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[Book] La révolution Facebook (with images) · nicolasloubet. Comment un étudiant de Harvard a-t-il créé, à dix-neuf ans une entreprise qui a transformé Internet et de quelle manière a-t-il géré sa phénoménale croissance ? David Kikrpatrick a bénéficié de la coopération complète des responsables de Facebook, de leurs collaborateurs et de leurs amis pour reconstituer cette fascinantes histoire. Mark Zuckerberg, en donnant la priorité à la croissance sur les bénéfices, a refusé à maintes reprises de compromettre sa vision à long terme : dominer la communication sur Internet. Intuitions géniales, erreurs, ballet des collaborateurs, chassés-croisés avec les capital-risques - la firme de Palo Alto ne cesse de rebondir d'une innovation à l'autre devenant une entité qui a profondément changé la vie sociale aux États-Unis et ailleurs.

Google Spleen. Outil Content Spinning. Amazon. Probabilité stationnaire d'une chaîne de Markov. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La probabilité stationnaire d'une chaîne de Markov s'interprète usuellement comme la fraction du temps passé en chaque état de l'espace d'états de cette chaîne de Markov, asymptotiquement. Presque sûrement, sous certaines hypothèses détaillées plus bas. S'interprète comme le temps passé en lors des premiers pas de la chaîne de Markov La fraction est donc la fraction de temps passé en l'état pendant les premiers pas de la chaîne de Markov.

Tend vers l'infini n'est pas un résultat anodin. Définition[modifier | modifier le code] Existence et unicité : cas irréductible[modifier | modifier le code] L'existence d'une probabilité stationnaire pour une chaîne de Markov irréductible est liée aux propriétés du temps de retour en et en particulier aux propriétés de récurrence de l'état Définition — Le temps de premier retour en noté est une variable aléatoire à valeurs dans définie par alors les probabilités sont notées et les espérances sont notées l'indice Ainsi de et. Frederic Kaplan. Site - Frederic Kaplan. Diaporama - La question de la langue à l'époque de Google. Bruno Bachimont :: Publications. Les pages associées détaillent les publications sur les 7 dernières années.

Je donne ci-dessous les publications, avec l'article téléchargeable, qui permettront au lecteur intéressé de se faire une idée sur mes activités . B. Bachimont. (2004). Signes formels et computation numérique : entre intuition et formalisme. In H. Schramm, L. Schwarte & J. B. B. IB. B. B. B. S. B. B. B. Bruno Bachimont :: Livres et theses. Persée. Notre histoire en détail – Société. Google : la publicité ciblée par centres d'intérêt. Data Center : Google montre à quoi ressemblent ses entrailles. Le numéro un mondial de la recherche sur Internet s'est mis à photographier l'intérieur de ses centres de données et livre le résultat sur un site dédié.

Ces quelques clichés permettent de mesurer, visuellement au moins, la démesure d'une société qui revendique rien de moins qu'être Internet. La démarche relève cependant de la pure opération communication pour la société, qui ne révèle rien d'autre que la dimensions esthétique de ses équipements, par exemple extrêmement gourmands en électricité. Combien savent à quoi ressemble, matériellement, Internet ? Pour cela, Google a décidé d'exposer au monde ce qu'il décrit comme « l'intérieur d'Internet », les entrailles de la bête : ses Data Centers.

Grâce à une série de photos de haute qualité ainsi qu'une cartographie sur Maps, la firme de Mountain View montre à quoi ressemblent, enfin, ses infrastructures. Ce voyage inédit dans le cœur du réseau des réseaux a le mérite de donner un visage au gigantisme de cette société. Quand les mots valent de l’or, par Frédéric Kaplan. Le succès de Google tient en deux algorithmes : l’un, qui permet de trouver des pages répondant à certains mots, l’a rendu populaire ; l’autre, qui affecte à ces mots une valeur marchande, l’a rendu riche.

La première de ces méthodes de calcul, élaborée par MM. Larry Page et Sergey Brin alors qu’ils étaient encore étudiants en thèse à l’université Stanford (Californie), consistait en une nouvelle définition de la pertinence d’une page Web en réponse à une requête donnée. En 1998, les moteurs de recherche étaient certes déjà capables de répertorier les pages contenant le ou les mots demandés. Mais le classement se faisait souvent de façon naïve, en comptabilisant le nombre d’occurrences de l’expression cherchée.

Alors que bien des observateurs se demandaient comment la société californienne allait pouvoir monétiser ses services, c’est l’invention d’un second algorithme qui a fait d’elle l’une des entreprises les plus riches du monde. . — L’enchère sur un mot-clé. . — Le calcul du rang. Webinaire-Pédauque-du-8-novembre-2012. Le capitalisme linguistique ou le commerce des mots | RedLine Language Services LLC. Qu’entend-t-on par capitalisme linguistique? Est-ce un jargon obscur réservé aux spécialistes du web? Pas vraiment. Nous avons tous entendu parler de près ou de loin du concept d’enchères de mots clés de Google, selon lequel chaque mot clé a une valeur correspondant au prix qu’un annonceur est prêt à payer pour un clic.

Nous avons également tous utilisé la fonction de recherche intuitive de Google grâce à laquelle il suffit de taper les premières lettres d’un mot pour qu’une suite de mots statistiquement probables vous soit proposée. A l’inverse, une suite de mots statistiquement probables et souvent recherchés constitue un gain immédiat pour Google. En effet, il semblerait qu’en faisant de chaque mot une marchandise, nous nous dirigions tout droit vers une uniformisation et une modélisation de la langue. Conséquence? Cette présentation sur le capitalisme linguistique, qui prolonge un premier article paru dans Le Monde diplomatique, est développée sur le site Internet Actu. “Capitalisme linguistique” et mécanisation du langage | Le texte en miettes. Dans un article publié récemment sur son blog, Frédéric Kaplan se penche en détail sur le coeur de métier de Google, à savoir la publicité textuelle.

Il fait un rappel très pédagogique (et très bienvenu : c’est vraiment complexe) sur le fonctionnement d’AdWords, puis concentre son propos sur les technologies de TAL mises en oeuvre par Google : “Le vrai et le seul modèle commercial qui fait vivre Google est la spéculation sur les mots. C’est avant tout un algorithme d’enchérissement sur les mots qui a rendu Google riche. Nous pouvons sous cette lumière reinterpréter tous les outils de complétion/correction automatique qui petit à petit tendent à accroître leur contrôle sur la langue elle-même. Ces nouvelles prothèses linguistiques ramènent la langue dans le domaine où elle est le mieux exploitable commercialement. Bienvenue dans le régime du capitalisme linguistique.” Mon analyse diverge de celle de Frédéric Kaplan lorsqu’il parle de “spéculation linguistique”. Imprimer ce billet.