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Matériaux utilisé

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Matériaux utilisé. L'impression 3D de silicone liquide permet de créer des outils médicaux en quelques heures. Une nouvelle méthode d’impression 3D de silicone liquide a été développée par des chercheurs de l’Université de Floride : l’utilisation de ce matériau pourrait permettre de créer des dispositifs médicaux en un temps record.

L'impression 3D de silicone liquide permet de créer des outils médicaux en quelques heures

Cette nouvelle technique améliorerait une gamme large d’outils médicaux tout en baissant leurs coûts. Le processus imprime en 3D une silicone molle pour créer des outils qui sont plus solides, moins chers, plus flexibles et enfin plus confortables que les autres dispositifs du marché. Cette opération profite d’un processus physique de « brouillage » dans lequel la viscosité d’un matériau augmente au fur et à mesure que la densité des particules augmente.

En créant des outils médicaux mous et flexibles, mais qui peuvent aussi gonfler et se contracter en réponse à certaines actions, les chercheurs peuvent fournir des solutions à de nombreux problèmes médicaux. « Une fois qu’on a réussi à faire cela, les pièces ont conservé leur forme, explique Angelini. Impression 3D en céramique sur lit de poudre. ClayXYZ : une imprimante 3D qui utilise l’argile comme matière à sculpter. Ayant déjà largement dépassé ses objectifs de financement sur Kickstarter, Clay XYZ est une imprimante 3D imaginée par l’artiste John Fray, qui utilise l’argile comme matière à sculpter.

ClayXYZ : une imprimante 3D qui utilise l’argile comme matière à sculpter

Combiner les méthodes traditionnelles et modernes Avec un volume d’impression de 210 x 220 x 180 mm, l’imprimante permet de créer toutes sortes d’objets dont plusieurs disponibles sur Thingiverse (tasses, bols, petites sculptures, etc.). Une fois l’objet imprimé, vous pourrez retravailler son design à la main pour ajouter des détails ou simplement les vernir avant un passage au four. Dotée d’un système d’extrusion qui dépose de l’argile sur un plateau, l’imprimante utilise un compresseur capable de retirer les bulles d’air de l’argile afin d’augmenter sa précision comprise entre 0,2 et 0,8 mm. Les matériaux d'impression 3D : plastiques, métaux, polyamides, résines. Certains pourraient croire que le plastique est le seul matériau utilisé dans l’impression 3D, hors un très large éventail de matières peut aujourd’hui être imprimé en 3D.

Les matériaux d'impression 3D : plastiques, métaux, polyamides, résines

Il faut savoir que chaque procédé d’impression 3D correspond en fait à un matériau bien précis. Tandis que les imprimantes 3D de type FDM (dépôt de matière fondue) fonctionnent principalement avec des filaments plastiques, les machines SLA (stéréolithographie) utilisent des résines liquides, et les systèmes à laser des poudres polymères ou métalliques. En impression 3D, on distingue 2 grandes familles de matériaux que sont les plastiques et les métaux, auxquels il faut ajouter les céramiques (silice, alumine, plâtre…) et les matières organiques (cires, tissus et cellules). Nous allons voir ici les caractéristiques et les utilisations des principaux matériaux utilisés pour imprimer en 3D. Les matériaux plastiques Le PLA est le consommable le plus couramment utilisé pour les imprimantes personnelles à dépôt de fil. Impression 3D... en chocolat. L'impression 3D peut aussi servir à créer des œuvres en chocolat.

Impression 3D... en chocolat

C'est ce que démontrent des jeunes créateurs d'entreprise qui proposent déjà les services de leur société Print-Eat. Ce qu'il faut retenir L'impression directe de formes en chocolat est à l'étude.Une impression 3D permet de réaliser des moules sur mesure pour confectionner ensuite des œuvres en chocolat.La société Print-Eat, créée par des étudiants d'Ipsa, propose ce genre de services.L'impression directe de formes en chocolat est à l'étude.Une impression 3D permet de réaliser des moules sur mesure pour confectionner ensuite des œuvres en chocolat. « Pourquoi ne pas remplacer le plastique par du chocolat dans cette imprimante 3D ?

». Lockheed Martin dépose un brevet pour imprimer des diamants. Alors que le nombre de matériaux d’impression disponibles sur le marché ne cesse de croître, la firme américaine Lockheed Martin, plus connue pour ses activités dans le domaine de l’aéronautique ou de la défense, présentait cette semaine un brevet pour le développement d’une imprimante 3D capable de produire des objets en diamant synthétique.

Lockheed Martin dépose un brevet pour imprimer des diamants

Un procédé de cuisson à haute température L’imprimante repose sur la combinaison de deux matériaux : une poudre céramique ainsi qu’un polymère dit « pré-céramique ». Ce dernier possède la propriété de se transformer en matériau céramique une fois chauffé à haute température. Le procédé décrit par Lockheed Martin débute par la déposition d’une fine couche de poudre céramique sur le plateau de l’imprimante suivi par l’extrusion d’une couche transversale de l’objet à partir du matériau polymère. Le procédé est alors répété jusqu’à obtenir la forme finale de l’objet. Finalement, le mélange est cuit à haute température afin d’être solidifié. Atropos, le robot qui permet l'impression 3D de composites de fibre de verre. Des ingénieurs de l’école Polytechnique de Milan ont récemment dévoilé Atropos, un bras robotique à 6 axes qui peut imprimer en 3D des composites de fibre de verre.

Atropos, le robot qui permet l'impression 3D de composites de fibre de verre

Inspiré de la nature, il reproduit le comportement des vers à soie et des araignées. Les ingénieurs ont utilisé le laboratoire de fabrication additive de leur école, le +LAb, afin de concevoir Atropos. L’équipe s’est beaucoup inspirée du monde naturel, notamment des araignées et des vers à soie pour recréer cette fibre de verre : Atropos imite la façon dont ils vont tisser leur toile ou cocon. La plus grande imprimante 3D métal bientôt sur le marché. L’impression 3D se développe de plus en plus en Afrique du Sud qui travaille sur des applications complexes depuis quelques années.

La plus grande imprimante 3D métal bientôt sur le marché

En 2011, un projet nommé Aeroswift et soutenu par le gouvernement a été lancé en collaboration avec Aerosud, un acteur de la fabrication additive dans le secteur aérospatial, et le Council for Scientific and Industrial Research sud africain (CSIR). Le but du projet est de construire la plus grosse et la plus rapide imprimante 3D métal qui peut créer des pièces d’avion avec de la poudre de titane.

La fabrication additive s’étend sur le marché aéronautique très rapidement et les acteurs du secteur cherchent de nouvelles solutions pour gagner en efficacité. C’est tout l’objectif du projet Aeroswift qui a conçu une toute nouvelle machine. L’équipe d’Aeroswift L’équipe sud africaine a révélé l’année dernière trois pièces en titane imprimées par la machine : l’impression a été 10 fois plus rapide que les autres machines métal disponibles.

IMAGES. L'impression 3D en verre enfin simplifiée - Sciencesetavenir.fr. Sciences et Avenir High-tech Il y a près de 5000 ans des hommes fabriquaient déjà des objets en verre dans la Mésopotamie ancienne.

IMAGES. L'impression 3D en verre enfin simplifiée - Sciencesetavenir.fr

A l'époque, il s'agissait de perles ou de baguettes opaques moulées à des fins ornementales. Depuis, les techniques de fabrication du verre n'ont cessé d'évoluer : verres transparents, couleurs, soufflage...Et aujourd'hui ce très ancien matériau est enfin adapté à une des toutes dernières innovations du XXIème siècle : l'imprimante 3D.Des scientifiques du Karlsruhe Institute of Technology (KIT), en Allemagne ont en effet mis au point une nouvelle "encre" permettant de fabriquer des objets de formes complexes et de petite taille en verre avec une imprimante 3D classique. Une avancée détaillée dans la revue Nature de cette semaine.

Ce n'est pas la première fois que des chercheurs réussissent à fabriquer des objets en verre. IMAGES.