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 Tribunal de grande instance de Carcassonne Jugement du 16 juin 2006   Vendredi 16 juin 2006 Tribunal de grande instance de Carcassonne Jugement du 16 juin 2006 Ministère public, Carine G. et autres / Christine S. dénigrement - préjudice - vie privée - pseudonyme - données personnelles Sur l’action publique Attendu qu’il résulte des éléments du dossier et des débats que les faits sont établis à l’encontre de la prévenue, Attendu, tout d’abord, que Christine S. a reconnu avoir utilisé et communiqué l’identité et les coordonnées téléphoniques de Carine G., à deux reprises, dans le cadre de conversations qu’elle avait avec des hommes sur des sites internet de rencontres, à savoir "Meetic" et "Wanadoo", Qu’elle avait, pour ce faire, choisie l’utilisation de pseudonymes tels que "coquine", "coquinette" ou encore "tocli", Attendu, en outre, que Christine S. a été surprise le 7 octobre 2003, par les enquêteurs alors qu’elle commettait les faits reprochés, Attendu qu’il résulte de ce qui précède que la matérialité des faits reprochés à Christine S. est établie ; . . . . .

Rencontres sur Internet : "coquine" condamnée pour usurpation d'identité. Si cette démarche part la plupart du temps d'un bon sentiment, ce n'était visiblement pas le cas de cette femme, Christine, qui a été condamnée pour s'être fait passer pour une collègue sur Meetic et l'espace rencontres de Wanadoo… 11.000 euros d'amende pour une usurpation d'identité sur Meetic (Crédits : Meetic) « Je suis une femme facile, désireuse de relations sexuelles. » Si ces convictions n'avaient regardé qu'elle, l'employée de la Mission locale d'insertion basée dans la région de Carcassonne n'aurait jamais été rattrapée par la justice. Seulement « coquine », ou coquinette, comme elle aimait à se faire appeler sur Meetic et le centre de rencontres Wanadoo, se faisait passer pour une collègue et avait poussé le vice jusqu'à fournir les coordonnées téléphoniques de cette dernière à ses prétendants virtuels.

Prétendants virtuels qui ne tardaient à appeler réellement la victime en question et à lui soumettre des propositions indécentes. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Une usurpation sur Meetic et Wanadoo qui coûte cher. Il y a des blagues ou des vengeances sur Internet qu’il convient d’éviter de faire. Une certaine Christine S. n’avait rien trouvé de mieux à faire que d’utiliser et communiquer l’identité et les coordonnées téléphoniques d’une de ses collègues, Carine G. L’usurpation avait eu lieu dans le cadre de deux séances de conversations sur Meetic et le chat de Wanadoo.

Les pseudo, judicieusement choisi, oscillaient entre « coquine », « coquinette » ou encore « tocli »… On imagine sans mal les suites d’un tel choix... Pire encore, elle se faisait passer pour une femme facile, désireuse de relations sexuelles. Sans surprise : ces chats engendrèrent de nombreux appels téléphoniques vers la vraie Carine G., appels au contenu dépourvu de toute ambiguïté. Notre Christine fut d’ailleurs prise sur le fait par des enquêteurs en pleine séance d’usurpation. Aucun texte en France ne punit l’usurpation d’identité en tant que telle, conduisant les juges à retenir d’autres infractions comme ici.

Usurpation d'identité sur Meetic : condamnation. La coupable aux yeux de la justice française, du Tribunal de Grande Instance de Carcassonne pour être précis, est une femme responsable informatique dans une société qui, en plus d'utiliser l'ordinateur de son directeur pour surfer sous différents pseudos sur le site de rencontres Meetic, se faisait passer pour une de ses collègues. Une femme facileLa victime est une collègue, qu'elle décrivait sur Meetic comme une femme facile, désirant avoir des relations sexuelles. Pire, notre coupable fournissait les coordonnées complètes de sa victime, de son adresse à son numéro de téléphone.On s'en doute, devant une telle "proposition", de nombreux mâles n'ont pas tardé à répondre à la proposition "alléchante".

L'intéressée a été très choquée de cette histoire, a obtenu un arrêt maladie de 10 jours et a également déposé plainte devant la justice, la caisse d'assurance maladie s'étant portée également partie civile. Meetic condamne l’usurpation d’identité. Le Tribunal de Grande Instance de Carcassonne n’a eu aucune forme de pitié envers une responsable informatique qui usurpait l’identité d’une de ses collègues de travail pour se connecter au site de rencontre en ligne Meetic. Il faut dire que l’affaire est allé très loin et que la sentence finale est méritée. L’accusée s’était servie de l’ordinateur de son directeur pour se connecter au site de rencontre Meetic. Elle y utilisait l’identité d’une collègue de travail pour y décrire une femme facile, désirant avoir des relations sexuelles. Elle en a profité pour y étaler toutes les données personnelles de la victime, comme l’adresse complète et le numéro de téléphone.

La victime n’a donc pas tardé à recevoir de nombreuses réponses à l’annonce qu’elle n’a jamais publié, et a décidé de porter plainte. L’accusée a donc été déclarée coupable avec notion de préméditation car elle avait prit soin d’utiliser l’ordinateur de son directeur plutôt que le sien. Source : Generation NT. Rencontre avec Meetic - faq - foire aux questions. Condamnée pour usurpation d'identité sur Meetic. 01net. le 23/06/06 à 18h15 L'usurpation d'identité coûte cher aussi sur Internet.

Une femme vient d'être condamné à plus de 10 000 euros d'amende pour s'être fait passer pour sa collègue sur le site Meetic et l'espace de rencontre du portail Wanadoo. Le 16 juin, le tribunal de grande instance de Carcassonne l'a jugé pour ' violences volontaires avec préméditation '. Affublée des pseudonymes ' coquin ', ' coquinette ' ou ' tocli ', l'indélicate collègue présentait sa voisine de bureau comme ' une femme facile désireuse d'avoir des relations sexuelles '.

Suite à la divulgation de son numéro de téléphone, la victime a quant à elle reçu une pléthore d'appels d'hommes très empressés de faire sa connaissance. Le verdict de la justice est sans appel. La caisse d'assurance maladie se porte partie civile La justice a condamné la prolixe salariée à verser à sa collègue 2 500 euros au titre de préjudice corporel et 1 500 euros au titre de préjudice moral. Meetic.