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Agrégation

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Sabbar. Profecogest. L’école Classique. Dans la première partie on a abordé des idées résumées sur le concept d’organisation et les principes de coordination au sein de l’entreprise.Dans cet article on va parler en résumé de l’école classique. I-Le Contexte Conjoncturel : La révolution industrielle : 18ème siècle, Concentration des moyens de production.Le Secteur industriel : attire une main d’œuvre agricole nombreuse et mal adapté. Postulats : L’homme est un être logique et raisonnable, il est naturellement paresseux et fraudeurs, motivé uniquement par le Salaire, il exerce les tâches simples.L’E/se est un Système, fermé, rationnelle, mécaniste, la productivité est la mesure de l’efficacitéIl existe un modèle idéal d’organisation (One Best way) de Production.L’efficacité repose sur une division des tâches. A.Taylor : 1856-1930 ingénieur, fondateur de l’école classique de management (Gestion Scientifique de travail), Taylor et Fayol cherchent de dégager les règles à respecter pour gérer d’une façon optimale une entreprise.

Limite : Quelles nouveautés en management pour 2014 ? Jean-Louis Muller, directeur associé du groupe Cegos et auteur du blog « Le management dans tous ses états » nous fait l’honneur de nous livrer sa vision quant aux nouveaux modes de management. Nous l’en remercions vivement et lui ouvrons nos colonnes. Les pratiques dominantes de management sont censées répondre aux enjeux et défis que vivent les organisations aujourd’hui et probablement demain. En cette période de mutation et d’amoindrissement de la visibilité, cinq principales exacerbations produisent des effets sur la gestion des hommes. Quelles sont-elles ? Exacerbation de la guerre des prix entre des entreprises qui ne sont pas régies par les mêmes règles du jeu sociales, juridiques, environnementales et fiscales. Exacerbation de la volatilité des clients et consommateurs qui exigent des produits et services innovants dans des temps courts entre leur commande et leur livraison.

L’accentuation des méthodes d’optimisation Les pratiques en transformation Deux pratiques émergentes. Le pouvoir organisationnel ou la maîtrise des zones d'incertitude. Ce billet s’inscrit dans une série d’articles sur le pouvoir. Le premier portait sur la notion de pouvoir en général, le deuxième sur le pouvoir statutaire. Les zones d’incertitude Le pouvoir organisationnel est lié à la maîtrise de ce que Michel Crozier et Erhard Friedberg, dans leur théorie de l’acteur stratégique appellent une zone d’incertitude, c’est-à-dire une des zones qui n’est pas précisément définies et délimitées au sein de l’entreprise.

Dans toute entreprise, aussi formalisée soit-elle, il reste toujours des terres inconnues. Celui qui maîtrise, même partiellement, une zone d’incertitude, importante pour le fonctionnement de l’entreprise, est en quelque sorte irremplaçable. Il réussit alors à créer une dépendance des autres à son égard. Le pouvoir d’un collaborateur sur son manager Un jeune arrive au sein du service comptable.

Au fur et à mesure du développement de ses compétences, de sa professionnalisation, il devient de moins en moins substituable.