background preloader

Enfants Roms

Facebook Twitter

Nantes

Destruction des progres progression des destructions. Bidonville - habitat précaire. Expulsion. 4. CAHROM 2012 6 FR Rapport thématique sur l'absentéisme scolaires chez les enfants roms. Gawron anaïs. ROMEUROPE. "Ados en bidonville et en squats : l’école impossible ? - Etude sur la scolarisation des jeunes âgés de 12 a 18 ans" Collectif pour le droit des enfants Roms a l’éducation Paris, le 27 septembre 2016 Le Collectif pour le droit des enfants roms à l’éducation publie aujourd’hui une étude qui montre que pour de nombreux adolescents âgés de 12 à 18 ans vivant en bidonvilles et en squats, l’école reste inaccessible.

Les maires de Saint- Ouen et de Maubeuge nous rappellent que cette exclusion est souvent le fait d’une instrumentalisation politique scandaleuse, alors même que les refus de scolarisation, assumés ou plus dissimulés, nourrissent la perpétuation d’une exclusion que l’école doit pourtant combattre ! Les résultats de cette étude montrent avant tout l’urgence à agir. CONTACT PRESSE :Manon Fillonneau CNDH Romeurope06 68 43 15 15 manon.fillonneau@romeurope.org Facebook : www.facebook.com/CNDHRomeuropeTwitter : @CNDH_Romeurope Paris, le 31 août 2016 Paris, le 25 août 2016 Page FACEBOOK. Etude cdere ados bidonville ecole impossible. Education. La moitié des jeunes des bidonvilles et squats déscolarisés. Plus de la moitié des jeunes de 12 à 18 ans vivant dans des bidonvilles et squats en France ne sont pas scolarisés. L’étude à l'origine de ce constat, publiée mardi, a été menée entre novembre 2015 et juillet 2016, dans le cadre d’une enquête du Collectif pour le droit des enfants roms (CDERE) à l’éducation, auprès de 161 adolescents qui vivent dans 34 bidonvilles et squats.

Parmi les jeunes interrogés, « majoritairement originaires de Roumanie et de Bulgarie, qui se reconnaissent souvent comme Roms ou désignés comme tels », 53 % ne vont pas à l’école (contre 7 % sur l'ensemble des jeunes en France). Le taux atteint 67 % si l’on prend en compte les enfants scolarisés mais « non assidus ». Les 16-18 ans très touchés Et chez les personnes interrogées âgées de 16 à 18 ans, le taux de déscolarisation atteint 96 %. De manière générale, les « expulsions à répétition » sont le premier obstacle à la scolarisation des jeunes des bidonvilles et des squats. De mauvaises conditions de vie.

Apprendre une langue

Accueil des roms en europe. Scolarisation des enfants roms : des camions-écoles dans le Nord. En théorie, la loi ne fait aucune différence. Qu'ils soient Français, Américains, Chinois, Papous ou Roms, tous les enfants de 6 à 16 ans ont une obligation d'instruction sur le territoire français, et donc un droit à la scolarisation (voir la circulaire sur la scolarisation des enfants étrangers ici). Mais en réalité : un tiers seulement des 2.000 enfants roms en âge d'être scolarisés le sont, et souvent de manière très instable. ENQUETE ►►► Comment la France utilise les milliards de Bruxelles Dans la métropole lilloise, l'enseignement catholique a créé un service de "camions-écoles" qui se déplacent au fil de la semaine de campements en terrains vagues.

Un camion bleu pour les maternelles, vert pour les primaires, et jaune pour le collège. Au volant de ce camion jaune, Pierre Boisseleau, professeur des écoles de 48 ans, se rend par exemple deux matinées par semaine dans le camp des "Quatre Cantons" à Villeneuve d'Ascq. Mathilde Lemaire Radio France. Roms : «J'ai huit ans, je voudrais aller à l'école, s'il vous plaît» «Merci de me laisser aller à l’école pour devenir chauffeur.» C’est Fernando qui parle, face caméra. Un petit brun de huit ans, l’air grave. Il s’exprime en romani, sa langue natale, n'ayant pas encore eu la possibilité d'apprendre le français.

Ses propos sont sous-titrés dans cette vidéo diffusée à la presse lundi matin par le Centre européen pour les droits des Roms (ERRC). Cette ONG, implantée dans quinze pays dont la France, lutte contre les discriminations envers les Roms migrants. Actif dans les bidonvilles auprès des familles, ERRC agit aussi sur le terrain judiciaire pour que les tribunaux fassent respecter les droits élémentaires. Refus d’inscription L’ERRC a mené l’enquête entre janvier et avril dernier, interrogeant 118 personnes roms, vivant dans six bidonvilles : deux en Seine-Saint-Denis, deux dans la communauté d’agglomération de Lille et deux à Marseille. La moitié des enfants rencontrés ne sont pas scolarisés. «A quoi bon aller à l’école si on est expulsé demain ?» Roms. Developing a network of mediators: Mediators build a bridge between Roma communities and the outside world. Their job is to act as "ambassadors of trust" between Roma communities and local public insitutions – for example, getting Roma children into local schools, making sure that families get proper health care, helping Roma secure decent housing and find jobs that will bring them out of long term unemployment and back into salaried work.

Council of Europe experts will travel to 15 countries this year to work with specialised trainers and equip the mediators with the additional skills they need to gain full confidence of local public insitutions and the Roma community. After the training, the mediators will immediately start putting into practice what they have learned. Progress. will be assessed at a later training session. Campaigning to overcome prejudice – Dosta!

134000207. ETUDESCO. Paroles de tchavés. Exils intra-muros. Roms : une vie après le bidonville ? | Altermondes. Par Julia Beurq En France, on estime à entre 15 000 et 20 000 les personnes vivant encore dans des squats et des bidonvilles, dont bon nombre sont issues des minorités roms d’Europe de l’Est. Depuis dix ans, de nombreuses mairies expérimentent des dispositifs pour intégrer ces familles et résorber leur mal-logement. Quel bilan en tirer ? En 2005, la région Île-de-France attribuait une « Aide à l’éradication des bidonvilles » à hauteur de 500 000 euros. Cet argent a financé des sites d’hébergement, appelés « villages d’insertion », à condition qu’ils respectent trois critères : un maximum de 80 occupants, le relogement temporaire de ces personnes dans des logements modulaires hors du bidonville, et leur accompagnement social.

Dix ans après la mise en place du dispositif, Montreuil a tourné cette page de la politique francilienne avec la fermeture du dernier et plus gros village d’insertion de la région. L’importance de l’emploi Hébergement en « diffus » pour éviter la stigmatisation.

Contact

FILM & LIVRE. Communauté Roms.