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Informatique

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Secteur d'activité. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un secteur d'activité économique est le regroupement des entreprises de fabrication, de commerce ou de service qui ont la même activité principale (au regard de la nomenclature d'activité économique considérée [1]. L'activité d'un secteur d'activité économique n'est pas tout à fait homogène et comprend des productions ou services secondaires qui relèveraient d'autres items de la nomenclature que celui du secteur considéré, au contraire d'une branche d'activité qui regroupe des unités de production homogènes. La classification par secteurs d'activité économique ne doit pas être confondue avec les classifications professionnelles. Les deux douzaine de grands secteurs d'activité[modifier | modifier le code] Une classification matricielle des secteurs d'activité économiques[modifier | modifier le code] On peut distinguer ; ce qui conduit à distinguer quatre grandes catégories de secteur d'activité économique : 1. 2. 3. 4.

Portail de l’économie. Société de services en ingénierie informatique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Anciennement appelé SSII[1] ou société de services en ingénierie informatique (SSII ou SS2I), une entreprise de services du numérique (ESN) est une société de services numérique spécialisée en génie informatique. Elle se caractérise par ses compétences techniques de maîtrise d'œuvre. Elle se distingue du métier d'éditeur de logiciel et de celui de la sociétés de conseil en technologie spécialisée en maîtrise d'ouvrage, ces trois activités formant le secteur des activités informatiques.

Évolution du concept[modifier | modifier le code] L’appellation « SSII » a succédé au début des années 1980 à celle de « SSCI » (société de services et de conseils en informatique). Les SSII ont élargi leur gamme d'activités et le terme « ingénierie » remplace le terme « conseil » jugé à l'époque comme trop associé à de petits cabinets. En 2013, le Syntec Numérique a changé le nom des SSII, pour entreprises de services du numérique (ESN)[3] . - 2009 et 2010[9] : Sites pour télécharger des ebook / download french romance ebook. Altair 8800. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Intérieur de l'Altair 8800b L’Altair 8800 du constructeur américain MITS est un micro-ordinateur basé sur le microprocesseur Intel 8080 et vendu en kit électronique à quelques milliers d'exemplaires pour les particuliers en 1975.

Il est considéré comme l'un des premiers micro-ordinateurs vendu aux particuliers, de la gamme des ancêtres des compatible PC [note 1]. Il est le concurrent direct de l'Apple I de Steve Jobs et Steve Wozniak. Bill Gates et Paul Allen écrivent leur premier logiciel Altair Basic pour ce micro ordinateur et créent pour l'occasion leur société Microsoft. Cet ordinateur demandait des manipulations inconnues aux utilisateurs des ordinateurs modernes. Historique[modifier | modifier le code] Une fois la version au point en octobre 1975, Paul Allen s'envole pour Albuquerque pour y rencontrer son client et lui faire une démonstration de leur Altair BASIC avec succès. Dans les arts[modifier | modifier le code] Notes Références. Usenet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Diagramme de quelques serveurs et clients Usenet. Les points bleus, verts et rouges sur les serveurs représentent les groupes qu'ils transportent.

Les flèches entre les serveurs indiquent qu'ils partagent leurs articles à partir des groupes. Les flèches entre les ordinateurs et les serveurs indiquent que l'utilisateur est abonné à un certain groupe, et ainsi envoie et reçoit des articles vers et depuis ce serveur. Usenet est également accessible par le Web par des interfaces (web2news) dont la plus connue est Google Groupes. Habituellement, l'usage en lecture ou écriture a lieu via un logiciel dit « lecteur de nouvelles » (newsreader en anglais). Fonctionnement général[modifier | modifier le code] Lorsqu'un utilisateur envoie un article sur un serveur Usenet, celui-ci le propage à tous les autres serveurs avec qui il a conclu des accords d'échange d'articles (feeding, littéralement, « alimentation »), et ainsi de suite.

Champ: valeur La syntaxe. Forum (informatique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Forum. On regroupe maintenant sous ce thème Usenet qui existait déjà avant l'apparition d'Internet, et les forums Web qui ont accompagné le développement du Web dynamique. On peut aussi considérer les listes de diffusions - qui sont composées d'e-mails - comme étant des forums. Ce lieu de rencontres et d'échanges qu'est le forum Internet peut être un site web à part entière, ou simplement un de ses composants. Il offre les mêmes possibilités de discussion que les forums Usenet, mais sous la forme et à l'échelle d'un site Web. Ils sont accessibles via un navigateur Web, et offrent une interactivité intéressante. Un forum est avant tout un site d'échange, par le biais de messages, que ceux-là soient disponibles sur Internet ou bien sur un réseau informatique interne comme un intranet ou encore un extranet.

MP : message privéPost : message sur le forumTopic : sujetPO : Posteur Originel. Messagerie instantanée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La messagerie instantanée, le dialogue en ligne (ou le clavardage, québécisme[1], également désignée par chat, anglicisme, francisé en tchat, « bavardage »), permet l’échange instantané de messages textuels et de fichiers entre plusieurs personnes par l'intermédiaire d'ordinateurs connectés au même réseau informatique, et plus communément celui d’Internet. Contrairement au courrier électronique, ce moyen de communication permet de conduire un dialogue interactif. Synonymes et francisation[modifier | modifier le code] L’Office québécois de la langue française a proposé, en , le mot-valise clavardage formé de « clavier » et de « bavardage », entré dans le Petit Larousse 2004.

Ce terme est d’ailleurs le seul synonyme francophone pour désigner la messagerie instantanée au Québec. Toutefois, les termes « bavardage-clavier » et « cyberbavardage » (également proposés par l’OQLF), ainsi que « bavardage en ligne », sont des synonymes acceptés[3]. Compilation à la volée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans le domaine de la programmation informatique, la compilation à la volée, aussi connue sous le nom de traduction dynamique (just-in-time compilation ou JIT compilation en anglais), est une technique visant à améliorer la performance de systèmes bytecode-compilés par la traduction de bytecode en code machine natif au moment de l'exécution.

La compilation à la volée se base sur deux anciennes idées : la compilation de bytecode et la compilation dynamique. Description[modifier | modifier le code] Un environnement de compilation dynamique est un environnement dans lequel le compilateur peut être utilisé durant l'exécution. Par exemple, la plupart des systèmes Common Lisp ont une fonction compile qui peut créer de nouvelles fonctions compilées durant l'exécution.

Alors qu'elle peut être avantageuse pour du débogage interactif, la compilation dynamique s'avère moins utile pour un système déployé. Histoire[modifier | modifier le code] Asynchronous Transfer Mode. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir ATM. Asynchronous Transfer Mode ou ATM — littéralement « mode de transfert asynchrone » — est un protocole réseau de niveau 2 à commutation de cellules, qui a pour objectif de multiplexer différents flots de données sur un même lien utilisant une technique de type TDM ou MRT (multiplexage à répartition dans le temps). ATM a été conçu pour fournir un standard réseau unifié qui pourrait supporter un trafic réseau synchrone (SDH), aussi bien qu'un trafic utilisant des paquets (IP, relais de trames…) tout en supportant plusieurs niveaux de qualité de service (QdS).

ATM est un protocole asynchrone, s'appuyant fréquemment sur une couche de transport synchrone. Commutation de cellules[modifier | modifier le code] La commutation des cellules allie la simplicité de la commutation de circuits et la flexibilité de la commutation de paquets. Structure d'une cellule[modifier | modifier le code] Linux. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Linux est le nom couramment donné à tout système d'exploitation libre fonctionnant avec le noyau Linux.

C'est une implémentation libre du système UNIX respectant les spécifications POSIX. Ce système est né de la rencontre entre le mouvement du logiciel libre et le modèle de développement collaboratif et décentralisé via Internet. Son nom vient du créateur du noyau Linux, Linus Torvalds. La Free Software Foundation préfère utiliser le nom GNU/Linux, ce qui a conduit à une certaine controverse. Le système avec toutes ses applications est distribué sous la forme de distributions Linux comme Slackware, Debian ou Red Hat Enterprise Linux. Histoire[modifier | modifier le code] Naissance du noyau Linux[modifier | modifier le code] En 1991, les compatibles PC dominent le marché des ordinateurs personnels et fonctionnent généralement avec les systèmes d'exploitation MS-DOS, Windows ou OS/2. Diffusion du système[modifier | modifier le code] Algorithme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Un algorithme est une suite finie et non ambiguë d’opérations ou d'instructions permettant de résoudre un problème. Le mot algorithme vient du nom latinisé du mathématicien perse Al-Khawarizmi, écrivant en langue arabe, surnommé « le père de l'algèbre »[1]. Le domaine qui étudie les algorithmes est appelé l'algorithmique.

On retrouve aujourd'hui des algorithmes dans de nombreuses applications telles que la cryptographie, le routage d'informations, la planification et l'utilisation optimale des ressources, la bio-informatique, etc. Définition générale[modifier | modifier le code] Quelques définitions connexes[modifier | modifier le code] Donald Knuth (1938‒), également professeur à l'université Stanford lista les cinq propriétés suivantes comme étant les prérequis d'un algorithme : George Boolos (1940‒1996), philosophe et mathématicien, proposa la définition suivante : Algorithmes mathématiques[modifier | modifier le code] On peut distinguer :

Langage de programmation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les langages de programmation permettent de décrire d'une part les structures des données qui seront manipulées par l'appareil informatique, et d'autre part d'indiquer comment sont effectuées les manipulations, selon quels algorithmes. Ils servent de moyens de communication par lesquels le programmeur communique avec l'ordinateur, mais aussi avec d'autres programmeurs; les programmes étant d'ordinaire écrits, lus, compris et modifiés par une communauté[3].

Les premiers langages de programmation ont été créés dans les années 1950. De nombreux concepts de l'informatique ont été lancés par un langage, avant d'être améliorés et étendus dans les langages suivants. La plupart du temps la conception d'un langage de programmation a été fortement influencée par l'expérience acquise avec les langages précédents[4]. Définition[modifier | modifier le code] Éléments du langage de programmation[modifier | modifier le code] Les règles de syntaxe Le vocabulaire. Système embarqué. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un système embarqué (ou système enfoui) est défini comme un système électronique et informatique autonome, souvent temps réel, spécialisé dans une tâche bien précise. Le terme désigne aussi bien le matériel informatique que le logiciel utilisé. Ses ressources sont généralement limitées.

Cette limitation est généralement d'ordre spatial (encombrement réduit) et énergétique (consommation restreinte). Histoire[modifier | modifier le code] Le premier système moderne embarqué reconnaissable a été le Apollo Guidance Computer en 1967, le système de guidage de la mission lunaire Apollo, développé par Charles Stark Draper du Massachusetts Institute of Technology. Contraintes[modifier | modifier le code] Les systèmes embarqués exécutent des tâches prédéfinies et ont un cahier des charges contraignant à remplir, qui peut être d'ordre : De coût. Architecture[modifier | modifier le code] Caractéristiques[modifier | modifier le code] Compatible PC. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir PC.

Un compatible PC est un ordinateur compatible avec l'IBM PC apparu en 1981. En 2012, presque tous les ordinateurs personnels sont des compatibles PC. Ils sont basés sur les microprocesseurs de la famille x86 inventée par Intel. Les systèmes d'exploitation MS-DOS, Windows, OS/2 et GNU/Linux ont notamment été créés pour les compatibles PC. Origines[modifier | modifier le code] L'appellation PC est utilisée même en France, pays où pourtant le PC d’IBM avait été lancé sous le nom d'Ordinateur personnel et non pas de Personal Computer (presque deux ans après sa sortie mondiale de 1981, en raison du volume de traduction à effectuer, puis des corrections nombreuses à y apporter).

Historique[modifier | modifier le code] À l’origine, PC était le nom donné par IBM aux premiers micro-ordinateurs qu’elle commercialisa dès 1981 : À l’origine, le système d'exploitation livré avec ces premières machines était soit : Système embarqué. Douglas Engelbart. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Douglas Engelbart Douglas Engelbart en 2008. Études[modifier | modifier le code] En qualité de diplômé de Berkeley, il a participé à la construction du projet d'Ordinateur Digital de Californie, le CALDIC. Carrière[modifier | modifier le code] Engelbart dépose un brevet pour sa souris en 1967, qu'il reçoit en 1970.

Celle-ci n'est encore qu'une simple boite en bois contenant deux roues en métal et un seul bouton. Quelques années plus tard, le SRI accorde une licence pour cette souris à Apple, pour une somme avoisinant les 40 000 $[4]. Comme ses recherches sur la collaboration en ligne et les interfaces homme-machine ont été financées par l'ARPA, l'ARC est chargé de créer ARPANET, un des précurseur d'Internet. L'ARC devient ainsi le premier serveur DNS, en plus d'être le gestionnaire des connexions de l'ARPANET. Engelbart passe dans une relative obscurité après 1976, en raison de problèmes divers et de malentendus. OpenStack. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. OpenStack est un ensemble de logiciels open source permettant de déployer des infrastructures de cloud computing (infrastructure en tant que service). La technologie possède une architecture modulaire composée de plusieurs projets corrélés (Nova, Swift, Glance...) qui permettent de contrôler les différentes ressources des machines virtuelles telles que la puissance de calcul, le stockage ou encore le réseau inhérents au centre de données sollicité.

C'est un logiciel libre distribué selon les termes de la licence Apache. Historique[modifier | modifier le code] 2010 : lancement[modifier | modifier le code] Versions[modifier | modifier le code] Composants[modifier | modifier le code] Architecture conceptuelle des services OpenStack OpenStack possède une architecture modulaire qui comprend de nombreux composants[21] : Voici la liste des composants dits intégrés à OpenStack. Calcul : Nova[modifier | modifier le code] TripleO : OpenStack on OpenStack. Architecture de von Neumann. Shader. Wi-Fi. Wi-Di. Pearltrees. MSN. Coyote. Pearltrees. Web sémantique. RSS.

Architecture ARM. Architecture ARM. Internet des objets. Bluetooth. Wi-Fi. Communication en champ proche. 4G. Tor (réseau) Authentification forte. Histoire de l'informatique.

Moteur graphique

Comment créer un moteur graphique. Moteur 3D. Langage. Interprète (informatique) Web sémantique.