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Romain Gary

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Carte de Tendre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Carte de Tendre ou Carte du Pays de Tendre. La carte de Tendre[1] est la carte d’un pays imaginaire appelé « Tendre » imaginé au XVIIe siècle et inspiré par Clélie, histoire romaine de Madeleine de Scudéry, par différentes personnalités dont Catherine de Rambouillet. On retrouve tracées, sous forme de villages et de chemins, dans cette « représentation topographique et allégorique », les différentes étapes de la vie amoureuse selon les Précieuses de l’époque. On attribue à François Chauveau[2] la gravure de cette carte figurant en illustration dans la première partie de Clélie, Histoire romaine. Description[modifier | modifier le code] Tendre est le nom du pays ainsi que de ses trois villes capitales.

Inspirations et parodies[modifier | modifier le code] Tristan L'Hermite suivit avec sa « carte du Royaume d’Amour ». Anecdote[modifier | modifier le code] Enfin, Acanthe, il faut se rendre. Notes[modifier | modifier le code] EDU'bases lettres - Utiliser le podcast pour éclairer la lecture d'une oeuvre autobiographique. L'autobiographie. Brevet des collèges. Télécharger cette fiche (format RTF) I Définition L’étymologie grecque permet de définir le genre. L’autobiographie est le récit que fait un auteur de sa propre vie. II Caractéristiques Importance du “Je” - L’auteur, le narrateur et le personnage principal sont la même personne Mémoire et sincérité - Tout ce qui est raconté est présenté comme vrai.

Le rapport au passé - Le texte fait alterner récit et analyse. Jeu des temps III Les sous-genres et les genres proches Sous-genres - Les mémoires : l’auteur sélectionne dans sa vie les événements liés à l’Histoire dont il a été témoin ou acteur. Genres proches - La biographie : récit de la vie d’une personne célèbre fait à la 3ème personne et rédigé par un auteur autre que cette personne. IV Les intentions de l’autobiographe (mais pourquoi ce besoin de raconter ses souvenirs?) - Laisser une trace de sa vie et lutter contre l’écoulement du temps et l’oubli : l’auteur est le sujet de son livre V Les fausses autobiographies (attention au mensonge!) Spectacle. La promesse. La femme de ménage que Nina, la mère du jeune Romain, a engagée alors qu’ils habitaient à Nice, est impressionnée par l’amour immodéré que la mère porte à son fils, et lui en fait la remarque. Je sais bien que c’est ta mère, mais c’est tout de même beau, un amour comme ça.

Ça finit par vous faire envie… Y aura jamais une autre femme pour t’aimer comme elle, dans la vie. Ça, c’est sûr. C’était sûr. Mais je ne le savais pas. Ce fut seulement aux abords de la quarantaine que je commençai à comprendre. Il n’est pas bon d’être tellement aimé, si jeune, si tôt. Romain Gary, La Promesse de l'aube, 1960 Première partie, chapitre 4 © Éditions Gallimard. Il était une fois...Romain Gary. Qui était vraiment l'écrivain aux multiples noms et visages qui épousa Jean Seberg, décida d'en finir avec la vie à l'âge de 66 ans, et dont on ne cesse de rééditer l'œuvre protéiforme ? Portrait. Il eut mille vies, sans compter celles qu'il s'inventa dans une œuvre qui tient du palimpseste et du mille-feuille.

Une œuvre électrique et baroque, signée d'un cortège de pseudos : Romain Gary, mais aussi Emile Ajar (1), Fosco Sinibaldi, Shatan Bogat. On risque un curriculum vitae, forcément lacunaire. Roman Kacew est né en 1914 à Wilno (Vilnius), en Lituanie, de parents juifs. Ce sont des faits, mais la vérité est ailleurs pour Gary. Son visage est une question et une leçon. Cet écrivain incandescent, formidablement délié, se vit reprocher par de troubles puristes de mal écrire en français.

Il provoque en duel Clint Eastwood, qui se défile Touché au vif, Gary ne le rata pas : «Dès que j'entends dans la voix d'un homme cette souffrance haineuse, je me prosterne avec sympathie et jubilation.