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Camillelouisehelene

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Femmes & Sociétés - 294. La lutte contre la GPA, cause commune aux féministes et à l’Église en Italie. Parfois, il arrive que certaines causes unissent des acteurs de la société aussi divers que les institutions catholiques, les mouvements féministes et les associations de défense des homosexuels. C’est le cas de l’opposition à la gestation pour autrui (GPA), un combat ravivé en Italie par le procès Paradiso-Campanelli, dont l’issue à venir influera sur la capacité des États européens à s’opposer à l’importation illégale d’enfant conçus et achetés à l’étranger.

De l’autre côté des Alpes, l’affaire est connue : en 2011, Donatina Paradiso et Giovanni Campanelli ont recours à une GPA en Russie, où elle n’est pas interdite. De retour en Italie, ils n’obtiennent pas la transcription de l’acte de naissance. En 2012, constatant une fraude et une violation des normes internationales, la justice italienne poursuit pénalement le couple et lui retire l’enfant pour le confier à l’adoption en janvier 2013.

Respecter les jugements nationaux. Après la révolution féministe du XX° siècle, quel nouveau féminisme ? Dans le cadre des Rencontres de l’Atelier de Montluçon, Nicole-Edith Thévenin et Clémentine Autain sont intervenues sur le thème "féminisme et communisme". Après le dossier du 13 novembre consacré aux propos de la première1, voici de larges extraits de l'intervention de la seconde. Pour un débat à poursuivre. Le féminisme sans racines correspondait peut-être à une époque, celle où le Mouvement de libération des femmes, en 1970, pouvait titrer "Année zéro" à la une d’un numéro de Partisans. Mais pour la génération féministe à laquelle j'ai appartenu, j'ai plutôt le sentiment que c'est l'inverse : c'est une génération féministe très imprégnée de l'histoire féministe, avec une conscience aiguisée de cette histoire.

En même temps, le mouvement féministe auquel j'appartiens - moins directement maintenant - depuis une vingtaine d'années n'était pas un mouvement de masse comme dans les années 70 ou, plus encore, sous la Troisième République. Liens et tensions avec le mouvement ouvrier. GPA : l'histoire polémique d'un couple gay rediffusée sur France 2 à 13h15. - LeBlogTvNews. Enquête de Florence Helleux et Smaïn Belhadj, redifusée ce dimanche 26 juillet à 13h15 sur France 2. C'est l’histoire extraordinaire, et très polémique, d'un couple gay qui a eu recours à une pratique interdite en France : la gestation pour autrui (GPA), la "mère porteuse".

Christophe et Bruno sont en couple depuis de nombreuses années. Ils rêvaient d’élever un enfant. Mais en France, il est interdit aux couples homosexuels de recourir à la GPA. Exceptionnellement, l'équipe du "13h15" à été autorisée à les suivre dans toutes leurs démarches : choix de la mère porteuse, de la donneuse d’ovocyte, naissance des enfants, arrivée des enfants sur le sol français… Un an d'allers et retours entre Paris et Portland: une démarche clandestine, un parcours périlleux… La mère porteuse a également permis de la suivre durant toute sa grossesse.

Le 20 novembre, journée de droits de l‘enfant malheureusement escamotée (616) Dans le climat qui règne en France depuis une semaine, ce 20 novembre date anniversaire de l’adoption en 1989 par l’ONU de la Convention internationale relative aux droits de l’enfant (CIDE), seul traité quasiment universel (1) prenant en compte les droits civils, politiques, sociaux, culturels et économiques aura été escamoté. Le DDD devait remettre son rapport au président de la République, les ONG préparent des journées d’études.

Un temps de travail était même prévu ce 20 novembre entre le président et des enfants. La tête est ailleurs L’actualité est aujourd’hui plus de parler avec les plus jeunes de l’horreur ... des adultes et de leur expliquer ce qui se joue à travers et derrière cette violence que nous vivons, que de réfléchir sur les droits actuels et à venir des enfants ! Comment peut-il en être autrement ? Pourtant ici comme dans tous les domaines nous devons continuer à faire progresser notre société. Escamoté le 20 novembre, mais bien réel. Six illustrations en vrac. Homosexualité et parentalité.

Cet ouvrage collectif dirigé par Jérôme Courduriès et Agnès Fine rassemble les résultats de plusieurs recherches menées par des sociologues et des anthropologues en France, en Belgique, en Suisse, en Espagne, ainsi qu’au Brésil et aux États-Unis. Toutes les enquêtes évoquent le rapport de sujets qui se disent homosexuels avec leurs enfants, parents et/ou entourage. Mais il se dégage une importante hétérogénéité concernant les divers thèmes abordés. Avec un tel caléidoscope de réflexions, au lieu de tenter en vain de restituer une vue d’ensemble, il est préférable de transmettre quelques points surprenants — dans le bon sens du terme.

Ce livre paraît dans un contexte qui a causé tant de débats et polémiques non seulement depuis l’approbation de la loi du mariage pour tous en mai 2013 en France, mais dans la lignée des controverses déjà très virulentes en 1999, lors de la création du PACS. Heureusement, nous ne découvrons pas de réponses universelles et systématiques à ces questions. Enfants nés par GPA : Le Conseil d'État valide la circulaire Taubira facilitant l'obtention de la nationalité française. GPA - Le Conseil d'État a confirmé vendredi la circulaire Taubira de janvier 2013 visant à faciliter l'obtention de certificats de nationalité pour les enfants de pères français, nés de mères porteuses à l'étranger. La plus haute juridiction administrative française a rejeté les requêtes de près de 60 députés, emmenés par l'UMP Guillaume Larrivé, et d'une demi-douzaine d'associations qui demandaient l'annulation du texte pour excès de pouvoir.

Le rapporteur public, membre du conseil d’État, dont l'analyse d'un dossier est en général suivie par l’institution, avait estimé vendredi 28 novembre que si la "jurisprudence stricte" de la Cour de cassation, plus haute juridiction judiciaire en la matière, était clairement pour le refus de transcrire les actes d'état-civil en cas de soupçon de GPA, elle avait été "directement déstabilisée" par celle de la Cour européenne des droits de l'Homme. "Cette décision est l’expression d’un juste équilibre" Ile-de-France : la Manif pour tous auditionne les candidats de droite. Valérie Pécresse, Wallerand de Saint-Just et Nicolas Dupont-Aignan ont tour à tout exposé leur positions sur la famille.

C'est à l'Equinoxe, dans le XVe arrondissement de Paris que La Manif pour tous avait choisi d'organiser son dernier meeting de campagne, samedi. Sous le hashtag #QPPR, (Questions pour un président de région), les candidats à la présidence de la région étaient invités à expliquer leurs positions sur la famille. Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France, DLF), Valérie Pécresse (Les Républicains) et Wallerand de Saint-Just (Front national) ont répondu présents pour la région Ile-de-France, les autres candidats ayant décliné l'invitation.

Dans la file d'attente, on croise des militants du syndicat étudiant UNI distribuant des tracts au sujet d'une consultation nationale pour l'avenir de l'école. La réunion commence par une intervention de Ludovine de La Rochère, présidente du mouvement. Geoffroy Lejeune, de Valeurs actuelles, anime les trois interventions. 1975 : l'interruption volontaire de grossesse - 26/11/2014 - ladepeche.fr. «Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l'avortement. Il suffit de les écouter. C'est toujours un drame». Il en a fallu du courage à Simone Veil, ministre de la santé de Valéry Giscard d'Estaing, pour défendre cette loi sur l'interruption volontaire de grossesse, il y a tout juste quarante ans. On avait guillotiné, sous Pétain, une «faiseuse d'ange».

Et dans les années 70, de nombreuses voix féminines, mais aussi masculines s'étaient élevées pour réclamer une telle loi. Simone Veil a dû affronter la vieille garde réactionnaire à l'Assemblée. Il fallut attendre le septennat de François Mitterrand pour que cet acte soit remboursé par la sécurité sociale. Simone Veil C'est une parfaite inconnue, lorsqu'elle est nommée au Ministère de la Santé en 1974. Assignations à résidence, attentat déjoué, Madame Claude : l'essentiel de l'actualité de la journée. Pour un 22 décembre, et parce qu'on n'a jamais été aussi près de Noël, on vous pardonne d'avoir été un peu légers sur le suivi de l'actu. Mais ce n'est pas une raison pour être à la ramasse total non plus, donc voici ce qu'il faut retenir des infos du jour. Etat d’urgence.

Selon le Conseil constitutionnel, l’assignation à résidence dans le cadre de l’état d’urgence est conforme à la Constitution. Mercredi, le gouvernement doit présenter son projet de loi visant à constitutionnaliser l’état d’urgence. Mais la déchéance de nationalité des binationaux nés en France n’y figurera pas, comme nous vous le révélions lundi, et comme Christiane Taubira l’a confirmé mardi. Attentat déjoué.

Migrants. Santé. Burkina Faso. Disparition. Chine. Miaou. Irak. GPA. Cyclisme. Et surtout. Procréation médicalement assistée. La procréation médicalement assistée (PMA) est un ensemble de pratiques cliniques et biologiques où la médecine intervient dans la procréation. Cet ensemble de techniques sont utilisées pour aider les couples ou les individus à concevoir un enfant lorsque cela est difficile ou impossible naturellement. Définition et périmètre[modifier | modifier le code] L'assistance médicale à la procréation (AMP) est encadrée en France par la loi de bioéthique du 2 août 2021[1].

Elle est ouverte à toutes les femmes, en couple ou non, mais exclut les hommes trans[2]. La fécondation in vitro (FIV, ou FIVETE pour « fécondation in vitro et transfert d'embryon ») n'est que l'une des méthodes de la PMA. La procréatique est l'ensemble des techniques de procréation artificielle utilisant des techniques biomédicales. En revanche, le clonage humain n'est juridiquement pas considéré comme faisant partie des techniques de PMA. Le périmètre de ce qui constitue la PMA varie selon les définitions qui en sont données. Webullition Bébé à trois, un webdocumentaire sur la gestation pour autrui en Belgique. Pierjean Poirot 7 mai 2015 Bébé à trois, une GPA sans contrepartie en Belgique Manifestations contre le mariage homosexuel, colère des féministes, fermeté des religieux… La gestation pour autrui (GPA) continue de faire débat en France.

Régulièrement, les dérives liées à cette pratique en Inde ou aux États-Unis font la une de nos journaux. Pourtant, tout près de chez nous, en Belgique, trois centres exercent depuis près de vingt ans la GPA sans qu’aucun abus n’ait été signalé. Les couples pouvant bénéficier de ce dispositif doivent remplir des critères bien précis, établis par les centres de procréation médicalement assistée. Ces conditions très strictes limitent le nombre de gestations pour autrui réalisées dans le plat pays. Conseils de navigation La navigation de « Bébé à trois » est linéaire et horizontale.

Le premier, intitulé « L’intention d’être mère », repose sur le témoignage d’une mère française qui a eu recours à une GPA en Belgique avec sa sœur. La bataille des pro et des anti-GPA fait rage devant les instances européennes. Le Parlement européen vient d'adopter une proposition de résolution pour condamner la pratique de la gestation pour autrui. La grande chambre de la Cour européenne des droits de l'homme doit, pour sa part, rendre un arrêt important sur cette question épineuse courant 2016. Le combat des pro et des anti-GPA bat son plein sur le terrain des instances européennes.

Jeudi dernier, des associations comme le Collectif pour le Respect de la Personne (CoRP), le Lobby Européen des Femmes (LEF) ou encore No Maternity Traffic, qui bataillent sans relâche pour une abolition de la pratique des mères porteuses dans les textes internationaux, se sont félicité d'une «première victoire». «Condamnation de toutes les formes de GPA» Cette condamnation intervient dans un climat d'inquiétude alors que le conseil de l'Europe s'est également saisi de cette question très controversée. Décision attendue de la CEDH en 2016. L’« aventure extraordinaire » de Justine, qui a porté l’enfant de sa sœur Amélie.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Patrick Roger Adrien, 4 mois, s’étire en sortant de son sommeil. Il sourit à sa maman, qui le tient dans ses bras, puis à sa tante, qui lui fait face. Sa tante qui l’a porté pendant neuf mois dans son ventre. Par cette froide matinée de novembre, le soleil baigne d’une douce lumière le salon où Amélie, 36 ans, et Justine, 33 ans (les prénoms ont été modifiés), confient leur témoignage. L’histoire d’un lien puissant entre deux sœurs, d’« une aventure extraordinaire », jalonnée de moments d’angoisse, de doute, de joie… Amélie souffre d’un grave problème immunitaire qui provoque des retards de croissance du fœtus. . « Je voyais ma sœur souffrir, se détruire avec tous ces médicaments, l’angoisse de chaque grossesse prenait le pas sur le plaisir d’être enceinte, poursuit Justine. Mères porteuses, l’Inde ferme ses frontières. ClemiArticlePresse10. «Esclavage des femmes» ou «marchandisation des corps» : la GPA divise toujours autant. Les juges du tribunal de grande instance de Nantes ont délibéré.

Les actes de naissance d’enfants nés par gestation pour autrui (GPA) en Ukraine, en Inde et aux États-Unis doivent être retranscrits sur les registres de l’état-civil. Une décision qui a beaucoup fait réagir, d’autant plus que la GPA est interdite en France. Si le député UMP Bruno Le Maire et le président de Debout la France Nicolas Dupont-Aignan s’y opposent de manière catégorique, ce n’est pas le cas de Claude Bartolone. Le président de l’Assemblée nationale a estimé vendredi sur France Inter se trouver «devant une contradiction». «Je suis contre la GPA parce que c’est la marchandisation des corps. On voit bien qu’il y a une relation financière avec les femmes qui louent leur ventre.

Invité sur LCI, le président de Debout la France Nicolas Dupont-Aignan a fait part de son incompréhension face à cette décision de justice. Le député UMP Bruno Le Maire est lui «totalement contre la GPA». GPA : la filiation reconnue, le débat continue. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Julia Pascual C’est un petit pas pour les familles ayant recours à la gestation pour autrui (GPA), mais un « grand jour » pour Dominique Boren. Vendredi 3 juillet, la Cour de cassation a rendu deux arrêts par lesquels elle valide la transcription en droit français de l’état civil de deux enfants nés à l’étranger par GPA, dont le fils de M. Boren. Un revirement de jurisprudence qui va permettre à M.

Cette décision, très attendue, a réveillé l’hostilité de tous ceux qui redoutent une légalisation rampante de la GPA, interdite en France. C’est la première fois que la Cour de cassation se prononce depuis la condamnation de la France par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), le 26 juin 2014. La « théorie de la fraude » est tombée Jusqu’à l’arrêt de vendredi, la Cour de... GPA à l'étranger : où en est-on ?