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Handicap

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EN IMAGES. Avant-après : quatre ans de destructions en Syrie. Par Thomas Baïetto Mis à jour le , publié le Des immeubles rasés, des minarets à terre, des monuments historiques saccagés... En quatre ans, la sanglante guerre civile qui déchire la Syrie n'a pas seulement causé la mort de plus de 210 000 personnes. Depuis le 15 mars 2011, date du premier soulèvement contre le régime de Bachar Al-Assad, elle a transformé le pays en un immense champ de ruines. Francetv info revient en images sur ces dégâts, quatre ans jour pour jour après le début du conflit. Des quartiers et des villes rasés C'est vu du ciel que les dégâts sont les plus impressionnants. Les images satellites sont particulièrement impressionnantes à Hama, une ville située entre Homs et Alep. La capitale, Damas, n'est pas épargnée. Bastion des premiers mois de la révolte, la ville de Homs est assiégée pendant près de trois ans par l'armée syrienne.

Des monuments historiques dévastés Le riche patrimoine syrien n'a pas non plus été épargné. Un pays plongé dans le noir. "Chère future maman", la vidéo touchante de trisomiques à une femme enceinte. UNEA. Abandonnons les préjugés : 40 femmes handicapées nous prouvent qu’elles sont aussi resplendissantes que les autres. Dans une société où les jugements de valeur sont souvent portés sur l’apparence physique, il est parfois important de mettre à mal les préjugés. DGS partage donc avec vous cette série de photographies où des femmes handicapées sont resplendissantes, épanouies et dont le handicap n’enlève rien à leur féminité. « Être la prof avec la jambe de robot » Chacune de ces femmes véhicule une joie de vivre et le dépassement de leur handicap nous empli de courage.

Au bureau, les rédactrices admirent la bravoure de ces femmes qui continuent de vivre comme si de rien n’était et les garçons admettent volontiers que malgré leur handicap, elles sont toutes magnifiques. En France, le sujet reste encore tabou… Bien que les moeurs évoluent de sorte à ce que les handicapés soient considérés comme toute autre personne, il reste compliqué en général pour ces personnes de se sentir acceptées comme les autres. Find wheelchair accessible places. Quand les protocoles ignorent l’humain, ou histoire de la dégradation des soins fondamentaux.

Mise-à-jour du 26/06/2011 -> Santé Service : Bilan à 10 jours, et interlocuteur de qualité Écrire ces lignes m’est insupportable, tant la violence de ce que je vis depuis deux semaines m’a sérieusement ébranlé, tout ceci me replongeant dans les pires moments de ma vie, 27 ans en arrière. Mais c’est en décrivant l’épreuve, en faisant fi de ma pudeur et de ma grande discrétion que j’ai une chance d’être entendu, et éventuellement que ça serve à d’autres.

(ceux qui me connaissent peuvent sauter ces paragraphes pour aller directement plus bas à l’envers du décor) Je suis entrepreneur, âgé de 43 ans, j’ai créé ma première entreprise à l’âge de 20 ans, j’ai également tenu des postes de direction entre deux aventures entrepreneuriales, et je me consacre depuis 5 ans à ma nouvelle startup. Je travaille beaucoup, souvent jusqu’à 15 ou 16 heures par jour, souvent 7 jours sur 7. Je dévore la vie avec passion, mû par une énergie positive, constructive, et un optimisme communicatif. L’envers du décor : High-Tech : Un tétraplégique mobilise le gouvernement grâce à Twitter. Entrepreneur sur Internet, Louis van Proosdij a décrit sur son blog la rudesse des soins infirmiers censés l'aider à vivre avec son handicap. Alertés sur Twitter, des membres du gouvernement ont volé à son secours. Avec son billet de blog, Louis van Proosdij disait vouloir saisir «un certain nombre d'autorités et de politiques».

Sans imaginer peut-être qu'au terme d'une «incroyable réaction en chaîne» sur Twitter, son histoire bouleverserait les internautes et s'inviterait en à peine deux jours dans les agendas de plusieurs membres du gouvernement. Dans cet appel de détresse poignant rédigé lundi, en pleine journée de Solidarité, l'entrepreneur web de 43 ans, «tétraplégique, depuis l'âge de 16 ans, suite à un accident de sport en 1984», a donc raconté dans le détail comment l'organisme qui lui prodigue des soins infirmiers quotidiens a décidé de lui appliquer un nouveau «protocole de soins», sans concertation préalable.

«Vous allez vous y faire» «Je vais essayer de l'aider» HANDICAP.