Rachat de Tumblr par Yahoo. La rumeur , qui courait depuis quelques jours, est devenue réalité. Yahoo! A annoncé le rachat du réseau de blogs Tumblr pour 1,1 milliard de dollars, lundi 20 mai. Le rachat est la plus grosse opération financière réalisée par sa directrice générale, Marissa Mayer, depuis son arrivée aux commandes l'été dernier pour relancer la croissance du portail. Elle se félicite d'ailleurs de cette acquisition dans un tweet, lundi 20 mai, promettant de ne pas "foirer" ! De son côté, David Karp, le patron de Tumblr, devrait rester au sein de Yahoo! Yahoo! Une série d'acquisitions Marissa Mayer a mis l'accent jusqu'ici sur la simplification, la modernisation et la personnalisation des produits du groupe internet, et a déjà réalisé une série d'acquisitions ces derniers mois, mais très petites et ciblées. Une tentative pour faire une plus grosse opération en prenant le contrôle de la plateforme internet de partage de vidéo Dailymotion a été bloquée récemment par le gouvernement français.
Facebook: Tous les droits, pour toujours. Pinterest se pique aux règles du droit d’auteur. Élu meilleure startup par TechCrunch en 2011, le réseau social Pinterest a le vent en poupe aux Etats-Unis et commence à faire parler de lui en France. Déjà considéré comme « le nouveau Facebook » par certains, le site est le premier début 2012 à avoir atteint aussi rapidement une audience de 10 millions de visiteurs par mois. Ce succès fulgurant cache néanmoins une polémique grandissante à propos du respect par le site des règles du droit d’auteur, car la contrefaçon semble inscrite dans ses principes même de fonctionnement. Reprenant le principe des visuals bookmarks, Pinterest permet en effet à ses utilisateurs de constituer un tableau en « épinglant » (to pin en anglais) leurs découvertes faites sur le web, à la manière d’un mur Facebook et de les partager avec les autres membres du réseau.
A cette occasion, les images épinglées sont copiées sur les profils des utilisateurs de la plateforme, avec normalement un lien en retour qui procure aux sites d’origine un trafic intéressant. Youtube / Content ID. Overview YouTube has created an advanced set of copyright policies and content management tools to give rights holders control of their content. YouTube provides content management solutions for rights holders of all sizes across the world, and provides tools to cater to the specific needs of various rights owners. Commercial partnerships Use of YouTube's copyright tools is free, and does not require any commercial partnership with YouTube. Content partners who would like to monetize their content can apply to join our YouTube Partner Program .
What is Content ID? YouTube's state-of-the-art technologies let rights owners: Identify user-uploaded videos comprised entirely OR partially of their content, and Choose, in advance, what they want to happen when those videos are found. It's up to you. How does Content ID work? We compare videos uploaded to YouTube against those reference files. Why use Content ID? Access snapshots of your content profile on YouTube, anytime. Who should not use Content ID? Partage des revenus publicitaires. Les relations s'apaisent entre YouTube et la filière musicale.
Mercredi, le site de vidéos de Google a annoncé la signature d'un contrat de trois ans avec la Sacem, qui le conduira à rémunérer les auteurs, les compositeurs et les éditeurs de musique français, lors du visionnage de clips intégrant leurs morceaux. Le précédent accord, conclu en septembre 2010 , était arrivé à échéance le 31 décembre 2012. En pleine période de renégociation, YouTube avait décidé de retirer les publicités sur les vidéos des articles et de cesser le partage de revenus publicitaires.
Ce geste avait provoqué la colère des producteurs. Lors du Midem de Cannes, le marché international de la musique, le patron d'Universal Music France, Pascal Nègre, avait menacé de retirer tous ses vidéos de la plate-forme de Google . La difficulté des négociations portait sur le montant que le groupe américain reverse aux ayants droit lorsque les internautes visionnent un clip musical. Un partenariat INA - YouTube inédit - En bref - L'actu Médias / Net. Exemple : Gangnam Style. Avec le clip vidéo déjanté de sa chanson Gangnam Style, le rappeur coréen PSY a explosé tous les records, en devenant la vidéo la plus “aimée” de l’histoire sur YouTube : plus de 350 millions de vues en l’espace seulement de quelques mois !
Ce succès fulgurant s’explique en grande partie par le nombre incroyable de parodies qui ont été postées en ligne par le public, reprenant à toutes les sauces la fameuse “danse du cheval” popularisée par le clip. Un nouveau mème est né et il est impressionnant de voir la masse de reprises/détournements/remix que cette vidéo génère partout dans le monde. Il existe même déjà une page – Wikipédia Gangnam Style in Popular Culture – attestant de l’engouement planétaire pour la nouvelle star de la Kpop.1 Cette synergie qui s’est mise en place entre cette vidéo et les contributions du public est déjà en elle-même fort instructive sur les nouveaux types de rapports que les créateurs de contenus peuvent entretenir avec les internautes. Abandon de copyright ? 10 Most Popular Gangnam Style Parodies. Exemple : Harlem Shake. Après le phénomène Gangnam Style en 2012, la folie du Harlem Shake est en train de faire naître à vitesse grand V un nouveau mème, bien parti pour battre tous les records.
La vidéo qui a mis le feu aux poudres a été postée seulement le 2 février et déjà plus de 100 000 reprises, parodies, détournements ou remix sont apparus sur Youtube, totalisant plus de 400 millions de vues (avec quelques 70 vidéos à plus de un million de vues chacune). Contrefaçon dès l’origine Même si l’on retrouve dans ce nouveau cas des ingrédients semblables à ceux qui ont fait le succès de Gangnam Style, l’arrière plan juridique du Harlem Shake est sensiblement différent. En effet, l’épicentre du phénomène, à savoir la première vidéo postée, constitue une contrefaçon du droit d’auteur, puisque elle réutilise sans autorisation une musique protégée, composée par DJ Baauer. ContentID, machine à sous et machine à mèmes Tolérance à géométrie variable Accepter le filtrage pour pouvoir remixer en paix ? Like this: How Four-Person INDmusic is Monetizing the 'Harlem Shake' Meme for Mad Decent.
It's Saturday, Feb. 16, and Brandon Martinez has just seen as many total views during the last nine days for his YouTube-based network INDmusic as he has in the company's 18-month existence. That's all courtesy of Baauer's "Harlem Shake," a song owned by client Mad Decent, which inked a deal with INDmusic a year prior to help the label monetize its YouTube channels at a higher CPM (or cost per thousand viewer rate) than it could have on its own, and with faster response to viral trends.
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La réponse est évidemment non, et pourtant c'est ce qu'a fait la société Rumblefish, spécialisée dans la vente de licences de bandes musicales. Sur Slashdot, Eeplox explique qu'il a l'habitude de publier sur YouTube des vidéos prises dans la nature, et qu'il n'y ajoute jamais de piste musicale. Mais lorsqu'il a publié sa dernière vidéo, YouTube l'a informé qu'il utilisait du contenu protégé par Rumblefish. Ce dernier est détecté automatiquement par les algorithmes Content ID de Google. Plutôt que de bloquer les vidéos qui utilisent son contenu, Rumblefish propose aux utilisateurs de YouTube d'afficher des publicités. L'auteur de la vidéo a donc contesté les prétentions de Rumblefish, qui a été invité par YouTube à vérifier ses allégations.
Copyright In The Twilight Zone: The Strange Case Of 'Buffy Versus Edward' Quelle articulation avec le fair use ? UPDATE: On January 10th, less than 48 hours after I published this blog post, I received a one line email from The YouTube Team stating simply “The content has been reinstated.” No explanation or other information was provided. But Buffy vs Edward is now back on YouTube and can be viewed here. The copyright infringement “strike” also appears to be gone as my account is once again in good standing. Read the rest of the story below. It has been three and a half years since I first uploaded my remix video “Buffy vs Edward: Twilight Remixed” to YouTube. The work is an example of fair use transformative storytelling which serves as a visual critique of gender roles and representations in modern pop culture vampire media.
Since I published the remix in 2009 it has been viewed over 3 million times on YouTube and fans have translated the subtitles into 30 different languages. I always turn all ads off on my remix videos and never profit off them. Or so I thought. I was dumbfounded. Dérive vers une forme de justice privée. Le mois dernier, le Conseil National du Numérique (CNNum) expliquait que certains acteurs devenus incontournables sur Internet avaient un tel poids que leur usage "relève presque du service public".
Cette remarque en apparence anodine, en marge d'un rapport sur la neutralité du net, est lourde de sens. Elle implique que certains services privés ont une responsabilité sociétale qui dépasse leur propre liberté, notamment contractuelle. C'est notamment le cas pour YouTube, qui est utilisé par un milliard d'êtres humains sur Terre chaque mois, et qui a donc une responsabilité particulièrement lourde dans l'exercice effectif des libertés d'expression et de communication. La plateforme doit les conjuguer avec le respect des droits d'auteur, mais la filiale de Google semble avoir du mal à trouver cet équilibre essentiel.
Pour protéger ses intérêts commerciaux, YouTube tend à favoriser les ayants droit, à un point devenu redoutable. Les robots de la police privée du copyright attaquent "Robocopyright" Paris, 19 septembre 2013 — Avec une mordante ironie, la vidéo « Robocopyright ACTA » que La Quadrature du Net avait publiée en 2010 sur Youtube pour dénoncer les excès de la répression conduite au nom du droit d’auteur a été retirée cette semaine par la plateforme… pour violation du droit d’auteur !
Elle constituait pourtant incontestablement une parodie protégée par une exception au droit d’auteur en France et par le fair use (usage équitable) aux États-Unis. Cette atteinte caractérisée à la liberté d’expression ne fait qu’illustrer une fois de plus les risques de censure dont sont porteurs les systèmes d’application automatisée du droit d’auteur. Ce sont pourtant ces modèles qui sont montrés en exemple aujourd’hui en France, notamment à travers le concept « d’auto-régulation des plateformes », que l’on retrouve aussi bien dans le rapport Lescure, à la Hadopi ou au CSA.
La vidéo en question : 1. Et l'aide précieuse de Magali "StarMag" Quel partage de la valeur ? Un grondement sourd se fait entendre si l'on tend l'oreille du côté des Youtubeurs. En effet, depuis peu, Nintendo n'hésite plus à réclamer ses droits sur les vidéos utilisant le contenu de ses jeux.
Si le constructeur ne demande pas le retrait des vidéos de la plateforme de Google, il récupère les revenus publicitaires, ce qui fait grogner ceux qui vivent de ces vidéos. Nombreux sont les Youtubeurs, ces utilisateurs actifs de la plateforme vidéo de Google, qui gagnent leur vie, ou arrondissent leurs fins de mois en proposant leurs vidéos. Certains se sont fait une spécialité en diffusant des vidéos commentées de gameplay, ou des speedruns, mais cela commence visiblement à déplaire à Nintendo. En effet le géant nippon fait en sorte de réclamer ses droits sur les vidéos mettant en scène ses jeux, ou ses contenus (musique, etc.).
Si la vidéo n'est pas supprimée, Nintendo profite des rentrées publicitaires, que l'auteur lui, ne touchera plus. [Chronique] Chers YouTubers, bienvenue dans le monde réel. Le 10 décembre 2013 restera dans les mémoires de YouTube comme le jour où les YouTubers, comme on les appelle communément, ont pris conscience qu’ils n’avaient aucuns droits. Les créateurs de contenu spécialisés sur le jeu vidéo se sont multipliés sur YouTube depuis quelques années. On y trouve de tout, du simple commentaire de partie (Let’s play) aux émissions plus chiadées comme Le Joueur du Grenier, pour ne citer que la plus connue. YouTube, de son côté, a mis en place un système de monétisation des vidéos visant à verser aux créateurs de contenu les revenus publicitaires qu’ils ont généré, en fonction du nombre de visionnages de la vidéo. Certains investisseurs ont évidemment sauté sur l’occasion pour tenter de créer des « networks », c’est-à-dire des groupements de YouTubers dont le but est de négocier de meilleures conditions de rétribution avec YouTube et une meilleure visibilité en échange d’un pourcentage sur les revenus.
C’est triste, mais c’est vrai. . ♦ Que dit la loi ? YouTube Copyright <Apocalypse. It is Friday Monday again and that means that it is time for another episode of the Copyright 2.0 Show. I’ve you’ve been anywhere near YouTube over the past week, you know exactly what this week’s top story is. YouTube, it seems is in the midst of a copyright apocalypse. But is all as it seems or is there are more plausible explanation for what’s going on?
However, that’s hardly the only place thrown into copyright chaos this week. We also have international news this week as a “Court error” causes thousands of RedTube users to get copyright threats, Norway is launching a mass-digitization plan and a potential review of EU copyright law. All of that and much more on this, Episode 310 of the Copyright 2.0 Show! This week’s stories include: You can download the MP3 file here (1:11:41, direct download). Show Notes About the Hosts Jonathan Bailey Patrick O’Keefe Patrick O’Keefe (@PatrickOkeefe) is the owner of the iFroggy Network, a network of websites covering various interests. Video Audio Related. Amazon et les Fanfictions. Depuis son lancement, le Kindle Store s'est régulièrement enrichi pour vendre toujours plus de contenus.
D'abord ouvert aux romans, le magasin numérique d'Amazon a ensuite accueilli les journaux, les magazines et, plus récemment, les nouvelles et les histoires courtes . Aujourd'hui, le géant du commerce électronique s'intéresse aux fanfictions. Récits amateurs d'une qualité variable, les fanfictions (ou fanfics) sont des histoires " que certains fans écrivent pour prolonger, amender ou même totalement transformer un produit médiatique qu'ils affectionnent, qu'il s'agisse d'un roman, d'un manga, d'une série télévisée, d'un film, d'un jeu vidéo ou encore d'une célébrité ", explique l'article Wikipédia consacré au phénomène. Dans le graphisme, on parle de fanart . Ces adaptations sont très populaires au sein de certaines communautés qui se sont agrégées autour d'un univers particulier.
Entre 5000 et 10 000 mots, l'écrivain en herbe touchera 20 % du montant. Amazon s'empare du marché de la «fanfiction» Quelles conséquences à long terme ? The line between fiction and fic has never been blurrier.