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Nations unies: Résolution contre les mutilations génitales féminines. Les mutilations génitales féminines, un fléau mondial. | © Volontaire Une Commission de l’Assemble générale des Nations unies a adopté une résolution contre les mutilations génitales féminines (MGF), ce qui représente un immense encouragement pour les organisations de la société civile qui luttent en vue de mettre fin à cette pratique destructrice. C’est la première fois que la Troisième Commission de l’Assemblée, chargée des questions sociales, humanitaires et de droits humains, adopte une résolution sur les MGF – qui recouvrent l'ablation partielle ou totale du clitoris ou des organes génitaux féminins, souvent sans anesthésie, dans des conditions pouvant entraîner des infections mortelles.

La résolution sur les mutilations génitales féminines adoptée par la Troisième Commission devra être entérinée en séance plénière par l’Assemblée générale en décembre. Une pratique qui nous concerne tous En savoir plus sur les mutliations génitales féminines. Point du mari : on m'a trop recousue après l'accouchement, j'ai eu mal durant des semaines. Une femme enceinte à la maternité du CHU de Bordeaux, le 13/03/2014 (S.POUZET/SIPA) Récemment, j’ai pu mettre des mots sur un événement qui m’est arrivé il y a bientôt six années.

Ces mots portent le "doux" titre de "point du mari". J’ai donc appris, grâce à une tribune publiée sur Le Plus, que ce que je croyais être une erreur humaine était en réalité un acte volontaire réalisé par un professionnel de santé porteur d’un titre honorifique tel que celui de gynécologue-obstétricien. Et parce que je ne suis pas la seule à avoir été victime d’une telle pratique absolument honteuse, je souhaite aujourd’hui témoigner de mon expérience. Le prix à payer pour être suivie par un gynécologue expérimenté Retour en arrière de presque six années. Je suis une jeune future maman, attendant son premier enfant. Ce choix de confier cet événement aussi important fut motivé justement par mon inexpérience et le besoin rassurant "d’être entre de bonnes mains".

Épisiotomie surprise et points de suture bâclés. Pérou : des milliers de femmes stérilisées de force. Le procès s'est rouvert fin 2012. Il concerne la stérilisation forcée de 300 000 femmes péruviennes, pauvres et indigènes dans les années 1990, sous la présidence d'Alberto Fujimori. "Les femmes péruviennes doivent être maîtresses de leur destin", avait affirmé Alberto Fujimori, lors de la quatrième conférence de la Femme à Pékin en octobre 1995. En fait de "Contraception chirurgicale volontaire", le programme s'est transformé en stérilisation forcée. On a ligaturé les trompes de centaines de milliers de femmes, sous prétexte de subir une opération du ventre bénigne, ou lors de "festivals de ligature des trompes", ou sous la menace (soit d'être étiquetées terroristes, soit une condamnation à mort) et les insultes ("tu veux mettre bas des petits comme les cochons ?

"( "Seuls les riches peuvent se permettre d'avoir beaucoup d'enfants"). Les séquelles physiques, chez des femmes soumises à des travaux pénibles, avec douleurs importantes, infections graves, parfois décès, sont très nombreuses. Le Patriarcat laisse prospérer le mariage d’enfants et la mutilation génitale féminine / Dossier du Vendredi / Actualités et Analyses. Par Ghadeer Malek, Rachel Arinii et Nelly Bassily Les jeunes féministes doivent contribuer à élargir la lutte à ces questions majeures qui nuisent aux filles, dont la pauvreté, la marginalisation et l’exclusion.

Nous les jeunes féministes, nous entendons souvent qu’il faut reconnaître les droits des filles, amplifier leurs voix et répondre à leurs besoins. On nous dit que lorsque les filles sont autonomisées, elles peuvent changer leurs communautés et changer le monde. C’est mettre beaucoup de pression sur les filles. Une question s’impose donc : alors que l’on porte un si grand intérêt aux filles, comment se fait-il que leurs droits soient violés dans tous les pays du monde ?

Cette semaine, le Girl Summit (Sommet pour les filles) (article du Guardian en anglais) à Londres, au Royaume Uni, a suscité des levées de fonds pour lutter contre les mariages d’enfants, les mariages précoces ou les mariages forcés et les mutilations génitales féminines (MGF/E) (articles du Guardian en anglais). Interview : Agnès Ledig, auteur du papier à propos du point du mari, explique tout à Allo-Médecins - Allo-Médecins.

« Ce papier, je l'avais posté sur ma page facebook, pour exprimer mon avis, sans savoir que cela allait être autant diffusé, repris, et parfois mal interprété. ». Agnès Ledig est une sage-femme, la sage-femme qui a dénoncé pour la première fois le point du mari. Cette pratique faite sur les mères venant d’accoucher a créé un buzz à cause de son caractère choquant. Les réactions se sont multipliées tout au long de la semaine. Allo-Médecins donne la parole à Agnès Ledig, qui souhaite mettre au clair ses intentions, et son message. Allo-Médecins : Pouvez-vous expliquer en quoi consiste le point du mari ?

Agnès Ledig : Il semble avoir plusieurs sens d'après les témoignages. A-M : Quel en est l’objectif ? A Le : Resserrer l’entrée pour réduire l’ouverture du vagin après l’accouchement pour améliorer la sexualité ultérieure. A-M : C’est le plaisir du mari qui est mis en avant ? A Le : C’est présenté comme ça. A-M : Comment avez-vous appris cette pratique ? A-M : Comment a réagi le corps médical ? L'épisiotomie | Pôle Mère-Femme. Sources: Publications de notre service concernant l'évaluation de notre politique restrictive d'épisiotomie. Journal de Gynécologie Obstétrique et Biologie de la Reproduction, disponible en ligne depuis le mardi 30 juillet 2013 (source) Influence d’une forte diminution du recours à l’épisiotomie sur le taux global de périnée intact et peu lésionnel dans une population d’une maternité de niveau III (Impact of a major decrease in the use of episiotomy on perineal tears in a level III maternity ward) M.

Chehab, M. Courjon, A. Eckman-Lacroix, R. Résumé But : Mettre en évidence l’effet d’une politique d’utilisation très restrictive de l’épisiotomie sur le taux de périnée intact et peu lésionnel dans une maternité de niveau III. Population et méthodes : Il s’agit d’une étude de cohorte rétrospective dans une maternité de niveau III comparant les déchirures périnéales survenant dans notre centre sur les années 2003 versus 2010. Résultats : Les deux populations étaient comparables.

A. Résumé. «Le point du mari est une porte d’entrée vers les violences subies par les femmes lors de l'accouchement» Mythe «farfelu» pour certains. Pratique au nom «barbare». Qu’est-ce que le «point du mari», la suture post-épisiotomie destiné à accentuer le plaisir masculin? Effectué dans une salle d’accouchement, il n’est ni facile à identifier, ni à évoquer. Explications, avec des internautes de 20 Minutes, patientes et sages-femmes.

Pendant l’accouchement, après une déchirure des tissus ou une épisiotomie (incision entre le vagin et l’anus), vient la suture des chairs. Parfois «trop serrée» ou suivie d’autres «micro-incisions ensuite recousues pour resserrer le vagin» explique Anne-Marie Ledig, la sage-femme auteure du billet de blog qui a révélé la pratique au grand public. «Si on peut réparer…» Comprenez, selon les remarques entendues par des patientes ou des sages-femmes, dans la bouche de gynécologues, «refaire la salle de jeux» du partenaire, rapporte Anne-Marie. Une «erreur de suture» résume Marion, sage-femme. «Tous ces actes invasifs» « Je vous fais un petit point du mari, madame ? Pour vous, ça ne change rien, mais votre mari sera content » Le point sur le « point du mari » Point du mari, point du déni. Civilisation Mis en ligne le 21/04/14 I Rédaction par Isabelle Germain Dénoncée à plusieurs reprises, la pratique qui consiste à réduire la taille du vagin après épisiotomie pour le plaisir du mari serait « dans la tête des femmes » selon le président du syndicat des gynécologues.

Depuis qu’Isabelle Alonso a publié sur son site le texte de la sage-femme et écrivaine Agnes Ledig, la pratique du « point du mari » par certains gynécologues est à nouveau dénoncée. De quoi s’agit-il ? « Techniquement, il consiste, lors de la suture d‘un périnée déchiré, ou d‘une épisiotomie, à faire un dernier point supplémentaire pour resserrer l‘entrée du vagin, et permettre, lors de l‘intromission de Monsieur, un plaisir accentué. Atavisme Comment ? C’est donc ainsi que le représentant des soigneurs de « l’appareil génital » des femmes voit son métier. Quelques semaines plus tôt, le sexologue Yves Ferroul, dénonçait dans un billet le fait que des « médecins maltraitent encore le corps féminin ». Comment ?

Faut-il en découdre avec le «point du mari» ? Il enflamme les forums de discussions des femmes enceintes sur Internet : le «point du mari», une pratique barbare qui consisterait, pendant une épisiotomie (incision pratiquée dans le périnée pour faciliter la sortie du bébé), à recoudre plus serré le vagin de madame pour mieux satisfaire les désirs de monsieur. Tout a commencé il y a quelques semaines, avec un texte virulent publié sur Internet par la sage-femme et écrivaine Agnès Ledig. Elle y dénonce le point du mari, une «mutilation sexuelle» : «Lors de la suture d’un périnée déchiré, ou d’une épisiotomie, […] un point supplémentaire pour resserrer l’entrée du vagin, et permettre, lors de l’intromission de monsieur, un plaisir accentué». L’écrivaine dit s’appuyer sur de nombreux témoignages de sages-femmes et de victimes. L’affaire prend des allures de scandale lors de la reprise du texte sur le blog de la militante féministe Isabelle Alonso.

Polémique. Le «point du mari» ? «Fantasme». Jolan ZAPARTY. Le douloureux "point du mari" pour un "vagin de jeune fille" après l'accouchement. "C'est son mari qui va être content, un vrai vagin de jeune fille". Cette réflexion, Caroline l'a entendue il y a cinq ans dans la bouche d'un gynécologue à la sortie d'une salle d'accouchement. Le spécialiste venait de suturer une toute jeune maman de manière "serrée". "Je l'observais en train de faire, il me semblait bien qu'il faisait quelque chose de bizarre à l'entrée du vagin", se souvient cette sage-femme aujourd'hui âgée de 29 ans. Ce geste assumé par ce gynécologue d'une clinique du Val-de-Marne est surnommé "point du mari".

Il consiste "lors de la suture d'un périnée déchiré, ou d'une épisiotomie, à faire un dernier point supplémentaire pour resserrer l'entrée du vagin, et permettre, lors de l'intromission de Monsieur, un plaisir accentué. Pour lui", selon les termes d'Agnès Ledig. "L'impression d'être vierge à nouveau" Emilie a connu un accouchement difficile il y a cinq ans. Cette pratique est-elle pour autant répandue dans les maternités? D'autres vidéos Société. Derrière le « point du mari », le traumatisme de l'épisiotomie. Ce geste clandestin consisterait, pour un chirurgien, à recoudre une incise faite lorsque l'enfant risque de déchirer le périnée de sa mère par quelques points de suture supplémentaires.

Retour sur un sujet tabou. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Diane Jeantet Des médecins qui décident de vous refaire un « vagin de jeune fille » à peine sortie de l'accouchement ? Ce sont les bruits qui circulent sur la Toile depuis quelques semaines. Ce n'est pas la première fois que des femmes dénoncent ce « point du mari » ; un geste clandestin qui consiste à recoudre une épisiotomie (incise faite lorsque l'enfant risque de déchirer le périnée de sa mère) par quelques points de suture supplémentaires, supposé accroître le plaisir de l'homme lors des rapports sexuels.

Lorsque la féministe française Isabelle Alonso évoque sur son blog ce sujet tabou, habituellement cantonné aux forums de jeunes mamans, les articles se multiplient, les commentaires foisonnent. Frédérique M. est l'une d'entre elles. Polémique sur le "point du mari": de quoi s'agit-il? - Infos. La polémique est née en France ce printemps: selon les dires d’une sage-femme devenue écrivaine, des gynécologues-obstétriciens pratiqueraient ce que l’on appelle le "point du mari"… Le point de suture de trop, lors d’une épisiotomie, pour augmenter le plaisir sexuel du partenaire.

Le point sur ce que l’on sait de l’existence (ou pas?) De cette pratique. Agnès Ledig*, ancienne sage-femme reconvertie en écrivaine, publiait en mars dernier un texte explosif sur le blog d’Isabelle Alonso, féministe contemporaine la plus célèbre de France. Elle s’y insurgeait contre une pratique qu’elle qualifiait de "mutilation sexuelle" et que l’on appelle communément, depuis, "le point du mari". Il s’agirait d’un point de suture supplémentaire réalisé lors d’une épisiotomie et destiné à resserrer un peu plus le vagin pour améliorer les sensations futures des hommes lors des relations sexuelles. Dans tous les cas, comment savoir que le médecin a fait un point de trop dans un but répréhensible?

Le point du mari, un vrai scandale ? « Je vous fais un point du mari ? Pour vous, ça ne changera rien, mais votre conjoint sera content ! » C’est d’abord dans un billet publié sur Facebook qu’Agnès Ledig, écrivaine et sage-femme, a dénoncé cette pratique qui consisterait, après une épisiotomie, à resserrer l’entrée du vagin d’une femme avec un point de suture supplémentaire de façon à favoriser le plaisir de l’homme. Son texte, repris sur le blog d’Isabelle Alonso, ex-Chienne de garde, a lancé la polémique sur Internet et dans la presse. Si de nombreux praticiens en obstétrique assurent n’avoir jamais entendu parler d’un tel acte, d’autres sont catégoriques : la pratique est très marginale, mais elle existe. « Au cours de ma carrière, j’ai croisé quelques internes auxquels il a fallu la désapprendre », se souvient Francine Dauphin, sage-femme depuis quarante ans et membre du Groupe Naissances. « On me l’a enseignée à l’école de sages-femmes il y a trente ans », renchérit sa collègue Claude Vouillot.

Un geste cruel. Des femmes Masaï mettent fin aux rites d’excisions traditionnels. Des exciseuses traditionnelles reçoivent quatre chèvres pour leur soutien dans les rites de passage alternatifs, une autre solution aux cérémonies traditionnelles incluant l’excision. (avec l’aimable accord de l’African school of Kenya) Des exciseuses traditionnelles reçoivent quatre chèvres pour leur soutien dans les rites de passage alternatifs, une autre solution aux cérémonies traditionnelles incluant l’excision.

(avec l’aimable accord de l’African school of Kenya) Les Masaï, une des plus anciennes tribus africaines, ont changé le destin de 52 fillettes en instaurant un «rite de passage alternatif» – pratiqué sans rituel d’excision – lors d’une cérémonie traditionnelle de deux jours au Kenya. Les hommes et femmes Masaï qui ont accepté cette nouvelle cérémonie ont fait un grand pas en avant en termes de santé et d’éducation au sein de leur culture. Des repas ont été préparés et donnés aux jeunes filles qui sont restées toute la nuit dans la salle de classe.

«Je me suis sentié piégée. "Point du mari" : quand un syndicat de gynécologues fait preuve d'une misogynie effrontée. Prélèvements d'ovules sur une patiente à la clinique spécialisée de la Muette à Paris, le 07/10/2010 (MFREY/SIPA). Nous avons pu lire avec effroi les propos de Jean Marty dans un article publié hier dans le monde.fr à propos du "point du mari". Interrogé en sa qualité de président du Syndicat des gynécologues-obstétriciens de France, Jean Marty, a tenu dans ce journal des propos emblématiques de la plus pure misogynie et d’un refus minutieux d'entrer en empathie avec les femmes. Ses propos nous alarment sur ce syndicat : si cet homme prétend défendre les intérêts de sa profession, on tremble en pensant combien ils pourraient être opposés à ceux des patientes. Point du mari : une mutilation Mal nommée, le "point du mari" est une mutilation sexuelle visant à rétrécir les sexes des femmes au moment de la suture de l'épisiotomie (section du périnée au moment de l'accouchement censée prévenir des risques de déchirures plus graves).

Les femmes seraient des menteuses et les médecins des artistes. Le « point du mari » Marisol Touraine: nous voulons une enquête sur le "point du mari" Episiotomie, point du mari: votre parole. La clitoridectomie comme traitement contre l'onanisme dans l' Europe du 19ème siècle. - pelenop. Éliminer les mutilations sexuelles féminines.

Mutilations sexuelles féminines. “Excision des filles : 6000 cas par jour dans le monde” La clitoridectomie comme traitement contre l'onanisme dans l' Europe du 19ème siècle. - pelenop. Nations unies: Résolution contre les mutilations génitales féminines. Faire cesser l'excision, un travail de longue haleine. Mutilations médicalisées & mutilations traditionnelles. Le "point du mari" Le dessous des cartes.