La Vie ».
Ekke a couvert les grands évènements, de l’accord du vendredi saint en Irlande à la campagne électorale de Barack Obama, qui ont marqué ces trente dernières années. Elle succède ainsi à Clémentine Goldszal. Prix Hennessy : Didier Blonde et Marie Chaudey, lauréats 2020... Carnet d'adresses de quelques personnages fictifs de la littérature... Les investigations romanesques de Didier Blonde : Carnet d’adresses de quelques personnages fictifs de la littérature... Sorti début mars 2020, ce livre a attendu le déconfinement sur les tables des libraires.
N’hésitez pas, emboîtez le pas à Didier Blonde qui nous propose de déambuler dans Paris, de quoi griffonner en main, à l’affût. Il observe, traque, flaire l’atmosphère des lieux : nulle victime pourtant, ni coupable. Ceux qu’il suit à la trace, ce sont en effet les personnages de roman jusque dans leur domicile. C’est sur les pas d’Arsène Lupin que Didier Blonde a commencé d’enquêter, quand il s’est rendu compte que l’une de ses planques était à quelques mètres de chez lui : il voisinait le maître des déguisements et des identités doubles sans le savoir. Où habitent d’Artagnan, Jean Valjean, Fantômas ? Réponse dans « Carnet d’adresses »... Dans son premier roman, le bien nommé « Faire le mort » (2001), Didier Blonde attribuait à son héros un numéro de téléphone, le 01 42 24 25 56, l’ancien Maillot 25-56.
C’était celui de ses parents, lorsqu’ils habitaient Neuilly, au 67 rue Charles-Laffitte, en bordure du bois de Boulogne. Après la mort de leur père, en 1999, puis de leur mère, l’année suivante, Didier Blonde, ses frères et sa sœur ont mis en vente l’appartement où ils avaient grandi, mais en faisant tout pour dissuader les éventuels acquéreurs, comme s’ils refusaient de brader leur enfance. Ils s’y retrouvaient souvent pour dîner d’huîtres et de vin blanc, dans des pièces vides, où seul subsistait, au sol, un vieux téléphone fixe avec cadran à lettres, augmenté d’un répondeur à cassette. Alors qu’il rentrait d’une de ces veillées rituelles, Blonde eut le réflexe d’appeler ce « numéro inutile ».
On décrocha. LIRE AUSSI > Le prix Renaudot essai 2015 pour Leïlah Mahi, la belle inconnue de Didier Blonde. "Carnet d'adresses de quelques personnages fictifs de la littérature" - Clara Dupont-Monod...