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Adoption

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Adoption pour les homosexuels, la discrimination à plusieurs étages. La Cour européenne des Droits de l'Homme (DR) Strasbourgeoises, Strasbourgeois, cette nouvelle n’a pu vous échapper.

Adoption pour les homosexuels, la discrimination à plusieurs étages

La Cour Européenne des Droits de l’Homme a jugé que le refus d’accorder à une femme le droit d’adopter l’enfant de sa compagne n’était pas discriminatoire. Mais je dis qu’il y a bien discrimination, sauf qu’elle est cachée. Une fois que ceci est dit, il faut quand même expliquer cette décision sans verser dans un débat purement politique ou au minimum partisan. Mais, j’y songe. Miaou. La Cour Européenne des Droits de l’Homme est basée à Strasbourg et examine les cas présentés à elles par les citoyens des pays membres du Conseil de l’Europe (et pas seulement de l’Union Européenne). Ce qui est intéressant est la force de ses décisions. La Cour européenne peut forcer les Etats à changer de législation Mais revenons à nos moutons.

L’affaire est la suivante. Pas de mariage, pas de droits parentaux Pas de mariage, pas d’adoption Où va se nicher la discrimination… N’empêche. Miaou. Homosexualité: Bayrou pour l'adoption mais pas le mariage. Le président du MoDem François Bayrou défend le principe d'une acceptation réciproque de la différence, entre homosexuels et hétérosexuels et se prononce pour l'adoption, le partage de la parentalité mais pas pour le mariage des couples homosexuels.

Homosexualité: Bayrou pour l'adoption mais pas le mariage

"Pendant très longtemps, le combat de la communauté homosexuelle était +accepter la différence+. Accepter la différence, au fond, ça vaut dans les deux sens", explique François Bayrou dans un entretien au magazine homosexuel Têtu. "Parmi nos concitoyens, il y a bien des différences de sensibilité, parfois venues d'autres traditions culturelles, parfois plus traditionnelles (...) Ceux-là aussi ont droit à la compréhension", fait valoir le patron du MoDem dont l'inspiration politique est démocrate-chrétienne. Interrogé sur l'ouverture du mariage aux couples homosexuels, un thème sur lequel il s'était abstenu à l'Assemblée, François Bayrou explique que pour lui le mariage est "une question symbolique importante".

Adoption homosexuelle : deux Françaises déboutées par la CEDH. Homosexualité : à quand enfin une ouverture d'esprit ? – RMC TALK. N'ajoutons pas au traumatisme de l'abandon un changement radical du schéma familial ! Selon un sondage réalisé pour Femme actuelle et Enfant magazine publié lundi 5 mars, un Français sur deux (51% des sondés) serait favorable à l'adoption par les couples homosexuels.

N'ajoutons pas au traumatisme de l'abandon un changement radical du schéma familial !

En 2005, ils n'étaient que 46 % des sondés à être de cet avis. Dans le détail, le sondage révèle que les principaux opposants à l’adoption homoparentale se trouvent chez les catholiques, qu’ils soient pratiquants réguliers (78%), pratiquants occasionnels (65%) ou non-pratiquants (52%). Par ailleurs, 59% des personnes interrogées s’y opposent au-delà de 50 ans. Sur le plan politique, le sujet est très clivant. Ainsi, le sondage souligne que l'opposition à cette idée est d'autant plus forte que les sondés se situent à droite de l'échiquier politique : 36 % des sympathisants de gauche y sont opposés, contre 59 % des sympathisants du MoDem, 65 % des sympathisants de la droite parlementaire et 70 % des sympathisants FN.

L'adoption conjointe est actuellement réservée aux seuls couples mariés, donc hétérosexuels. 51% des Français pour l’adoption chez les couples homosexuels - Faits de société. Un Français sur deux (51 %) se dit favorable à l’adoption pour les couples homosexuels, indique un sondage Ifop pour Femme actuelle et Enfant magazine publié lundi.

51% des Français pour l’adoption chez les couples homosexuels - Faits de société

En 2005, 46 % des Français y étaient favorables, est-il rappelé. Ils étaient 58 % en juin 2011. L’adoption homoparentale est rejetée par la majorité des personnes âgées de 50 ans et plus (59 %) mais aussi des catholiques, qu’ils soient pratiquants réguliers (78 %) pratiquants occasionnels (65 %) ou non pratiquants (52 %). Mesure largement refusée par la droite De même, l’opposition à cette idée est d’autant plus forte que les personnes se situent à droite de l’échiquier politique, 36 % des sympathisants de gauche y étant opposés, contre 59 % des sympathisants du Modem, 65 % des sympathisants de la droite parlementaire et 70 % des sympathisants FN, souligne le sondage. Un statut pour le beau-parent ?