background preloader

Mauvaises habitudes

Facebook Twitter

Sortir des mauvaises habitudes. Nous voici en Juin, où en sommes-nous de nos bonnes résolutions ? Pour ceux qui les ont atteintes : bravo ! Pour les autres, voici quelques pistes précieuses complémentaires à mes conseils de début d’année. Nous savons que plus nous répétons une action, plus nous sommes à l’aise avec sa réalisation, jusqu’à ce qu’elle entre dans notre zone de confort. En fait, en répétant une action, nous créons de nouvelles connexions cérébrales.

D’autre part, les automatismes sont régis en grande partie dans une zone du cerveau, les ganglions de base, qui participent à l’apprentissage de routines. C’est donc par la répétition que l’on stimule cette zone et ancre de nouvelles bonnes habitudes. Mais il n’y a pas que ça ! L’équipe de Wendy Wood, psychologue à l’université Duke de Durham en Caroline du Nord a mis en évidence l’importance du contexte. L’expérience de David Beal, de la même université est également intéressante. A vous de jouer maintenant et de faire l’expérience du changement de contexte ! Prenez les commandes de votre vie ! Nous vivons tous sous l’ influence de messages entendus ou transmis non verbalement dans l’enfance par des parents, des instituteurs, des membres de la famille… Ces messages ont été intégrés dans l’enfance, avec notre maturité d’enfant, comme étant des conditions nécessaires à notre bien-être, notre caractère OK, voire notre survie.

Ils se manifestent à l’age adulte par des séquences comportementales qui caractérisent chaque individu. Ils sont donc naturels et présents chez chacun de nous. Ces messages sont nommés “Drivers” en Analyse Transactionnelle. Taibi Kahler, psychologue, créateur du modèle Process Com et analyste transactionnel, a ainsi défini cinq séquences comportementales au début des années 70 : les “Drivers”. Une condition pour nous sentir OK Selon les messages retenus dans notre enfance, nous aurons donc intégré certaines des logiques suivantes : Quelques précisions sur ces Drivers Sois fort Sois parfait Fais plaisir Fais effort Dépêche-toi Comment en réduire l’influence négative ?

Positions de vie et possibilité de changement. Notions de changement et de coaching Le changement est une notion floue basée sur l’idée qu’il existe un état idéal meilleur que celui dans lequel on se trouve actuellement et qu’il faut s’efforcer d’atteindre pour accroitre son bien être. Les clients du coaching vivent dans un monde de changement perpétuel. Il est donc fréquent que les attentes par rapport au coaching soient d’accélérer ou d’approfondir le processus de changement traversé.

Au démarrage du coaching, le client peut penser que son coach “est supposé savoir” et qu’il fournit les solutions de changement. Le pouvoir de changer est-il entre les mains du client ou du coach ? Le coach est en fait un facilitateur (un catalyseur, un accompagnateur) du changement mais le pouvoir et l’action de changement sont entre les mains du client. C’est la conjonction de deux facteurs, le cadre de travail et le travail qui créé le changement. Les positions de vie en Analyse Transactionnelle Définition et évolution du concept Le but du coaching.

Arrêtez de vous saboter ! Il arrive que nous nous accrochions à des croyances… Il arrive que nous engagions toutes nos ressources dans des actions ou des comportements qui vont dans le sens de croyances que nous pensons aidantes mais qui correspondent à des décisions et situations du passé et ne sont donc pas adaptées dans le présent. Vu de l’extérieur, il semble évident que ces comportements et ces actions n’aident vraiment pas et ne permettent pas d’agir de sorte à résoudre les problèmes dans l’ici et maintenant pourtant nous ne le réalisons pas si facilement… A la découverte de l’auto-sabotage L’auto-sabotage est un ensemble d’attitudes, de comportements, d’habitudes plus ou moins conscient qui empêche la réalisation d’actions nécessaires à la résolution d’un problème. C’est finalement un mécanisme qui vise à se protéger du risque de ressentir de la douleur en cas d’échec. Il peut s’expliquer par les mécanismes cérébraux suivants : l’espèce humaine a appris, pour sa propre survie, à anticiper les dangers. 1. 2.

Vaincre la procrastination : approches psychologique et neuroscientifique | Le Blog Coaching Go. Si vous constatez que vos listes des choses à faire s’allongent, que les dossiers et mails urgents non traités s’accumulent, que vos affaires ne sont pas ordonnées efficacement, que vous repoussez des rendez-vous chez le médecin qui s’avèrent importants pour votre santé, ou des rendez-vous qui auraient un impact positif pour votre carrière… c’est probablement que vous avez une tendance à la procrastination. Le mot procrastination vient du latin “procrastinare” de “pro” (en avant) et “crastinus” (qui concerne le lendemain).

C’est une pratique consistant à remettre à plus tard certaines actions, sur lesquelles vous auriez intérêt à vous concentrer à ce moment, en général au bénéfice d’une action plus agréable ou plus confortable. C’est un mode de fonctionnement répandu, quel que soit le sujet, nos ancêtres latins en parlaient déjà… Aujourd’hui 20% des gens s’identifient comme étant des procrastinateurs chroniques. 1. Quels sont les grands types de procrastinateurs Les Dr. 2. 3. 4. 5.