"Sortir des vieilles ornières" sur Authueil (February. Les « Napoléon » de François Furet par Patrice Gueneffay sur La. Au moment de sa disparition, François Furet préparait un livre sur Napoléon. J’ignore tout de l’état d’avancement du projet, sauf qu’il avait déjà beaucoup lu, qu’il était allé à Ajaccio où l’aventure avait commencé, et à l’île d’Aix où elle avait fini. C’est peu, mais en savoir davantage ne changerait rien : nous ne saurons jamais, malheureusement, ce qu’aurait été le Napoléon de François Furet. Il est même impossible de préjuger du résultat d’après les textes qu’il avait consacrés à Bonaparte à l’époque du Bicentenaire, dix ans plus tôt : un portrait et une étude sur le 18 brumaire dans le Dictionnaire critique de la Révolution française, un long chapitre de sa Révolution de Turgot à Jules Ferry. Il faut pourtant s’en contenter, non pour imaginer le point d’arrivée, mais seulement pour évoquer le point de départ.
Taine a été le plus profond des représentants de l’interprétation de l’histoire de Napoléon comme aventure. Revenons maintenant à François Furet. Que dit François Furet ? "Anthropologues embarqués" par Julien Bonhomme dans La. "Leadership and accountability" par Michael S. Hyatt s. Everyone wants to be a leader. However, few are prepared to accept the accountability that goes with it. But you can’t have one without the other. They are two sides of the same coin. President Harry Truman, “The Buck Stops Here” But what does accountability look like? First and foremost, it means that you accept responsibility for the outcomes expected of you—both good and bad.
Until you take responsibility, you are a victim. Victims are passive. When I was the CEO of Thomas Nelson, we held a meeting once a month with our divisional leaders. They submitted their reports to my Executive Leadership Team. These reports provided a summary of what happened and a review of the key metrics that drove the business. We asked, “What was it about your leadership that produced these results?” I remember one month when Allen Arnold did a particularly good job of this in his report. By way of background, Allen leads the Thomas Nelson Fiction division. Notice several items in Allen’s comments: Kill Me Again - Voilà. C'est fini.