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Capitalisme

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Capitalisme. Après son refus de payer sa dette, l’Islande fera le triple de la croissance de l’UE en 2012. 23 janvier 2012 Posté par benji sous Argent et politique 12 commentaires Je ne cesserai jamais de répéter que l’Islande est LE pays à prendre en exemple,même s’il est complètement ignoré des médias, s’il est loin ou quelle qu’en soit la raison pour ne pas en parler, c’est le pays à suivre!

Après son refus de payer sa dette, l’Islande fera le triple de la croissance de l’UE en 2012

Payer pour les banques? Même pas en rêve, là bas ils ont été emprisonnés! Sauver les banques? Elles ont été nationalisées. Islande a terminé l’année 2011 avec une croissance économique de 2,1% et selon les prévisions de la Commission européenne, elle va faire le triple du taux de croissance attendu pour l’UE en 2012 (La croissance de l’UE est prévue à 0,5% en 2012 contre 1,5% en Islande). Glitnir, Landsbankinn et Kaupthing furent les banques nationalisées en 2008 pour éviter leur faillite et qui furent placées sous contrôle démocratique, plutôt que de profiter d’injections inconditionnelles de capitaux publics, comme en Espagne ou dans les autres pays européens. . * Journaliste. Source : Sexisme et capitalisme - Revue Que Faire ? Titre original : , Judith Orr, Bookmarks Publications, 2007.

Sexisme et capitalisme - Revue Que Faire ?

Traduit de l’anglais par D. O. Introduction De nos jours les femmes s’entendent constamment dire qu’ « elles ont tout gagné ». Nous pouvons combiner carrières et enfants, nous pouvons devenir avocates, docteurs et mêmes premiers ministres. En fait certains disent même que l’égalité des femmes est allée trop loin, que les succès des femmes ont signifié une émasculation des hommes, que leurs emplois et leurs rôles traditionnels ont été érodés. Mais les femmes sont loin d’avoir tout obtenu. Les femmes font également face à un barrage de sexisme cru s’infiltrant dans tous les pores de la société et qui semble infranchissable.

Beaucoup de celles en colère face à la situation des femmes aujourd’hui se définissent comme féministes. 1. Cette manière populaire d’aborder la question des genres part du principe qu’il y a certaines différences innées dans les attributs entre hommes et femmes, comme par exemple : 2. Non. Abdellali Hajjat, Les frontières de l’ « identité nationale ». L’injonction à l’assimilation en France métropolitaine et coloniale. 1Une thèse de sociologie - dirigée par Stéphane Beaud -, un lien très fort avec la lecture des travaux d’Albdelmalek Sayad, et une expérience vécue - un choc personnel même - , sont à l’origine de ce travail passionnant. 2« Lorsque j’ai fait ma déclaration de nationalité à seize ans, l'agent du tribunal d'instance m'a demandé si je voulais changer de prénom ou de nom.

Abdellali Hajjat, Les frontières de l’ « identité nationale ». L’injonction à l’assimilation en France métropolitaine et coloniale

Cette demande de francisation fait partie de la routine administrative : l'agent n'avait pas conscience de la violence symbolique de cette question » (entretien avec l’auteur, publié dans Contretemps, 14/02/2012). 3L’alliance de motifs d’ordre biographique et d’une production scientifique, donne à ce travail une force et une portée particulières. Construit comme une socio-histoire d’un concept juridique à portée administrative, l’ouvrage porte sur la condition d’assimilation, sa genèse – dans la loi, en 1973 -, mais aussi dans le temps plus long. 7Les conditions de naturalisation, expliquent A.

Marchandisation du corps

Un partage de la richesse de plus en plus inégal. Pour réduire les inégalités de revenus, il est possible de jouer sur deux leviers.

Un partage de la richesse de plus en plus inégal

Le premier porte sur les revenus d'activité et du patrimoine, le second relève du système de redistribution, via les prestations sociales et les prélèvements. Des riches plus riches, des pauvres plus pauvres. C'est ce qui ressort clairement de l'évolution des niveaux de vie (*) entre 2002 et 2009. Alors que les inégalités avaient plutôt eu tendance à diminuer lentement jusqu'en 2002, elles ont recommencé à s'accentuer depuis. Ainsi, le dixième le moins favorisé des ménages a vu son niveau de vie reculer en moyenne de 2,1 %, tandis que le dixième le plus favorisé l'a vu augmenter de 9,6 % (et même de 12 % pour le vingtième le plus favorisé). En s'accentuant, ces inégalités nuisent non seulement à la cohésion sociale, mais aussi au bien-être et à la santé de toute la société [1].

Regarder vers la durée effective de travail Accentuer le caractère redistributif des prestations sociales Denis Clerc Notes.