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Transparence Corruption & Notation

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Comment les géants de l’audit ont pris le pouvoir. Depuis novembre, le scandale du Luxleaks prend de l’ampleur, mais les principaux responsables restent dans l’ombre.

Comment les géants de l’audit ont pris le pouvoir

Des journalistes ont révélé que plus de 300 multinationales, parmi lesquelles Apple, Ikea ou Disney, avaient négocié des accords secrets avec le Luxembourg, afin de réduire drastiquement leur taux d’imposition. Ces journalistes ont eu accès à plusieurs milliers de documents confidentiels émanant des quatre plus gros cabinets d’audit de la planète : PricewaterhouseCoopers (PwC), KPMG, Ernst & Young et Deloitte. Ce sont les juristes de ces quatre géants de l’audit – au surnom de « Big Four » – qui ont rédigé les accords permettant aux multinationales d’esquiver le fisc.

Le but était d’obtenir un taux d’imposition inférieur au taux affiché par le duché luxembourgeois. Bilan, plusieurs milliards d’euros « économisés » par les multinationales, aux dépens des contribuables. Des conseils fiscaux vendus à prix d’or Combien coûtent ces mémos d’optimisation ? Pressions et lobbying.

Constats de dérives

Lutte pour la transparence. Agir contre la corruption / Fighting corruption. Agences de Notation. Notation extra-financière. Notation financière. Le “mercato” des conseillers ministériels bat son plein. Selon le recensement effectué par Acteurs publics, 118 collaborateurs de cabinets ministériels ou de l’Élysée se sont “recasés” depuis le début de l’année, avec une forte accélération en avril. Neuf sur dix étaient issus du secteur public et y sont retournés, souvent à de meilleurs postes. À l’approche de l’élection présidentielle, les “recasages” de collaborateurs de cabinets ministériels et de l’Élysée se sont accélérés. Afin d’apprécier le phénomène, Acteurs publics a recensé les départs de ces cadres très politiques du secteur public depuis le début de l’année 2012. On considère qu’au 1er janvier, les cabinets ministériels du gouvernement Fillon et de l’Élysée – à l’exclusion de l’état-major particulier du Président et du Conseil national du renseignement – comptaient 550 collaborateurs officiels.

Premier constat : en quatre mois, 118 conseillers sont officiellement déjà partis. Un mouvement surtout “public-public” Deux nominations strictement politiques Pierre Laberrondo. The Benefit Corporation: Changing the Fabric of Society. A deeper look at benefit corporations and the market for transparency they hope to create By Francesca Rheannon Part One of this series introduced a new corporate form, the benefit corporation, which could revolutionize the fundamental rules of business.

The Benefit Corporation: Changing the Fabric of Society

Now in Part Two, we examine the benefit corporation in more depth. Singlebrook Technologies: A Newly Minted Benefit Corporation Elisa Miller-Out is on a mission. For Miller-Out, becoming a benefit corporation isn’t just good for the bottom line, adding real value to a company’s brand. A benefit corporation must be dedicated to creating a material positive impact on society and the environment. Singlebrook Technology designs digital products, such as web and mobile apps, but it sees its purpose as much greater: “to use technology in innovative ways to make a positive social and environmental impact in the world,” Miller-Out told CSRwire.

As soon as the legislation passed, Singlebrook Technologies became a benefit corporation. Related: