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Sociologie journaliste

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Descendre de son piédestal | Nathalie Collard | Médias. En entrevue au quotidien The Guardian, Mme Abramson, ancienne journaliste du Wall Street Journal, a annoncé certains changements. Elle dit vouloir modifier la perception qu'ont les gens du New York Times, soit celle d'un journal qui détient la vérité absolue. Il semble que la direction ait l'intention d'engager davantage la conversation avec ses lecteurs (c'est LA tendance dans les médias actuellement).

«Les lecteurs sont sceptiques face à l'autorité absolue, j'en suis consciente, a-t-elle reconnu. Nos lecteurs sont une ressource incroyable et nous devons être plus dynamiques dans notre façon de mettre en valeur la grande qualité de cette communauté en ligne.» Jill Abramson a également souligné que le New York Times allait de plus en plus utiliser Twitter dans ses reportages (le journaliste Brian Stelter l'a fait lorsqu'il a couvert les ouragans de Joplin, twittant les événements au fur et à mesure) et faire du NYT une plateforme rassembleuse. Jay Rosen va-t-il trop loin? L'avantage fiscal des journalistes est-il justifié? A l'issue de la réunion de travail au Fort de Brégançon vendredi 20 août en présence de François Fillon, Christine Lagarde et François Baroin, l'Elysée a fait savoir que «10 milliards d'euros de niches fiscales et sociales seront supprimées à l'automne». Pour les journalistes, le spectre d'un rabot de 10% de leur peu connue niche fiscale se précise.

D'autant que François Baroin avait été clair à ce sujet en juillet, en déclarant que les journalistes devaient «contribuer à l’effort comme tout le monde». Quelle est donc cette curieuse niche fiscale dont les médias se font peu l'écho? Il s'agit de l'«allocation pour frais d'emploi» qui permet aux personnes se déclarant journalistes de déduire 7.650 euros de leurs revenus imposables. A l'origine existait un abattement supplémentaire de 30% sur les revenus imposables des journalistes, institué en 1934 pour compenser la faiblesse, voire l'absence de remboursement des frais professionnels par les éditeurs.

Publicité Devenez fan sur. Le journalisme « hacker » À New York, Chicago, Londres, Helsinki ou Buenos Aires, plusieurs centaines de personnes se rencontrent régulièrement, souvent dans des arrières salles de bars ou des salles de conférences [1]. Ils sont étudiants, journalistes, programmeurs ou chefs de projet web, et ils appellent ces réunions informelles des rencontres « hacks/hackers ». « Hacks » est une façon de dénommer les journalistes tandis que « hackers » désigne des passionnés d’informatique. À travers la présentation d’applications informatiques développées pour des sites d’information, la formation à des langages de programmation ou plus simplement la mise en relation de journalistes et de programmeurs, les animateurs de ce réseau veulent relier le monde de la presse aux mondes informatiques de façon à transformer et même « réinitialiser » le journalisme.

Les liens entre la presse et les mondes informatiques se sont incontestablement développés ces dernières années. Pourquoi des codeurs s’intéressent-ils à la presse ? Journalisme : les études qui mènent au métier de journaliste - L'Etudiant - Letudiant. Journalisme Malgré des conditions de travail difficiles et la précarité du métier dues aux mutations de la presse, le journalisme suscite toujours des vocations. Les nouveaux titulaires de la carte de presse sont de plus en plus souvent diplômés d'une formation spécialisée. Les établissements reconnus par la profession visent à rendre leurs élèves rapidement opérationnels et polyvalents, grâce aux nombreux stages pratiques, incontournables pour se faire connaître. Ils offrent une approche transversale des différents médias et sont des lieux d'apprentissage des techniques de la presse écrite, de l'audiovisuel et du Web.

Écoles reconnues : au nombre de quatorze On compte 14 écoles reconnues par la profession. Cette reconnaissance garantit la qualité générale de la formation et son adaptation aux besoins des professionnels. Les atouts de ces formations sont la polyvalence et la professionnalisation. Autres écoles : de bac+3 à bac+5 Université : une offre diversifiée Info plus. De quoi vivent les journalistes.